Dans ce contexte, l’islam n’a pas à revendiquer une position qu’aucune religion n’a plus le droit d’avoir.
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Pour l’instant, nous ne voyons que le pire de l’ancien.
Islam de France : faux débat !
Par Claude Picard
Il est toujours ahurissant de constater le degré d’impuissance de nos gouvernants pour promouvoir des réponses efficaces aux problèmes politiques ou sociétaux. Surtout quand, à rebours et la tête à l’envers, ils en arrivent à ne plus contrôler des situations préparées par eux-mêmes. Et les désordres, que cela génère, deviennent incommensurables. Comme l’épineux contentieux sur l’immigration qui perdure depuis plus de trente ans et – cause à effet – le développement exponentiel de l’islamisme qui fait des ravages. Pas seulement dans la tête des adeptes de l’islam !

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L’islam n’est pas, ne peut pas être de France, car notre pays a été strictement chrétien pendant bientôt deux siècles et, par ses racines, mais aussi par ses traditions et ses valeurs, il l’est toujours.
Même la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, texte fondamental de la Révolution française, a été profondément inspirée par des préceptes chrétiens. Indéniablement, nous sommes de culture chrétienne.
Sauf que depuis 1905, notre République, en devenant laïque, a fait perdre à l’Église son hégémonie et a instauré une nouvelle donne : “la République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte”.
Elle garantit le libre exercice des cultes, sous réserve de l’intérêt de l’ordre public. Sa seule mission est de garantir à chacun le droit de croire ou de ne pas croire. Point !
Dans ce contexte, l’islam n’a pas à revendiquer une position qu’aucune religion n’a plus le droit d’avoir.
D’autant plus, que l’islam a toujours été en opposition frontale avec le christianisme et qu’il n’a aucun enracinement ancestral dans notre Patrie.
Ce n’est pas les quelques décennies de colonisation culturelle islamique qui vont changer ce constat.
Par contre, le danger est grand que l’influence doctrinale de l’islam puisse, à terme, bouleverser le paysage culturel français.
C’est, malheureusement, déjà le cas dans nombre de nos territoires, banlieues et quartiers, où l’on pourrait facilement se croire en pays étranger.
Là, où plus rien ne rappelle la France, par ses tenues vestimentaires, ses coutumes importées et en établissant de nouveaux rapports sociaux (plutôt asociaux), la population a, depuis longtemps, fait sécession. Et les pouvoirs publics laissent faire, “pour ne pas faire de vagues”.
La léthargie et l’insouciance, l’inconscience, des dirigeants français face au danger islamiste fait peur. Le pire, c’est quand ils préconisent de construire un “islam de France”, payé par les contribuables, alors que l’islamisme, en dix ans, a déjà multiplié par trois le nombre de ses fidèles dans des mosquées, qui, dorénavant, sont dirigées par des salafistes purs et durs. L’islam n’a plus besoin de personne pour se développer et de toute façon, dans un État laïc, il est tout de même extravagant que des responsables politiques songent à se mêler d’une dérive religieuse en prenant le contre-pied de ce qu’ils devraient exiger, c’est à dire l’application de la loi !
L’arrogance de l’islamisme est le résultat de trente ans de déni, de passivité, de compromis.
Ce rajoute à cela, l’islamo-gauchisme d’une grande partie de l’élite française qui a fait croire à l’islam qu’il fait, désormais, partie intégrante de la société française. Grosse erreur !
Cette religion, qui n’est pas qu’une religion, mais aussi un code civil à l’usage des musulmans et qui a été importée par l’immigration, a encore du chemin à faire pour prétendre se fondre dans le paysage français. Pour cela, il faudrait qu’elle veuille bien se positionner par rapport aux lois, aux coutumes et aux mœurs de notre pays. Ce n’est pas aux Français à s’adapter à l’islam, ce sont les musulmans qui doivent s’adapter à la France ; l’inversion de ce principe a assez duré.
S’ils ne peuvent pas s’intégrer correctement selon nos valeurs qu’ils aillent vivre dans un pays musulman.
En emmenant dans leurs bagages, tous nos islamo-gauchistes ; cela nous fera des vacances !
Mais la réforme de l’islam, c’est leur problème, pas le nôtre !
Claude Picard
Auteur de Un colonialisme qui ne dit pas son nom
et Les tartuffes de la compassion
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Claude Picard pour Observatoire du MENSONGE
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Il faut que l’état reste séparé des “cultes” sans quoi la “laicité” ne serait plus la regle .
Pour l’islam il ne doit y aucun débat ! L’islam, DEHORS !
Bravo Claude Picard pour votre article, aucune virgule à enlever , j’ajouterais deux citations qui met en exergue l’islam :
« Ce pourquoi l’Islam n’est pas seulement une secte morte au sens où elle a cessé de se construire, mais a fortiori ce culte incarne cette mort. De fait, s’il y a construction, elle se mue en destruction, en vacuum. Ainsi, la religion musulmane, lorsque ses précepteurs se querellent, aboutit à de sanglants conflits et se scinde en sectes, plutôt qu’elle recherche une concorde. Ce pourquoi encore, les fervents fidèles de l’Islam depuis son avènement n’ont jamais cessé, à l’instar de la vie de Muhammad, de guerroyer, de s’entretuer, parce que ce culte n’a jamais eu d’autorité spirituelle magistrale pour enrichir sa propre réflexion et pouvoir s’affirmer en une doctrine vivante et progressiste. »
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.
« Mais là où le bat blesse, c’est précisément parce que les Musulmans n’acceptent pas de changer un seul mot du Coran, que nombre d’entre eux adoptent les comportements de gens qui ont vécu mille quatre cents ans en arrière de notre époque. »
« L’Islam en tant que religion n’existe que par le Coran, et le Coran est, à l’instar des langues mortes (ainsi la langue d’Hérodote ou le latin archaïque), un culte mort, stratifié dans la seule histoire de son Prophète. Le reste est tiré de la Bible, plagiée, malmenée et déformée jusqu’à l’outrage. «
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.
100% d’accord avec votre analyse, Monsieur Picard. Cet engouement à vouloir se faire détruire par les Français fait penser à la période noire de la collaboration. La peur n’expliquant pas tout.