… qui galvaude la démocratie, désinscrit les libertés naturelles et viole le droit à une vie privée

Le nouveau livre de Daniel Desurvire (existe aussi en format liseuse) :


Histoire d’un Président qui n’aime pas la France

Par Daniel Desurvire

Chapitre 9

I / La démocratie : entre grandeur et décadence -suite –

B) L’histoire d’un Président, le 5ème et très inattendu des rois maudits, lequel déposa la démocratie sur l’autel sacrificiel de sa curia regis

L’important est donc de se convaincre que ce que dit l’État est vrai, et que ses détracteurs sont des affabulateurs qui dérangent plutôt qu’ils alertent ; et là, ce serait très inconfortable ! De sorte que l’Exécutif n’a plus rien à prouver, sinon de continuer à propager un brouillard pour maintenir l’illusion, et masquer son incompétence et/ou sa malhonnêteté, devant un virus pas plus ravageur que l’influenza, mais craint comme la peste et l’Ébola. Quid de ces fanatiques qui tuent en hurlant Allah akbar ! Qu’ils soient musulmans et réfugiés, ces criminels seraient aussi les victimes de notre société. Mais l’important est d’ignorer que c’est cet État providence qui les fait venir sur le territoire, accompagnés de centaines de milliers d’autres de leurs coreligionnaires islamiques. Pour museler ceux qui ont l’audace d’y voir plus clair, le caviardage d’État fait son travail de ratissage et de nettoyage. Quant au public acquis sur confort canapé, « ce qu’il se dit à la télé est forcément vrai, a fortiori si c’est le Président qui parle » !

Reste à phagocyter les outils de diffusion et de production intellectuelle et informative. L’AFP, Hachette et la plupart des pools liés à l’information, la distribution et le livre, sont très souvent des entités de droit privé dont le noyau dur des actionnaires (CA ou directoire) est parasité par des personnes physiques mandatées par l’Exécutif. Rien ne doit transpirer depuis l’intérieur glauque de cette conspiration pour le tout-pouvoir et la mainmise sur l’ensemble de ce qui s’imprime, se dit et se voit. Nous n’achetons pas seulement chinois, mais nous sommes déjà dans cette ruche d’insectes sociaux, jadis désignés pour être le péril jaune. Nous avons été éduqués pour croire aveuglément que le communisme était la seule référence du collectivisme. Mais nous avons oublié que la centralisation des pouvoirs n’était pas le privilège des dictatures socialistes, puisque la social-démocratie, qui se veut être l’apanage des pays libres d’aujourd’hui, l’aura subrepticement réinventé, sinon perpétué à travers une lexicologie de camouflage.

De fait, l’appendice « social » issu du mot anglais « socialism » du théoricien Robert Owen vers 1837, s’accroche aisément à toutes les dictatures. Ce terme souvent usurpé à ses fondateurs intellectuels, fut galvaudé çà et là dans l’histoire et la géographie des peuples. Il suffit d’examiner de quoi sont faites les appellations politiques depuis la naissance de l’Union des Républiques Socialistes et Soviétiques, notamment avec l’avènement du trotskysme, ou encore avec la puissance impérialiste de Mao Zedong d’allure socialiste, toujours sur l’antienne des dictatures prolétariennes. Puis vint le Nationalsozialismus, où le parti national-socialiste des travailleurs allemands, lequel vira rapidement en une autre forme de dictature, non pas communiste, mais avec un appositif à connotation autoritaire, intolérante et raciste, qui rejette d’emblée les concepts multipartites, la liberté d’expression ou d’opinion et l’habeas corpus.

Contrairement à une idée reçue, Carl Marx et Friedrich Engel jugeaient le socialisme comme « propice à un autoritarisme superstitieux ». Emmanuel Macron, qui fut membre du parti socialiste en 2006, répond à la catégorie sociale-démocrate qui caractérise la majorité des hommes politiques dans l’Union européenne. Or, la social-démocratie n’est jamais qu’un avatar de plus à aligner derrière les paraboles socialisantes qui firent autant de mal à l’histoire des peuples, avec davantage de morts dans les camps de rééducation en temps de paix avec cent millions de morts, que durant les deux Grandes Guerres (Source : Stéphane Courtois, historien. Voir le livre du collectif d’universitaires : « Le livre noir du communisme »).

Cette récupération tentaculaire et mafieuse de ce paradigme autoritaire à travers un socialisme d’école, par les sentinelles de l’État-Macron et ses thuriféraires dans un public généralement inconscient, à savoir à quoi leur parangon les prédestine, ouvre quasiment toutes les portes pour sonder les citoyens-prospects, puiser au plus profond de leur intimité. L’État-Macron abonde dans les processus techniques d’instruction et de propagandes pour verrouiller les esprits vulnérables par des clichés de récursivité itérative, abondants, choquants et contaminants. Ces pratiques sont associées à des prédicats hautement suggestifs, associés à des manipulations subliminales qui forcent les portes de l’inconscient cognitif, d’où les attaques rétiniennes et sonores, fondées sur la méthode mathématique d’affectation destructive. Des slogans mille fois répétés sont omniprésents et incontournables, jusqu’à pénétrer l’inconscient des victimes qui s’ignorent. La crise de Covid procura à l’Exécutif toutes les prétextes, ajoutée aux menaces du terrorisme musulman toujours bien présentes et entretenues, pour surenchérir avec des lois liberticides et des décrets mortifiants.

