Un de nos hommes politiques, doté d’un certain courage et d’une acuité certaine, a osé prononcer ces mots tabous : « Nous sommes en dictature ! »
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La Dictature En Marche
Par Michel Roger
Un de nos hommes politiques, doté d’un certain courage et d’une acuité certaine, a osé prononcer ces mots tabous : « Nous sommes en dictature ! », faisant hurler à l’unisson ses collègues et bon nombres de journalistes de diverses tendances : qu’en est-il ?
Selon Littré, une dictature est « le pouvoir absolu remis temporairement entre les mains d’un homme ou d’une assemblée. » ; Larousse précise « Régime politique caractérisé par l’exercice sans contrôle d’un pouvoir politique absolu et souverain par un exécutif, qu’il soit personnel ou collégial. »
La constitution de notre Vème république à été écrite à un moment précis de notre histoire, pour répondre à des circonstances exceptionnelles, et pour un homme tout aussi exceptionnel, qui a tout donné à son pays, sans en tirer aucun profit personnel et roi sans couronne a quitté le pouvoir lorsqu’il a constaté que la volonté populaire qui l’avait mis en place ne le suivait plus…
Cette Vème république était rendue nécessaire, car l’histoire nous l’apprends, la direction d’un grand pays ne peut être dirigée de manière collégiale : celle qui la précédait, règne du roi Pétaud avec son instabilité chronique, nous avait mené au bord de la catastrophe économique et de la guerre civile. Il fallait donner à notre pays de grandes idées, de grands défis à relever, non le ruiner dans des discussions de couloir pour mettre en place des combines de maquignon en essayant de tirer la couverture à soi.
Alors oui ! Les destinées du pays ont été déléguées à un homme investi directement par le peuple, aux suffrages directs. Pour soutenir son action, Il est proposé au peuple de donner la majorité parlementaire en élisant des députés qui s’engagent à mettre en œuvre ses directives. Le contrôle de ses actions et décisions est assuré par un sénat, élu par les représentants des collectivités territoriales. Enfin un conseil constitutionnel contrôle la conformité des lois à la constitution du pays.
Dès lors que le Président est soutenu de manière inconditionnelle par une majorité parlementaire, il peut faire à peu près ce qu’il veut, Il choisit le premier ministre et adoube les membres du gouvernement : même si le sénat peut modifier la loi proposée, c’est – in fine – le parlement qui a le dernier mot. La justice elle-même, est soumise au garde des sceaux qui est lui-même mis en place par le président.
On peut, je pense, dire que le président élu au suffrage direct, et l’assemblée des députés (elle-même élue au suffrage direct) ont reçu délégation du peuple, car c’est un fait, pour tenir les rênes de son destin, pour le meilleur comme pour le pire.
Lorsqu’un ministre passe outre, les accords entre patronat et syndicats sur les problèmes de financements du chômage, de la retraite ou du temps de travail, et impose ses vues personnelles, est-ce de la concertation ou un dictat ?
Lorsqu’un gouvernement impose ses conceptions par des décrets, ou passe outre à la volonté exprimé par référendum et prend des engagements contraires cette volonté…N’est-ce pas la un acte de dictature selon Littré et Larousse… ?!
Le Français est une langue riche en nuance, mais elle est précise et excelle à définir le sens des mots qui la composent. Liberté nous est encore laissée de profiter de la richesse de notre vocabulaire, on peut parler français ou la « langue de bois ». Si il y a une leçon à tirer de cet « incident politique », c’est que le peuple a choisi ses maîtres, quelque soit le nom qu’il convient de leur donner ! Ce choix, il lui appartient de l’assumer, et si il estime avoir été trompé, au moment de mettre son bulletin dans l’urne qu’il se remémore la fable de La fontaine « le corbeau et du renard » ou mieux encore « le chat, la belette et le petit lapin »…
Michel Roger
Article à lire en cliquant sur le titre: Franc-maçon
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Le problème n’est pas de droite ou de gauche, on en viendrait presque aujourdhui à regretter Sarkozei en suite de Hollande et de son fiston. Le problème est ici de pouvoirs détournés, d’hypocrisie profonde, et de profonde corruption.
