D) La diplomatie française en marche vers la voyoucratie présidentielle d’Ukraine
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Le nouveau livre de Daniel Desurvire (existe aussi en format liseuse) :
Alerte, la République est en danger !
Par Daniel Desurvire
D) La diplomatie française en marche vers la voyoucratie présidentielle d’Ukraine
Sur ce registre, que dire du Président ukrainien Volodymyr Zelensky intimement impliqué avec un escroc d’envergure continentale, Igor Kolomoïsky ; ce dernier ayant soutenu et financé la campagne présidentielle de cet actuel Président en mai 2019 ? Ce compagnon politique de longue date était à la tête de groupes paramilitaires organisateurs de meurtres mafieux. Exfiltré dans la plus grande banque du pays, la PrivatBank, celui-ci détourna 5,4 milliards de $ US. Étonnamment, dans son intervention télévisée du 2 mars 2022, Emmanuel Macron qualifia le Président de l’Ukraine de « Visage de l’honneur, de la liberté et de la bravoure » ! Or, ce chef d’État ukrainien, un escroc notoire en lien avec la pègre locale et internationale, aura détourné 41 millions de $ US par le biais d’une société de production audiovisuelle (Kvatal 95).
Cette révélation fut publiée par le collectif ICIJ*, où des fonds de son peuple sont détournés sous des noms d’emprunt et sociétés écrans détenus par ses complices sur des comptes de banques offshore aux îles vierges de l’UK, à Chypre, aux Émirats et à Belize. De source indiscutable et de facto incontournable, ce consortium d’enquêteurs (International Consortium of Investigative Journalists*), constitué depuis 117 pays, exhuma la propriété de trois résidences à Londres appartenant à un prête-nom du Président Volodymyr Zelensky (Serhiy Shefir, son premier assistant). Ces propriétés somptueuses furent acquises pour 7,5 millions de dollars US (Source : Slidstvo.info pour ICIJ). Voilà donc à qui se réfère Emmanuel Macron qui soutient un prévaricateur pour soutenir sa campagne présidentielle à travers une guerre qui ne le concerne pas, sinon à dessein de passer pour un pacifiste ou un libérateur auprès de ses thuriféraires et ignorants !
Une fois épuisé les mascarades, mensonges et mystifications autour du virus et ses vaccins, c’est désormais en direction du conflit ukrainien que se joue le déshonneur de la Présidence française et d’Ursula von der Leyen (Présidente de la Commission européenne) avec leurs prétentions expansionnistes à l’Est. Certes, Emmanuel Macron éprouve un besoin compulsif de jouer la comédie, et de s’inventer des scénarii catastrophes, comme en se travestissant en commando parachutiste (sweat-shirt CPA 10), un dimanche 13 mars 2022 au Salon Doré à l’Élysée ! Pour ce pathétique chef d’État, il s’agissait vraisemblablement de se mettre dans la peau de son homologue Vladymyr Zelinsky, afin de prolonger le délire récurrent de sa guéguerre contre un virus, mais cette fois en grandeur réelle sous la toise de son personnage étriquée. Dans les tranchées de son imaginaire sordide, néanmoins reproduite sur son compte Instagram ; « l’air harassé, barbe de huit jours, rouflaquettes en broussaille, jean et sweat à capuche », c’est ainsi que le pensionnaire de l’Élysée se décrit dans la presse étrangère, divertie et railleuse. Président immature et pitoyable, la France est moquée, ramenée à la médiocrité d’un soldatesque fanfaron : « Il y a un mois, il aurait été difficile d’imaginer le Président français Emmanuel Macron tenté de copier Volodymyr Zenlinsky » (Sources : Jacob Gallagher, in TMZ, Telegraph, Wall Street Journal).
L’actualité des problèmes dans cette partie du monde n’a pourtant pas été diffusée en partant des postures martiales d’un saltimbanque, sachant que la guerre intestine en Ukraine s’éternise depuis plus de huit ans. Ces belligérances intestines, entre séparatistes russophones et loyalistes euromaïdan, remontent après l’effondrement de l’Union soviétique qui retrouva son indépendance le 24 août 1991. Outre les premières secousses interethniques de l’après Grande Guerre, les accords de Minsk I échouèrent après la reprise de ce conflit civil en septembre 2014, puis encore passé l’accord de paix Minsk II qui aura réuni cinq chef d’État le 11 février 2015. Jusqu’à la pénétration des chars russes en Ukraine le 24 février 2022, les embrasements internes à l’Ukraine tournaient spécifiquement autour de revendications territoriales des oblasts (Donestsk et Louhansk), avec pour résultat la séparation volontaire de la Crimée le 20 février 2014 et la guerre du Donbass le 6 avril de la même année. Autrement dit, la conscience internationale aura fait l’impasse sur les 13 000 morts recensés par l’ONU entre 2014 et 2020, mais pas sur l’ingérence territoriale par l’offensive militaire de Moscou pour mettre un terme à ce conflit intérieur, car jugée dangereusement expansionniste par l’Alliance Atlantique.
