… qui galvaude la démocratie, désinscrit les libertés naturelles et viole le droit à une vie privée


Le dernier livre de Daniel Desurvire vient de paraître : c’est du jamais lu !!!


Histoire d’un Président qui n’aime pas la France

Par Daniel Desurvire

Chapitre 18

III – Conseil constitutionnel et collabos

A) Petit rappel du climat orchestré par l’État-Macron

Derrière l’excuse de cette pandémie, la Covid, qui aura quasiment cessé de tuer dès le mois de novembre 2020, ne laisse que de présumés malades placés en arrêt maladie et en quarantaine, dès lors que ceux-ci sont testés positifs afin de perpétuer le plus longtemps possible la phobie d’un virus, dont la contamination a désactivé, au fil de ses mutations, son agressivité pathogène. Vraisemblablement surpris par la survenance brutale de cette pandémie qui traversé tous les continents, il est raisonnable d’admettre que les mesures de confinements prises au départ, dès le premier trimestre 2020, aient été animées par la peur de l’inconnu. Or, dans le semestre qui suivit, il aura paru évident que la Covid-19 n’était ni le virus Ébola, ni autre peste dévastatrice, en tout état de cause bien moins que la grippe dite espagnole et pas davantage que la grippe dite de Hong Kong vue plus haut.

Ce pourquoi, les prolongements drastiques et qui suivirent furent animés par d’autres intentions, davantage liées aux profits autour de contrats opaques et juteux, qu’à des mesures prophylactiques annoncées avec fracas par des dirigeants politiques possiblement en affaire avec les grands industriels pharmaceutiques. Tel est le cas avec Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, l’épouse de Heiko Echter van der Leyen directeur médical d’Orgenesis Inc. Cette firme spécialisée en biotechnologie exerce dans les thérapies cellulaires et génétiques (Source : Alexandre Goldfarb, OdM du 4 août 2021) ; une branche active du Big Pharma et des vaccins anti-Covid. Autre révélation, le fils de ce couple politico-financier, prénommé David, associé chez Mc Kinsey de 2015 à 2019, serait l’une des sociétés-conseil du Président français.


En remontant un peu plus loin la jeune carrière d’Emmanuel Macron, il existe assurément des liens entre ce dernier lorsqu’il se mit en disponibilité de la fonction publique pour se convertir en banquier d’affaires à la banque Rothschild entre 2008 à 2012 et la société Pfizer. En effet, ce directeur financier participa alors activement au rachat de la branche nutritionnelle de l’américain Pfizer par Nestlé, via son président Peter Brabeck qui lui accorda toute sa confiance. Ce fut effectivement en 2011 que ce jeune arriviste fut professionnellement impliqué dans cette transaction d’un montant de 11,85 milliards de dollars. Comme dans toute cession en bourse, des commissions sont reversées au courtage pour un minimum de 0,1 % ; une somme supposée revenir à Emmanuel Macron, dont le montant n’aurait jamais pu être inférieure à 11 millions de dollars. Prétendre que ce jeune banquier aurait agi bénévolement relève du canular !

Nonobstant le secret bancaire, comment ne pas croire qu’il subsiste des liens financiers et physiques entre ce chef d’État et la branche pharmaceutique Pfizer ? Rappelons qu’Emmanuel Macron, l’actuel fossoyeur des libertés et liquidateur de la France, fut aussi de la partie en 2015 lorsque son ministère brada le conglomérat Français Alstom à l’Américain General Electric. Combien de délits d’initié se trament en coulisse, puisque ces acteurs malfaisants ne se font jamais prendre dans ce pré carré de complices auto-protégés dans l’opacité de leur omertà mafieuse ? Comment ne pas s’inquiéter qu’un investisseur, alors négociateur en transactions mobilières quelques années auparavant avec ce fournisseur de vaccin génique, ne soit pas toujours en relation d’affaire, donc en conflit d’intérêt ? En l’occurrence, le patron de l’Élysée se sera investi corps et âme dans une urgence sanitaire opportune pour les affaires. Corrélativement, ce virus, qui gave les consortiums pharmaceutiques de milliards d’euros, profite selon toute vraisemblance à leurs mandants, via des commissions occultes.

Ce boulevard de profits, particulièrement juteux, aura autorisé nombre de chef d’État à se compromettre dans les orgies financières depuis les laboratoires pharmaceutiques. De débordements juridiques aux manipulations médiatiques pour convaincre les ressortissants du bien-fondé d’une action au mobile sanitaire controuvé, mais propice à suborner les électeurs quant aux décisions liberticides des dirigeants élus, il aura fallu piquer en masse les populations entières avec de prétendus antidotes fabriqués à la hâte, afin d’honorer des commandes colossales se chiffrant autour de dix zéros d’€. Jamais une mascarade aura autant circonvenu les citoyens du monde, que leurs gouvernances transformèrent en cobayes hypocondriaques sous le feu d’une psychose collective entretenue dans le mensonge. De surcroît, il ne faut pas compter sur la probité et l’indépendance des juridictions judiciaires ou des Sages de la rue Montpensier qui ont partie liée avec les politiciens, lesquels les intronisent et se jouent du droit prétorien.

De tels liens entre la justice, le pouvoir et l’avoir ne sauraient être innocents, sinon suspects, sachant qu’il existe indubitablement une relation entre les décisions politiques et les applications judiciaires de bioéthique et de santé notamment. Cette évidence s’impose, puisque le fonctionnement judicaire à l’intérieur de l’EEE, du Conseil de l’Europe et de l’UE s’en trouve influencé, sinon corrompu par les corps politiques du vieux continent. Illustrant l’altération de l’indépendance de ces institutions, les 47 juges de la Cour EDH, sise à Strasbourg, sont élus par l’assemblée parlementaire des politiques. Ces plénipotentiaires sont indubitablement juges et partis, puisque tous issus d’une organisation intergouvernementale entre les 47 États sis à Bruxelles. Prétendre que les juges de la CEDH sont indépendants et impartiaux, détachés de leurs liens nationaux et patrimoniaux, absents de préjugés discriminatoires, puis protégés de l’influence politique est une gageure impossible à tenir.

De surcroît, ces magistrats sont hiérarchisés, rémunérés et orientés par ceux qui les ont intronisés sous l’empire de leur pays respectif, même si leur mandat n’est pas renouvelable. Trop d’intérêts sont en jeu, sachant que cette institution est déjà placée sous l’influence géopolitique directe du Conseil de l’Europe et de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ; des organes partisans et régionaux placés face au reste du monde. Aurait-il fallu, pour circonscrire ces risques de dépendance, de confusion et de concussion, que ces magistrats soient nommés par d’authentiques corps judiciaires professionnels du droit, telle la Cour de cassation en France, plutôt que d’être choisi et investi par des politiciens au pouvoir.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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2 thoughts on “Histoire d’un Président qui n’aime pas la France 18”
  1. Au fil de vos articles, nous découvrons effectivement que ce président méprisant et frimeur n’aime pas la France.

  2. Un énorme merci M. Desurvire pour la qualité de vos articles qui sont une source de réinformation. C’est toujours un plaisir de vous lire.

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