Du bien pensant


Du bien pensant au mal pensant

 

Le bien pensant est celui qui ne dit plus ce qu’il voit, surtout si cela concerne la diversité.

Le bien pensant a pour préoccupation essentielle ses vacances et ses week-ends, la météo et le sacro-saint football.

Le bien pensant connaît les joueurs, leurs statistiques, et il est incollable sur son équipe préférée. Si celle-ci perd, il fait la gueule et devient triste et coléreux.

Le bien pensant est celui qui accepte tout car il ne faut ni critiquer ni faire de remarques.

Le bien pensant est désabusé et pense sincèrement qu’il n’y a plus rien à faire.

Le bien pensant répète et ne croit que ce que lui dit la télévision.

La télévision est son « Jacques-a-dit ».

Le bien pensant est déçu.

Hollande, le candidat, a su profiter du bien pensant pour être élu.

Hollande, le Président, est incapable de relancer la France.

En fait on retrouve la même situation qu’en 1981, lorsque Mitterrand a été élu, il avait soulevé un énorme espoir et tel un soufflé, cet espoir s’est transformé en déconfiture pour la France.

Mais tout cela n’arrêtera pas la gauche investie d’une mission sociale et morale : ruiner la France.

Le grand projet du quinquennat de « Moi Je » est que les villes proposent jusqu’à 25% de logements sociaux.

Il faudra nous expliquer comment un pays peut se sortir d’une crise avec un quart de ses habitants qui dépendront de la charité payée par tous les autres pour survivre, qui n’auront plus de travail ni d’avenir?

Un petit rappel utile au passage : l’Etat c’est nous!

C’est strictement impossible.

Imaginez lorsqu’un habitant sur quatre sera ainsi.

La seule chance de sauver notre société est de proposer du travail.

Proposer du travail suppose que celui-ci ne soit pas lourdement taxé.

Cette simple équation a été toujours rejetée par des politiques qui n’ont jamais rien compris, jamais travaillé réellement ou au mieux en tant que fonctionnaires, avec une totale garantie d’emploi.

Au lieu de traiter le chômage, la maladie mortelle de nos sociétés, en proposant du travail, la gauche comme la droite préfèrent traiter la gangrène par du social. Uniquement du social, ce cache-misère.

Quand notre société ne sera plus qu’une vaste réunion de plans sociaux, elle sera définitivement ruinée et dénationalisée.

Le socia érigé en méthode de gestion du pays est un véritable crime contre la France

Le social qui consiste à montrer aux uns ce que sont devenus les autres est un mécanisme vicieux et destructeur.

Pourquoi travailler dans une société qui encourage à ne plus travailler ?

Toute cette phraséologie nauséabonde qui ne sert qu’à masquer les échecs successifs de nos « polititocards »  © Alexandre Goldfarb, avril 2010.

L’argument éculé qu’il n’existe pas d’autre solution est  un mensonge de plus pour ne rien tenter.

Il faut au contraire oser.

Ce cercle devenu infernal ruine notre économie.

Pire, il porte en lui les germes de la révolution sanglante.

Comment est-ce possible qu’un pays entier en soit arrivé là ?

Laxisme, découragement, renoncement, indifférence, peur, égoïsme, lâcheté ou quoi d’autre ?

Les français ont sombré dans une sacrée torpeur.

Pendant ce temps, la gauche ne fait que cela : donner des leçons de morale. On a atteint le ridicule planétaire avec la pseudo canicule, 3 jours quand même, et leurs recommandations grotesques.

La gauche française s’adresse à nous comme si nous étions entre la crèche et la maternelle, c’est pénible et nul et c’est surtout nous traiter comme des demeurés.

Bon vous l’avez compris : je suis un mal pensant mais je l’assume.

La gauche est intolérante mais elle se dit tolérante. Elle détient en la matière tous les brevets de la tolérance. Pour les autres à part être des réactionnaires, des fascistes  ou des nazis, nationaux-socialistes ne l’oublions pas, il n’ y pas d’autre possibilité.

La dialectique de la gauche est en fait très simple et repose sur l’exploitation de la crédulité.

Il faut prendre aux riches mais surtout ne rien donner aux pauvres.

Il faut taxer le travail pour ensuite pleurer sur le chômage.

Il faut crier au loup qui vient toujours de  d’extrême droite.

Il faut toujours parler des plus démunis avec une larme à l’œil.

Il faut parler des causes humanitaires dans le monde.

Le summum est de réunir le tout.

La soirée est réussie quand dans un de ces diners mondains ennuyeux, tu as pu entendre parler de ces cinq sujets en enfournant force champagne et petits fours.

Quand un mal pensant cherche à contredire, là il se prend quelques mots clés comme « oui, mais toi le fasciste » ou « on connaît ton amitié pour Untel » et autres aimables sarcasmes.

Les soirs où tout se passe bien tu pourras même entendre leur phrase préférée : « tout le monde connaît ton racisme ».

Le mot qui compte le plus est « tout le monde ». Ce qui signifie que tu viens de condamner ton interlocuteur sans appel. Qu’il est cuit, fini, juste bon à jeter à la poubelle.

Ce n’est pas trop difficile et c’est quasiment garanti.

La loi de Godwin est toujours prête à servir…

Peu importe la vérité, car qui s’en soucie de la vérité ?

Peu importe les faits et les drames.

D’abord c’est quoi un drame ?

C’est quand un blanc écrase un de la diversité et pas le contraire ?

Les morts pour la gauche curieusement n’ont pas tous la même valeur. Il doit même exister une cotation. Le blanc vaut rien dans celle-ci, rassurez-vous.

La gauche humaniste peut sans crainte soutenir les pires dictateurs dans ce monde et expliquer en permanence que les autres sont des menteurs, c’est la méthode de base qui a fait ses preuves dans l’Histoire.

Pourquoi pas ?

La vision du monde est certes rétrécie mais puisque le public est acquis autant en profiter.

La gauche moralisatrice sait que le citoyen lambda est fainéant et gère l’habitude.

Fainéantise de devoir ouvrir des livres pour vérifier les assertions.

Habitude de tout laisser dire.

Surtout pas de bruit, telle est la devise.

Je crois, vu le succès de mon Blog, que cela commence enfin à changer.

Si on regarde de plus près la gauche est méchante et haineuse. Mais elle a su s’approprier les mots-clés.

Le mensonge devient la vérité : c’est le creuset de la dialectique de gauche.

La gauche balaie la réalité comme quelques feuilles mortes sur un trottoir.

Certes des morts jonchent ce trottoir.

Mais qu’importe puisque c’est la lutte finale

 

HOLLYLAND, ton univers impitoyable…

Les médias sont les complices de cette idéologie foireuse.

Je résiste et vous ?

Alexandre Goldfarb

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et Mon Actu, bien sûr…

6 commentaires

  1. J’aime beaucoup votre site qui a le mérite de ne pas utiliser la langue de bois et ainsi nous dit sans détour ce qui est. Je partage évidemment et je vous suis. Continuez à nous régaler.

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