Israël / Union européenne 5


Comble de l’ironie : les Arabo-palestiniens ne sont même pas issus d’un exode, pas même déplacés !

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Israël/Union Européenne

Par Daniel Desurvire

Chapitre 5
L’expérience atteste que l’assistanat génère la paresse donc la dépendance, ce qui explique pourquoi les Palestiniens refusèrent de se constituer en nation libre à côté l’État Israël, qui lui en accepta l’augure en proclamant son indépendance le 14 mai 1948. En opposant le prétexte de ne pas vouloir cohabiter avec une nation juive – une région que les islamo-palestiniens prétendent toujours être la leur, – ce statut de réfugié confère aux bénéficiaires des subventions, pérennes tout en revendiquant une indépendance nationale qu’ils rendent impossible en guerroyant sans cesse. Pour cela, Israël s’oppose à la création d’un État palestinien tant que le Hamas s’obstinera à nier son existence, en scellant cette reconnaissance mutuelle par un traité de paix.
Comble de l’ironie, alors que les Arabo-palestiniens ne sont même pas issus d’un exode, pas même déplacés, la plupart proviennent d’une invasion migratoire postérieure au Plan de partage du 29 novembre 1947 (UNSCOP approuvé par l’Assemblée générale [AG] de l’ONU). Celle-ci constituée de ressortissants venus du Maghreb ou du Moyen-Orient pour s’y faire établir un statut de réfugié rémunéré, la majorité des membres de l’AG de l’ONU se met en devoir de légitimer cette usurpation territoriale de la Palestine par l’Islam. Cette région (Israël, Gaza, Cisjordanie) fut dédiée au Foyer juif depuis la déclaration de Lord Arthur Balfour (l’UK mandataire) aux fins de retransmission à la Fédération sioniste. Ce statu quo fut confirmé en 1919 par la conférence de Paris, puis par le préalable du traité de Sèvre à la conférence de San Remo en 1920. Voilà autant de dispositions qui ne furent jamais abrogées par la Sociétés des nations ou le Conseil de sécurité des Nations Unies, ni même par son AG.
De fait, depuis ces annales, aucune résolution de l’ONU ne peut légalement infirmer, sans l’aval d’Israël, la territorialité géopolitique actuelle et son appartenance de ce bout du Moyen-Orient. Alors qui est l’occupant puisque l’expression usitée des territoires occupés n’a aucune légitimité juridique et historique ; une accusation portée par les usurpateurs musulmans et reprise à l’unisson par les partisans pro-palestiniens ? À la lumière de cet imbroglio, comprenons pourquoi les droits naturels et la morale éreintent les démocraties. Ces prémisses vertueuses profitent à l’Islam qui les revendique à son endroit tout en les galvaudant aux d’autres.
Sous le feu des événements ; une actualité qui s’affirme dans l’histoire, l’Islam a prouvé son caractère insoluble avec la démocratie, n’en déplaise aux faiseurs d’opinion qui n’ont cure la nôtre et des réalités. La démocratie n’est pas la démocratie représentative lorsque qu’elle se dérobe à l’action participative du peuple. La démocratie ne doit pas avantager les élus qui savent la détourner pour appuyer leurs égoïstes intérêts. La démocratie ne doit servir de bouclier juridique aux islamistes qui la retournent contre ses fondateurs et ayants-droit, comme en usant d’un misérabilisme de scène pour mieux affaiblir la vigilance de leurs hôtes. Ce retournement des valeurs éthiques et des standards culturels finit par affaiblir les codes patriotiques et patrimoniaux de source gréco-gallo-romaine et judéo-chrétienne, trop souvent amalgamés au nationalisme diabolisé des partis dits populistes.