L’homme ou la femme intégre sont rejetés, la masse adhère à ce système par ignorance ou peur d’être frappée.
Le grand De Gaulle passerait aujourdhui pour un imbécile aux yeux des pervers dont l’intelligence se borne à s’adapter; à profiter et encourager le pire qui reste encore à venir et supporter.
Nous ne sommes plus en république. Le droit n’ plus qu’un leurre qui légitime l’impôt, les privilégiatures et les indemnités de dits hauts fonctionnaires et assimilés rémunérés pour obéir à l’ordre sans légitimité. Les opposants sont réprimés, la corruption sévit très largement et les pervers récompensés. Ici très bas, il est possible de vous voler, de vous blesser, de vous tuer sans répression. Avec les taxes et les impôts, nous engraissons cette corruption fondée sur un droit si joliment dit et écrit, inappliqué pour le con tribuable lamda. Ici très bas des notaires peuvent spolier, des vendeurs vous rouler, des fonctionnaires faire le faux, une dictature de c… sévit profondément depuis des années et se confirme sans contre pouvoir non réprimé, véritables organes de contrôle. Ici très très bas la femme est déconsidérée et ne peut évoluer sauf exception qu’en tant que p.. ou soumise. Ici très très très bas le mensonge est de mise, les fonctions usurpées, seul le valet imbécile et méchant est de mise.
Pour moi, il ne représente pas La France ! un an déjà et une opposition qui se vautre avec un Wauquiez ou un Merluchon fidèle aux ordres pour faire barrage à Marine au cas ou elle reviendrait en force ! []
De plus, il pourrait fortement se représenter en 2022 , c’est pas impossible , il as les médias et les “nouveaux services de renseignement” (qui laisse filer des Fichés ) dans sa poche . [] (Les “atouts” de Néron l’imposteur !). []
La France n’est plus souveraine et ce depuis son entrée dans l’Union Euro et l’ OTAN (l’autre machin ! qui va nous envoyez tout droits vers des conflits …mais, on est déjà dedans et les deux pieds bien enfoncés …). C’est pour cela que je ne me pose plus trop de question sur le devenir de la France de l’état plutôt que celle du peuple qui seront toujours les “dindons de la farce” car, il faudra toujours payer pour les missions à long terme puisqu’apparemment le “terrorisme” est un bon cru pour les vendeurs d’armes et de promulgations de la sécurité “high -teck” !
La démocratie à la Française d’où le principe de la République française est :
« gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
Article 2, titre 1er de la constitution française. »
QUESTION : Es-ce cela que nous voyons actuellement en France ???
Soulignons la définition d’une dictature :
1.système de gouvernement où le pouvoir n’est soumis à aucun contrôle.
2.mode de gouvernement autoritaire.
3.pouvoir absolu.
4.(antiquité)dans l’Antiquité romaine, exercice du pouvoir par le magistrat extraordinaire.
QUESTION : La France est-elle sous un régime dictatoriale ???
Trois citations :
« La dictature est en marche avec la complicité active des médias… »
Alexandre Goldfarb Observatoire du MENSONGE
« La dictature s’installe comme écrit dans Les barbelés de la pensée, sauf qu’elle s’installe sans bruit ni bottes ! Une cellule spéciale est même installée à l’Elysée pour traquer, j’écris bien traquer, la moindre information qui pourrait nuire à Sarkozy. Du jamais vu en France mais connu en RDA à l’époque de la STASI… »
Alexandre Goldfarb Observatoire du MENSONGE
« La dictature s’épanouit sur le terreau de l’ignorance. »
George Orwell
Commentaire très valable mais il faut aussi une opposition constructive même si celle-ci n’est pas unitaire. Par exemple une droite qui tient debout et une gauche qui n’est pas démolisseuse
Je suis totalement d’accord avec l’analyse de Michel ROGER , Pourtant je croyais le peuple souverain , et les élus nos représentants , ,Mais là ! Sommes nous toujours en république , je pose la question ? GR UFF 34 , adhérent VPF