Avoir le droit d’être ce que nous sommes.


Voilà une aspiration naturelle et bien modeste !

Avoir le droit d’être ce que nous sommes.

Par Olivier Vial

Voilà une aspiration naturelle et bien modeste ! Pourtant, depuis des décennies, les héraults du «politiquement correct» nous contestent quotidiennement ce simple droit. Ils nous pressent de nous amender, de nous «ouvrir», d’être «modernes», de rejeter nos valeurs et notre culture qu’ils accusent d’être intrinsèquement sexistes, racistes, ou «hétéro-normées.»
Puisant leurs références chez Bourdieu et ses disciples, ils s’emploient à «déconstruire» tout ce qui a de l’importance pour nous : notre langue, notre Histoire, les oeuvres de notre patrimoine, nos traditions, notre art de vivre… Tout à leurs yeux est suspect.
Maquillant cette «haine de soi» sous un prétendu vernis universitaire, ils ont investi les universités et forment, chaque année, de nouvelles générations d’étudiants à cette critique systématique et totalement partiale de nos sociétés. Alors, comment s’étonner que des étudiants, membres de l’UNEF, biberonnés à ces théories, ne voient dans l’émotion des Français devant l’incendie de Notre-Dame qu’«un délire de petits blancs» ? Nous récoltons aujourd’hui les fruits amers de ce travail de sape. L’arsenal de ces idéologues va de la culpabilisation systématique à la «rééducation» en passant désormais par les pressions et la censure. Ils font feu de tout bois.
Ils ont imposé un enseignement victimaire et culpabilisateur de l’Histoire qui a fini par subvertir le lien que certains de nos compatriotes ont avec notre Histoire et notre identité. Ils ont fait de la «lutte contre les stéréotypes», théori- sée par Vincent Peillon puis développée par Najat Vallaud Belkacem hier et Marlène Schiappa aujourd’hui, un instrument pour «changer les mentalités et transformer la société» selon leurs propres plans, bien-sûr ! Comme si cela ne suffisait pas, les différents adeptes de ces théories se sont constitués en groupe de pression pour nous imposer par la force ou l’intimidation leurs idées radicales. Des militants «décolonialistes» qui, sous prétexte de lutter contre la domination de «l’homme blanc», se font les avocats d’un islam politique et communautaire, aux adeptes de la théorie du genre qui veulent imposer leur vision «Queer» de la société, en passant par les associations pro-migrants qui fantasment sur un monde sans frontière, ou encore les activistes vegan qui agressent nos bouchers, tous visent un même objectif : renverser les valeurs qui ont fondé notre civilisation pour imposer leur idéologie à la place. Ils ont réussi à enrôler une partie importante des médias à «leurs causes» ce qui leur permet souvent d’exclure du débat ceux qui ne pensent pas comme eux. Le gouvernement, quant à lui, multiplie les textes de loi qui, au motif de lutter contre «la haine en ligne» ou les «fake news», finissent par réduire notre liberté d’expression et la rendent vulnérable face aux offensives de ces groupes de pression. Dans ce contexte, défendre notre droit à être, rester et transmettre ce que nous sommes et ce à quoi nous croyons, est l’un des enjeux majeurs de ces prochains mois. Pour cela, l’UNI s’est organisée pour accroître la formation pratique et théorique de ses militants. Nous sommes désormais prêts à nous mobiliser contre ces mouvements afin de leur montrer qu’il existe une résistance structurée et déterminée qui ne les laissera pas nous imposer leur volonté sans réagir ! Grâce à votre soutien, nous avons déjà remporté quelques batailles. Nos militants sont déterminés mais nous ne gagnerons pas cette nouvelle bataille sans votre soutien.

Olivier Vial, Président de l’UNI

Proposer une alternative pour la jeunesse face à la gauche
La mainmise de la gauche sur la jeunesse, le monde associatif et l’éducation n’est pas une fatalité. Que ce soit au sein de l’UNI-Lycée, des étudiants, de l’UNI-Enseignants, ou des Cercles de l’UNI, les militants de l’UNI s’engagent pour proposer une réelle alternative à la gauche et porter un projet ambitieux pour la jeunesse.

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Olivier Vial pour UNI

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