La droite dite nationale a juste oublié que la division ne fait jamais gagner…
Droite + droite = zéro !
Par Claude Picard
Selon une enquête de l’IFOP, 64 % des Français pensent que le concept “droite, gauche” ne correspond plus à rien.
Néanmoins, et malgré le galvaudage de cette formule, il est difficile de ne pas y faire référence.
Surtout, lorsque la plupart des politiciens se revendiquent encore, de gauche ou de droite, et que certains prônent, résolument, l’union des droites.
Si cette union est évidemment nécessaire, elle ne peut être une fin en soi.
Ses partisans, paradoxalement, utilisent trop souvent la scission pour faire aboutir leurs exigences et ils oublient, un peu vite qu’une élection présidentielle se gagne au centre, tout au moins à la marge. Cela ne veut pas dire qu’il faille gouverner avec le centre ou solliciter son approbation ; c’est le curseur des idées essentielles qui doit se recentrer. Sans aucune compromission, mais avec conciliation.
Tous les présidents de la République, qui ont réussi à se faire élire, avaient admis l’équation. Même De Gaulle, étiqueté à droite, et Mitterrand, plutôt de gauche ! Ils avaient compris qu’il fallait rassembler et fédérer une majorité de Français en tenant compte, en même temps, des aspirations populaires et des préoccupations plus prosaïques des classes les plus aisées. Pour obtenir cette concordance, il faut aimer tout ce qui fait la France et, surtout, bien comprendre ceux qui représentent cette entité : les Français ! Qui, selon les circonstances, sont tantôt un peu plus à gauche, tantôt un peu plus à droite.
Dans la perspective de la prochaine élection présidentielle, pour le politicard lambda, ça se complique, car s’il savait que, contrairement au code de la route, en politique le sens interdit n’existe pas, il savait aussi que son choix restait simple : il tournait à droite ou à gauche ! Ou il tournait mal !
Pour le politicard du camp national, c’est encore plus compliqué : dorénavant, son cœur balance entre deux candidats de même obédience, présentant une même plateforme idéologique. L’un, Éric Zemmour, qui veut coaliser toute la droite, jusqu’à la plus radicale, et l’autre, Marine Le Pen, qui rejette le vieux clivage “gauche-droite” et qui souhaite rassembler un maximum de souverainistes de tous bords.
S’il est vrai que leurs programmes sont pratiquement identiques, chacun a une approche très différente pour faire valoir le sien.
Outre leurs différences sociologiques – d’un côté, nous avons un polémiste urbain et mondain, vierge de tout militantisme, et de l’autre, une politicienne aguerrie, farouchement patriote – et au-delà des ambitions légitimes de chacun à vouloir diriger la France, c’est un choix cornélien qu’ils soumettent à leurs aventuriers respectifs.
Mais aussi aux nombreux électeurs, qui se posent la même question : quel intérêt d’organiser une primaire sauvage entre deux candidats de même obédience proposant des programmes quasiment identiques ? Cette confrontation risque de neutraliser les deux candidats au premier tour de l’élection et elle peut leur enlever, l’un et l’autre, la possibilité d’être au deuxième.
En cédant aux postures radicales, les séparatistes du camp national sont suicidaires, car ils scient la branche sur laquelle ils sont assis.
En révoquant une stratégie de dédiabolisation qui a été patiemment mise en œuvre avec un certain succès depuis des années par Marine Le Pen, ils porteront une lourde responsabilité en cas d’échec du camp national. Qui va y laisser des plumes.
D’autre part, ces diviseurs mésestiment le fait que dans une élection, c’est le peuple qui décide.
Lui seul ! Pas les appareils politiques !
Dans la situation présente, ce peuple pourrait, à dessein, trancher méchamment. Les incantations divinatoires d’un échec annoncé de Marine Le Pen, n’y changeront rien. Et certainement pas, non plus, les manipulations grossières pour dénigrer le tour de force qu’a accompli cette femme qui, par sa pugnacité, a imposé ses idées dans presque tous les rouages de la société.
Des idées, qui, curieusement, sont reprises, mot à mot, par ces mêmes dénigreurs…
Ces derniers, peuvent-ils comprendre cette lapalissade : soumettre la confrontation de deux candidats d’un même camp idéologique va, automatiquement, diviser leurs électeurs par deux…
La conjoncture actuelle ne devrait-elle pas les obliger au regroupement plutôt qu’à la dispersion ? Mais, peut-être que les séparatistes ont déjà échafaudé une stratégie pour l’après-élection ?
“Pendant ce temps-là, il y a en un qui se frotte les mains : Macron !”
Claude Picard
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Les partisans de la droite devraient refuser ce qui se passe actuellement : chaque camp attaque, surtout Zemmour, et c’est indécent parce qu’en plus cela favorise Macron. Le seul candidat qui peut battre Macron, c’est Pécresse : pensez-y ! D’ailleurs, c’est la seule qui attaque un peu Macron. Je voterai utile donc je voterai pour Pécresse.