Pour entrer dans le détail de négociations historiques, Il y eut un tête-à-tête et des communications apaisantes en février 1990 entre le secrétaire d’État américain, James Baker et Mikhaïl Gorbatchev, à propos du statut de l’Allemagne réunifiée au sein de l’Otan. L’expression controversée « pas d’un pouce » existe formellement dans une déclaration entre les deux protagonistes susvisés. Elle fut récemment exhumée d’un mémorandum américain déclassifié : « Nous comprenons la nécessité de donner des assurances aux pays de l’Est. Si nous maintenons une présence dans une Allemagne qui fait partie de l’Otan, il n’y aura pas d’extension de la juridiction de l’Otan pour les forces de l’Otan d’un pouce à l’Est », indique ce document (Sources, Spiegel,CheckNews, Libération et Sud-Ouest). Ce pourquoi, cet accord, même s’il ne s’inscrit pas formellement au titre d’un traité onusien, doit être respecté à peine d’ouvrir la boîte de Pandore. Même si d’aucuns reprochent à Vladimir Poutine de s’adosser à un conservatisme historique ; ce clivage demeure un droit légitime, quant à refuser d’adhérer au paradigme mondialiste postulé par la social-démocratie occidentale.
Prendre parti pour l’un ou l’autre camp ne fait que jeter de l’huile sur le feu, notamment en interférant dans un différend dont la France n’a ni la dimension géostratégique pour s’interposer, ni la légitimité géopolitique eu égard à un accord qui ne concerna que Donald Reagan et ses homologues russes Mikhaïl Gorbatchev et son successeur Boris Eltsine en leur temps ; mais une priorité géostratégique qu’il reste prudent de respecter encore à ce jour. Il en ressort que la présidence française, la Commission européenne et les membres de l’Otan ne doivent en aucun cas prendre le risque de violer le moindre paragraphe du Traité de désarmement Est-Ouest du 19 novembre 1990 entre les pays du Pacte de Varsovie et l’Alliance atlantique, au risque de ranimer le spectre de la guerre froide, face au géant de l’Est le plus redoutablement armé au monde. Il ne s’agit pas de pusillanimité, mais de bon sens et de circonspection, sachant que les exhortations et les menaces n’auront aucune prise sur le chef du Kremlin et desserviront fatalement les intérêts ukrainiens.
Dans une allégresse va-t-en-guerre du chef de l’Élysée, où il fut reçu avec enthousiasme les propos va-t-en-guerre de Joe Biden qui taxe Vladimir Poutine de « boucher », Emmanuel Macron en oublie que les États-Unis peuvent se permettre – non que ce soit acceptable – d’ajuster leur provocation verbales, dès lors que cette superpuissance est dotée de moyens dissuasifs presque aussi important que la Russie. Cependant, pour calmer, autant que faire se peut, les ardeurs juvéniles du Président français, le Congrès américain n’a jamais voté – pas même envisagé – une décision pour venir au secours de l’Europe de l’Ouest en cas de conflit généralisé de ce côté-là de l’Atlantique, et ne fera pas exception pour la France. Souvenons-nous que l’Amérique, à la tête de l’Otan, n’a pas davantage réagit militairement lorsque la Turquie, elle-même membre de l’Otan, a envahi la partie Nord-Est de Chypre durant l’été 1974.
Autre exemple, exhumons d’une mémoire encore fraiche de l’invasion turque de Royava en octobre 2019, où pas même la France n’est intervenue pour courir au secours des Kurdes de Syrie, lesquels ont pourtant permis la victoire contre Daesh sur le terrain aux côté des forces occidentales. Après le génocide arménien dès 1915 avec des massacres, déportations et marches de la mort ; l’envahissement d’une moitié du territoire chypriote et la spoliation de tous les biens des ressortissants de cette région ; c’est donc autour de cette région kurde d’être victime de persécution et de génocide, avec une épuration ethnique sans état d’âme des peuples de la région. Les forces du président Recep Tayyip Erdoğan sont entrées en Syrie sans intention de s’en retirer, bombardant les hôpitaux, assassinant les journalistes et faisant œuvre de razzia systématique, en provoquant l’exode de centaines de milliers d’autochtones. Or, les États-Unis ne bougent pas, n’exigent pas le retrait de la Turquie de l’Otan, parce que l’oncle Sam dispose de bases militaires dans cet État islamique. Ce pourquoi les alliances ne sont pas plus solides que dans un hyménée, et que les accords contractés entre les États ne garantissent pas plus de fidélité que dans un mariage.