Jouant de la fibre sensible par ses lamentations et ses emportements, ce culte du martyr fait illusion jusqu’à éroder tout esprit de bon sens des citoyens ainsi subornés. En baissant la garde, ce public munificent se voit alors transporté dans une solidarité engagée, confiant et serein mais jusqu’à l’imprudence. Un effort d’entendement permettrait pourtant aux sycophantes de la bien-pensance tiers-mondiste, arc-boutée contre Israël qui se défend devant un Islam paré de son habit de martyr, de mieux entendre les difficultés des Israéliens piégés dans cette nasse panislamiste. Pour un observateur non embrouillé par la social-démocratie, il lui suffirait de transposer cette belligérance palestinienne à ce que devient l’UE écrasée par l’immigration islamique, mais depuis l’intérieur. Faudrait-il encore que les citoyens du monde, ceux qui croient vivre en démocratie, réalisent qu’ils ne le sont plus et que de leur vote rien ne transpire dans le monde réel, puisque l’argent et le leadership sont les maîtres de l’ordre mondial. Peut-être est-ce là le fond de ce mirage conspirateur qui circule dans l’imaginaire sous l’expression de Théorie du complot ?
Cette coterie d’élites – un hégémonisme de moguls, de Gafam, de think tanks, de trusts et consortiums transnationaux industriels, de cartels holding et fonds de pension, de banques centrales et de marionnettistes arrogants (selon Brandon Smith) – étouffe la conscience des peuples sous une chape de plomb, écartant les essayistes polémiques qui oseraient exprimer une vérité dite politically incorrect. Sauf que, il survient quelquefois qu’un candidat indésirable parce que sorti des rangs, parvient à déchirer cette toile d’oligarques qui drape le système, verrouille toute intrusion non alignée et empuantit tout ce qui en sort.
Alors sonne le glas d’une prétendue calamité annoncée, tels des figures tutélaires dites populistes ; ainsi Donald Trump, Norber Hofer, Geert Wilder, Marine le Pen, Viktor Orban, Vlaams Blok, etc. Voilà autant de Brexit ou leurs succédanés qui menacent* la coalition des clones du politburo de l’Union, dont les forces d’opposition totalisent déjà ± 23 % de représentants au Parlement européen. Oui mais qui incarne vraiment une menace pour la démocratie* ? N’est pas plutôt dans les coulisses du vrai pouvoir, des élus de compromission tels Emmanuel Macron et Angela Merkel pour l’UE, qui manipulent la social-démocratie européenne pour le compte de leurs marionnettistes du Golfe et d’une vingtaine d’autres ultra-riches de la planète, lesquels se partagent ± 1150 milliards de dollars US selon le magazine Forbes France (10 mars 2018) – note 5.
C’est alors que ceux qui président à leur propre destinée et croient indéfiniment se moquer des peuples dès lors qu’ils perdent le contrôle, font appel à des pratiques insurrectionnelles. En refusant au second tour des scrutins, par la coalition droite-gauche qui dénie le jeu électoral dont ils ont pourtant profité et abusé, ceux-là se serviront perfidement de la déconvenue de leurs électeurs pour les amener à manifester avec hargne et vengeance. Puis le pouvoir exorbitant de la rue – car minoritaire – prend le pas sur les institutions pour faire basculer l’opinion, tel un soulèvement putschiste à coup de grèves à répétition, de désobéissances civiques, de soulèvements séditieux dans les administrations et les entreprises publiques, de mutineries dans les sphères de l’éducation nationale, de blocages législatifs à coup de milliers d’amendements… C’est un fait qui se vérifie dans la plupart des États industrialisés ; la blogosphère sociale-démocrate a une propension à dévier l’expression pour elle-même et ôter le droit à la vie privée des citoyens, à l’instar de la Chine* et de tous les régimes qui tentent d’anesthésier l’appétence des libertés. Ce contournement procède à faciliter les velléités d’un pouvoir mégalomane entaché de cupidité.
À cela s’ajoute le langage épicène, réinventé, aseptisé, blanchi et repassé sous la férule des faiseurs d’opinion, des glossaires de mots-clés déclencheurs d’alertes numériques et l’imprégnation subreptice obtenue par les dérivations correctives lexicales. Il s’agit là des « les prêts-à-penser » injectés dans l’inconscient du peuple fragilisé par la psychose des attentats de masse. C’est ainsi que le terrorisme dédouane l’exécutif en lui fournissant l’excuse d’un resserrage des libertés, tels le droit à une vie privé, le droit d’expression par le livre ou la presse, sous le motif d’une sécurité renforcée. Mais c’est aussi un pas de plus franchi par l’Islam intégriste pour étioler davantage les lois de la démocratie ; une victoire qui se fête à l’ombre de l’idéologie khalifienne que l’État jacobin leur offre sur un plateau !