Vous trouvez indécent qu’on attaque Zemmour, mais que fait pécresse, elle l’attaque tous les jours avec les quelques députés LR qui la soutiennent du bout des lèvres. La seule qui attaque macron ? vous plaisantez, elle est fausse et à la première occasion elle ira chez macron, elle a la traitrise dans la peau. Rappelez vous ceux qui critiquaient le plus macron, l’ont rejoint au premier coup de sifflet (darmanin, le maire, philippe….
Jamais je ne voterai pour Pécresse, miss gnan gnante, Traitresse jusqu’au bout des orteils, Pécresse n’est rien, elle n’a aucune personnalité, elle pique dans tous les programmes de ses adversaires (même jusqu’à chez Roussel) pour paraître autre que macron alors qu’il n’y a pas l’épaisseur d’une feuille de cigarette dans son passé entre elle et macron, d’ailleurs je n’oublie pas qu’elle a voté macron en 2017 et elle refera pareille car elle ne passera pas le 1er tour. Elle est alliée à l’UDI (Lagarde beurk) ça c’est un repoussoir, vouloir gouverné au centre, c’est avoir le Q entre deux chaises et pour ça il y a macron.
Dans un face à face macron pécresse je vote blanc
Dans un face à face Macron Zemmour je cours
Dans un face à face macron le pen je m’abstiens comme en 2017.
La présidentielle est un mirage électoral. Justement parce que la diversité des programmes, fort souhaitable en démocratie, divise. Ce n’est pas le cas des élections Législatives, qui elles permettent la diversité territoriale et politique. Rappelons que seules les Législatives sont représentatives au plan national, et seules donnent le consentement de la Nation au Gouvernement. Combien de députés le FN/RN a-t-il fait élire depuis 1988 ? Jamais un seul groupe parlementaire ! N’est-il pas temps de changer de cheval ?
Justement si d’aventure, ni Pécresse ni Le Pen ne parviennent à scorer, ce sera ensuite un boulevard aux législatives pour Macron. aucune élection législative qui suit une élection présidentielle n’a vu le Président élu la perdre. En prime, le candidat Zemmour n’a aucune représentation en régions.
larem sera laminée aux législatives et macron le sait , c’est pourquoi le parti horizon de philippe a été créé. (une magouille)
Pour avoir vécu auprès de : du Général président de GAULLE , mais aussi de Mitterrand ,, je me dois d’ajouter à vos justes réflexions ce que j’ai vu :
Deux hommes totalement différents.
Le premier était dit de droite , mais il a rassemblé la droite et les gaullistes dits de gauche, sous ls houlette de Philippe DECHARTRE ,
Les idées gaulliennes ont rassemblé, parfois, jusque 65% du peuple de France.
Il en fut de même sous la présidence dite socialiste, parce que le premier ministre Mauroy comptait au sein de son gouvernement des communistes.
Toutefois, force a été de constater que , en ce qui concerne les ” Droites ” , nous ne sommes jamais sortis des divisions qui perdurent depuis la Révolution française puis sous le régime bonapartiste , le peuple a connu ensuite 7sept révolutions et seize changements de régimes , lesquels ont divisé très dangereusement les Français , notamment, sous la Commune de Paris en 1870. Seule la grande guerre de 14/18 a rassemblé nos compatriotes contre l’ennemi extérieur qui avait annexé l’Alsace et la Lorraine.
Ensuite, la débâcle de 40 a été ressentie , en France, tragiquement ( dans les pays outre-mer et notre empire colonial) dans tous les esprits qui croyaient en la grandeur de la France , ce fut l’immense Désillusion .
Même si de GAULLE, à la Libération a empêché que le peuple de France se déchire, le mal était fait.
La politique est un mal radical, DE GAULLE l’a ressenti amèrement si souvent qu’ il savait, de longue date , ce que vous avez entendu à propos des Français n’était que le reflet de son amertume durant son vécu , il connaissait parfaitement la Nature humaine , parfois, . Révolutionnaire . Elle lui a été rappelée en mai 68.
Mitterrand aussi, avait une grande Connaissance de la nature dite humaine, , mais comme il était un Renard très malin, et tout aussi cultivé que: de GAULLE,,,il a su afficher une certakne Force tranquille qui a su apaiser les esprits
” refractaires” et révolutionnaires, et il a également su rassembler une grande partie du peuple , mais aussi diviser , grâce au Front national. Depuis, les Droites se déchirent, s’opposent et combattent en sauto détruisant.
Ce qui fait l’affaire des mondialistes qui sont les bras droits des banquiers internationaux qui n’ont pas d’âme , seulement, de très gros appétits pour le veau d’or en marche…
Il se confirme encore et toujours que la droite française est la plus bête du monde !