Gardons-nous de trop d’assurance, car non seulement l’histoire du 6 juin 1944 ne se répètera pas, mais bon nombre d’Américains ne savent même pas situer la France sur une mappemonde. Il serait grand temps qu’Emmanuel Macron ravale ses prétentions et sa morgue pour les replacer à l’endroit exacte de sa minable gestion du pays, avant de s’ériger tel un rhéteur grandiloquent sur l’échiquier de la politique internationale. La longue période de 44 ans de guerre froide (entre le 26 mars 1947 au 26 décembre 1991), préluda ce que serait encore aujourd’hui un conflit majeur entre l’Europe et la Russie, sachant que la réciprocité de telles forces de dissuasion réduirait une hypothétique conflagration à l’échelle des forces stratégiques. Rien ne laisserait alors présager que les deux superpuissances, sans tenir compte de la Chine, de l’Inde et du Pakistan, s’affronteraient sur le terrain d’une guerre pas seulement mondiale, mais qui signerait la fin de l’humanité. L’Europe, nonobstant les forces nucléaires françaises et britanniques au milieu d’une hostilité euro-asiatique, prendrait alors tous les risques d’être sacrifiée pour éviter l’eschatologie, et l’Otan ne serait alors plus qu’une fin de non-recevoir pour la White House, à l’instar de Chypre et de Royava.
Edgare Faure avait repris la formule de Turgot ; « Avoir toujours raison, c’est un grand tort » (Mémoire 1), comme d’imposer son bon droit ou sa morale, car toutes les guerres furent menées par de telles certitudes et impudences. L’impérieux demeure la paix, et la concorde se passe de partisanneries et de provocation, surtout venant de personnes qui n’ont pas connu les horreurs des bombardements. Aussi, rappelons l’essentiel à l’Est, lorsque la perestroïka, dont la Glasnost (démocratisation et transparence) qui précéda le démembrement de l’URSS, aura rétabli la souveraineté des États de l’Europe de l’Est, quoique chaotique dans les Balkans. Quant à l’annexion de la Crimée à la Russie, elle fut réclamée unitairement par les Gentilés de la péninsule, comme il en fut de Mayotte à la France le 31 mars 2011, nonobstant la réprobation de l’ONU et des États du Pacifique Sud. Ce parallèle placé en exergue ne saurait dédouaner la France de ses velléités expansionnistes encore récentes, et devrait plutôt inciter le chef d’État à modérer les actes de vandalisme et de rétorsion contre les intérêts russes, culturels, matériels et financiers depuis le territoire français.
Sans l’ombre d’une hésitation, l’invasion Russe doit être condamnée par une résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies – non par le Conseil de sécurité en raison du postulat d’unanimité – en vertu de la clause de non-ingérence dans les affaires intérieures d’un pays souverain exprimée dans la Charte des Nations unies de 1945 : principe de l’indépendance des États ; un postulat coutumier et universel. Quant aux mimodrames pathétiques, ostracisme et relégations, boycotts, spoliations ou violations de biens privés de ressortissants russes, d’interdiction de représentations culturelles et de concerts contre des artistes portant un patronyme slave ; voilà bien autant d’incitations emmenées par une politique belliqueuse irresponsable contre cette puissante fédération asiatique. C’est ainsi qu’en France, les mercenaires inféodés à cette lugubre chasse aux sorcières font légion, alors que ces campagnes de dénigrement sont de nature à servir de cache-misère devant le déclin du pays sur tous les fronts. De sorte qu’entre la crise sanitaire et le conflit russo-ukrainien : même combat !
En bravant l’actualité pas ses pulsion, cela ne saurait modérer les débordements d’agitateurs décervelés, comme à commettre des actions injustes, ou à produire des propos et des attitudes hostiles contre des ressortissants qui n’y sont pour rien. La Présidence de la République se fait complice, voire incitatrice à de telles exactions. Roseline Bachelot, ministre de la Culture, aura ainsi déshonoré la France en promouvant ou en n’empêchant pas les proscriptions culturelles, ainsi la déprogrammation des concerts de l’orchestre du Théâtre Mariinsk avec Valery Gergiev, ou autre virtuoses devenus persona non grata pour le seul crime de disposer d’un passeport russe. Quant au chorégraphe Mitia Fedotenko, il fut contraint de choisir son camp pour ne pas être inquiété. Observons-là le produit malsain de responsables politiques incapables de discernement entre l’art et la politique, seulement versés dans le faire-valoir, le silence devant la rumeur, la délation ou l’embrasement par la haine, notamment à la veille d’élections nationales.