Voyons là un retour aux dictatures prolétariennes*, notamment avec la loi barbouze de la France renforçant le Code de la sécurité intérieure et qui étrangle les libertés via le virtuel numérique (Loi n° 2015-912 du 24 juillet 2015). Observons ici encore un prétexte opportun du pouvoir pour phagocyter les sphères médiatiques placées sous le joug arbitraire des violences économiques de Bercy (menaces de suppression de subventions et d’exonérations dans les industries du livre, de la presse et du droit d’émettre aux productions de l’audio-visuel), violer des sources journalistiques et le jardin secret des citoyens tel un journal intime dérobé (santé, opinion, relations, inclinations, projets, fortune, etc.), percer la confidentialité des professions libérales, de la justice dont les avocats, les secrets industriels, les routes économico-financières des sociétés de droit privé, etc.
Avec le recul de son histoire tourmentée en Palestine et l’expérience de ce fléau islamique, L’État d’Israël démontre par quel miracle ce minuscule point du globe aura survécu jusqu’ici au rouleau compresseur du méga-monde musulman qui le prend en tenaille, l’investit de l’intérieur avec ± 20 % de citoyens israéliens islamiques, puis cherche à l’écraser sous le poids de plus de 300 millions de Musulmans qui l’encerclent dans la région. Ce piège insidieux, car porteur de régression et d’une menace jamais éteinte depuis l’hégire, asphyxie désormais la France et la plupart des nations du vieux continent.
Au fil de ces dernières décennies, la démographie de l’Islam polygame à progression géométrique n’est jamais abordée par l’élite infatuée des oligarques. La cécité de cette gouvernance s’explique par son avidité, une corruption conjointe entre la classe politique et des industriels à genou devant la manne financière et énergétique des pétromonarchies du Golfe, puis des réserves gazières d’Algérie et d’Iran. Qu’à cela ne tienne, tandis que l’Égypte excise 97 % de leurs filles, la France vend des dizaines de Rafale à cet État atrophié par le lobbying martial des Frères musulmans, même si c’est l’Arabie Saoudite qui paie, même si c’est précisément cette monarchie, à l’instar du Qatar, qui finance le terrorisme international ! Cette manne recèle un graal khalifien, une intrigue bordée de concussion et de cupidité ; les uns pour répandre une islamité théocratique dans les sociétés libres, les autres pour s’enrichir dans l’oubli de la loyauté envers les électeurs qui leur ont confié un mandat politique et de la notion de patriotisme désormais enfouie dans les comptes obscurs de sociétés offshore thésaurisés aux pétrodollars du Golfe.
Cette collusion machiavélique revêtue d’une flatteuse écharpe multiculturaliste, se construit à coup de bakchichs et de contrats juteux issus de l’or noir ; un contrat prophétique monté par les émirs de la péninsule arabique pour laisser déferler sur l’Union, au nom d’un grand khalifat sunnite, des millions de migrants mahométans pour le repeuplement des pays de l’Union et l’effacement de la culture judéo-chrétienne. De surcroît, ces flots de réfugiés dissimulent dans leurs rangs autant de terroristes qu’il en faut pour déstabiliser une civilisation convaincue de sa légitimité morale, du bien-fondé du droit d’asile et d’une liberté de culte qui au final ne profitent qu’aux intégristes. Or, les caciques du profit savent détourner à leur avantage les droits de l’Homme, les conventions et l’éthique humanitaire qui président aux standards des démocraties. Selon l’académicien Michel Serre, « Le règne absolu de la finance est dévastateur ».