Nonobstant ce changement de société où les droits naturels s’envolent au rythme effréné des réformes de plus en plus menaçantes pour les libertés, chacun croit encore voter, agir et se déplacer selon son libre-arbitre et se persuade de vivre en démocratie, être protégé et bien administré, offrant ainsi sans réserve ni vigilance son ingénuité aux manipulateurs d’écran et de cortex. Pourtant, durant cet intervalle que nous a réservé l’État-Macron, la France compte un million de chômeur de plus, un quart de million d’entreprises ont déposé leur bilan et le déficit public s’est augmenté de près de 20 %. Or, rien ne semble alerter l’opinion publique, davantage sonnée par l’ambiance anxiogène que propage l’État-Macron, que par la situation catastrophique du pays occulté par les médias serviles. Qu’importe si le numérique est en voie d’être récupéré par le big boss de l’Élysée, avec le concours des services fiscalement avantagé des Big Five (les Gafam), afin de récupérer le dernier maillon résistant de la communication, de l’information et de la surveillance électronique erga omnes !

Par association, rappelons que la sécurité des communications et le déchiffrement étaient déjà la marotte des services de renseignements en URSS, avec notamment le KGB, la Stasi et autres organes de l’inquisition et de l’espionnage, à l’aide d’étranges pratiques comme la création de fausses rumeurs et la désinformation par la propagande. Joseph Goebbels se montra d’une redoutable efficacité dans ce domaine, avec l’emploi de techniques d’avant-garde pour cette époque. Voilà autant de ressemblances avec l’exercice du pouvoir de l’État-Macron qui abuse des infox en propageant des fausses nouvelleset en dissimulantles vérités qui contreviendraient ou démystifieraient ses duplicités. La manipulation des informations passe par le mensonge ou la mystification sur les antennes Tv, la radio, la presse papier, le web et les affichages, pour répandre depuis 2020 une peur viscérale de Covid dans les populations hallucinées.

L’imposture étant que ce virus est quasiment éteint et n’a plus aucune raison d’être perçu comme une calamité, il ne permettrait plus, pour l’élite politique dirigeante indélicate et ses partenaires industriels cupides puis ses pourvoyeurs financiers complices, de s’enrichir dans une normalité sociétale rétablie. Voilà bien un scénario qui compromettrait le devenir des contrats juteux avec les industries du Big Pharma. Il s’agit en priorité, pour la classe dirigeante, qui profite de cette opportunité pour instaurer une surveillance globale et inquisitoriale sur l’ensemble de la Nation, à l’instar des régimes collectivistes.

Heureusement que les masques sont là, et à présent le passe-sanitaire, pour rappeler sans cesse que le virus est en embuscade, même s’il est anaérobie, même s’il n’est plus que l’ombre de lui-même, même si vacciné ou pas, il se propage pareillement sans pourtant pouvoir se développer !

Heureusement aussi que les tests ont pris la place des morts pour permettre à Olivier Véran – le courtisan du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré – pour pérenniser la fraude statistique alimentée de ses additions morbides et de la falsification rituelle des certificats de décès (Voir infra, p. 40, 55 et suivantes).

Heureusement enfin, sous la menace d’un sevrage de vérité, de disposer de tous ces mobiles pour récompenser son addiction au mensonge !

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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By Observatoire du MENSONGE

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2 thoughts on “Histoire d’un Président qui n’aime pas la France 9”
  1. En fait c’est l’état qui ets le plus grand pourvoyeur de fake news et qui entretient une totale obscurité sur la réalité.

  2. Merci Daniel Desurvire …Que de remarquables analyses en tout chapitre un régal de vous lire
    Malheureusement, nous nous devons de regretter que les peuples sont toujours aussi amorphes face à un régime qui s’annonce totalitaire., comme nous l’avons deja constaté et déploré , très souvent,, dans nos articles sans pouvoir constater une réaction importante et salvatrice de nos compatriotes pour empêcher la catastrophe qui est devenue inéluctable.
    Pour ma part, depuis 1991,, mes alertes écrites ont été ignorées, jour après jour,, neanmoins j’ai persisté, nous savons pourquoi l’histoire se renouvelle , l’idéologie mondialiste ressemblera à ce que nous avons déjà subi..malheureusement., l’opinion reste laxiste , elle comprendra , mais il sera trop tard.

    ..

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