Encore plus navrant sur les plans diplomatiques et financiers, les conséquences des mesures d’embargo engagées par l’Exécutif français en osmose avec l’Otan et la Commission européenne, et dirigées contre la Russie (gel des avoirs, rupture des échanges…) nous reviennent comme un boomerang en France, notamment en faisant grimper les prix des carburants et en saignant l’économie nationale en termes d’importations prohibitives, désormais exclusivement négociables en roubles. Plus sordide encore, sont les yachts saisis aux oligarques russes dont l’entretien revient aux pays responsables de leur immobilisation, dont la facture de ces saisies conservatoires s’élève à ± 2 millions d’euros par an par navire, à la charge des contribuables de ces mêmes États. Difficile, sinon improbable pour le pensionnaire de l’Élysée, intrigant et compassé, de rivaliser avec le joueur d’échec chevronné du Kremlin ! Ceci expliquant cela, le coût des énergies fossiles a explosé pour les Français victimes des gesticulations pitoyables de leur Président, tout en multipliant par trois le prix de l’éthanol qui pourtant n’est pas produit en Russie (Cqfd). Ici, Emmanuel Macron parodie un spectacle bouffon qui remonte à 1895 ; l’histoire de l’arroseur arrosé !
À suivre
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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SOMMAIRE :
Introduction sur les objectifs recelés du World Economic Forum et ses prolongements dans le fil de l’État-Macron
A) Un rapport politique tronqué d’Est en Ouest, avec en tête de proue une Présidence française aussi malhabile que malintentionnée
B) Petite piqure de rappel avant de condamner les uns ou les autres au regard des réalités de terrain
C) Les exactions des brigades fascistes dans l’armée régulière et les services secrets ukrainiens
D) La diplomatie française en marche vers la voyoucratie présidentielle d’Ukraine
E) La seconde uchronie martiale de l’État-Macron après le virion Covid
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Vouloir nous faire croire que la pénurie provient de la guerre en Ukraine, c’est un nous prendre pour des demeurés et deux pour des ignares. En effet, nos importations depuis l’Ukraine sont vraiment faibles et tout compris ne dépassent pas les 600 millions par an, sources INSEE et Affaires étrangères. Pour exemple, la Pologne qui est notre dixième exportateur pour plus de 11 milliards !
Homme d’ “Honneur- Liberté- Bravoure !!! ” tels sont les mots, effectivement, élogieux prononcés par un autre homme de théâtre, lorsque Macron a voulu rendre le plus bel “hommage” qui soit , envers un président de théâtre, comme lui-même, aussi. Tel est le monde actuel , mais voilà aussi , dans de nombreux autres pays en guerre qu’il existe des braves gens “honnêtes” , en souffrance , qui ont encore du bon sens qui en ont marre des groupes paramilitaires coupables de meurtres “mafieux” qui dirigent certains gouvernants du monde , ceci, depuis de trop nombreuses années .
Voilà le ” Mal “, et nous en souffrirons toutes et tous , davantage, toujours plus nombreux. Je sais, Daniel DESURVIRE, que vous avez écrit tous vos excellents ouvrages , sans aucune animosité personnelle envers les mafias, en tout genre, votre unique et très honorable objectif a été uniquement de présenter la “Vérité vraie ” , vous appuyant sur des faits réels , en fournissant , pas seulement, des faits mais des arguments , afin que les peuples sachent où leurs dirigeants les entraînent .
Nous déplorons, malheureusement, que pour mener une résistance réussie contre l’expansionnisme des systèmes mafieux , il nous faut des Hommes courageux et non point de lâches pour nous libérer de ces hommes de théâtre, comme le monde en a déjà, moult fois trop souvent et longuement supporté ( Hitler , Staline, Mao Tsé-toung, Pol – Pot, etc , etc, etc), nous en subissons , encore, à ce jour, les effets pervers et collatéraux , nous le savons bien.
La vie est un éternel combat contre des états fallacieux , il ne nous reste plus trop de temps pour défendre ce qui reste de l’autrefois glorieuse civilisation qui était encore la nôtre, avant l’arrivée au pouvoir de ces ” pilleurs” de libertés qui pourrissent nos vies.
Je vous remercie Daniel DESURVIRE d’avoir tirer la sonnette d’alarme contre cette engeance, indigne? de diriger des êtres humains.
Bravo pour cet article qui va à contre-courant de la doxa, langue de bois et propagande, qui ont permis quand même à Macron d’être réélu sans opposition.