FIN

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.

Note 5 – Sinon 6400 milliards de dollars US entre 1645 des plus grosses fortunes de la planète, équivalant au PIB de la France et de l’Allemagne réunis selon l’Epress/l’Epansion du 23 juillet 2014, article de Bruno Abescat.

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7 commentaires

  1. Un grand merci à Daniel Desurvire pour écrire cet article qui rétablit la vérité sur ce sujet toujours traité de façon partisane et franchement anti juive.

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  2. D’abord les hébreux ont été chassé de Palestine par les romains qui savaient ce que voulait dire :  » divide ut regnes » .Avant cela , les hébreux arrivèrent en terre promise mais, ils n’étaient pas seuls . Les philistins occupaient déjà les cotes préétablies fondant des villes comme Gaza,Ascalon,Eqron, Gat et Asdod . Ce sont bien les romains qui détruisirent le temple de Salomon et responsable de leurs malheurs .

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    • Face à votre commentaire qui travestit totalement la réalité de l’histoire, voici les faits :
      Palestine (en latin : Palaestina, dérivé du grec ancien Παλαιστίνη / Palestína ; en arabe : فلسطين / Falistīn et en hébreu : פלסטין) désigne la région historique et géographique du Proche-Orient située entre la mer Méditerranée et le désert à l’est du Jourdain et au nord du Sinaï1. Si le terme Palestine est attesté depuis le Ve siècle av. J.-C. par Hérodote1, il est officiellement donné à la région par l’empereur Hadrien au IIe siècle, désireux de punir les Juifs de leur révolte.

      La zone n’est pas clairement définie. Elle est centrée sur les régions de la Galilée, de la Samarie et de la Judée. Ses limites sont au nord la Phénicie et le mont Liban et au sud la Philistie et l’Idumée. À l’époque des croisades, le Pérée au nord-est de la mer Morte, la Batanée et la Décapole au-delà du Jourdain y étaient attachés. La Palestine peut désigner le territoire situé uniquement à l’ouest du Jourdain. Le terme est aussi utilisé comme équivalent à la terre d’Israël2. La région comprend aujourd’hui, l’État d’Israël, les territoires palestiniens occupés, la bande de Gaza et parfois également une partie du royaume de Jordanie, le Liban du Sud et le plateau du Golan1,3.

      Historiquement elle correspond à Canaan, à la Terre d’Israël et fait partie de la région de Syrie (Syrie-Palestine). Dans les traditions abrahamiques, elle est la Terre promise aux enfants d’Israël, la Terre sainte du christianisme et une terre sainte de l’islam4.

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      • Si je vous demande l’heure, ne me répondez pas le temps qu’il fait ! La monographie que vous semblez contester ne l’est pourtant pas à la lecture de votre examen. En effet, vous faites preuve d’une démonstration sur la forme, mais pas sur le fond. Je m’explique. Vous recueillez des informations sur la géographie de la Palestine. Or, mon étude porte sur l’histoire de la Palestine dont Israël. Quant à la terminologie historique de la Palestine dans les quatre langues des époques traversées, merci Wikipédia, vous en avez fait bon usage (pour ma part, je suis helléniste entre autres domaines). Mais ce n’est pas avec cette tentative d’intellectualisme emprunté que vous réussirez à convaincre les lecteurs avisés. Soyez courageux et tentez de m’apporter une argumentation contradictoire sur le sujet traité, alors seulement votre examen me sera précieux.

        Daniel Desurvire

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        • Je répondais à ce Zodiac dont les commentaires sont toujours « anti sionistes »… et surtout ne reposent sur aucune réalité. Donc pas à votre article que j’apprécie par ailleurs.

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    • Ce commentaire est un bon exemple de la propagande antisémite ou antisioniste au choix qui voudrait nous faire croire que les Palestiniens auraient un droit historique alors que c’est 100% faux. Mais avec des médias eux-mêmes très anti Israël et qui n’hésitent pas à relayer la propagande digne des nazis, que voulez-vous espérer ? Sinon ce genre de commentaire mensonger.

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