Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !
A – L’information confisquée au profit de la pensée dominante
Par Daniel Desurvire

Le dernier livre de Daniel Desurvire vient de paraître, une édition exceptionnelle et rare
Macron le “déconstructeur”
Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !
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Sommaire
A – L’information confisquée au profit de la pensée dominante
B – Les élucubrations et la déficience de parvenus en politique
C – Ingérence géopolitique et pathologies du pouvoir
D – Piqure de rappel pour vacciner l’histoire contre l’oubli
E – La banqueroute de la France
F – Transgressions politiques et indifférence du Peuple
G – Le 2.0 de Singapour est à nos portes, et le carnet à point chinois est arrivé
H1 – Entre asile politique des réfugiés …
H2 – … et asile psychiatrique pour chefs d’État insanes
A – L’information confisquée au profit de la pensée dominante
En France, particulièrement sous les mandats présidentiels de François Mitterrand dès 1986, et plus tard de François Hollande puis à ce jour d’Emmanuel Macron, il se trame une vision honteuse de la démocratie, où la liberté d’expression (article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen) se mue en délit d’opinion. Quant à la vie privée, ce qui correspond au journal intime des citoyens à ce jour alpha-numérisé en données confidentielles, elle se retrouve exposée au regard inquisitorial d’un seul individu qui agit en autocrate, outrepassant les attributions du pouvoir exécutif de la 5ème République, manipulant une armée d’inquisiteurs de droit privé, et se retranchant derrière l’inexpugnable citadelle de l’Élysée pour mieux phagocyter tous les rouages de la vie politique.
Lorsqu’une démocratie chavire sous les coups de butoir d’un oukase absolutiste depuis l’intransigeance de l’exécutif, voyons-là les prémices d’un césarisme qui, imperceptiblement et sous des prétextes fallacieux, gomme un à un chaque segment des droits fondamentaux. Il ne saurait exister de dictature douce dans un état de droit au prétexte d’une situation d’exception ou d’urgence, car même une guerre, quelle qu’elle soit, exige l’approbation du Peuple par la voie législative, conformément à l’article 35 de la Constitution. Tel ne fut pas le cas le 23 mars 2020, où le chef d’État se sera fabriqué son mobile en violation des dispositions de l’article 16 de la Constitution. Or durant cet état d’urgence, baptisé sanitaire pour échapper au droit constitutionnel qui ne le prévoit pas, l’État ne fut géré que par ordonnances et décrets sous les directives du cabinet privé McKinsey & Company directement connecté au bureau de l’Élysée. En l’occurrence, les deux hémicycles parlementaires ont été consignées au rang de chambre d’enregistrement, privées de débat contradictoire en séance ouverte.
Mais avant d’avoir bâillonné les représentants du Peuple, l’État-Macron s’est offert l’exclusivité de l’information par les voies souterraines des finances publiques : les médias, toutes voies de diffusion confondues. De fait, un fort contingent de cette corporation est obséquieux devant l’autorité régalienne, car en contrepartie de leur servilité, des subventions sont déversées depuis le 139 de la rue de Bercy, agrémentées d’exonération fiscales et parafiscales, d’un droit à l’antenne ou au micro, et d’une distribution autorisée par l’Arcom sur les plateaux. Quant à la presse écrite, les colonnes proposées par les conseils de rédaction doivent répondre aux directives des prêts-à penser éditées par le ministère chargé de la Communication, puis encore les éditions du livre qui doivent se conformer à l’exclusion des auteurs maudits par la police idéologique, sorte de Goulag intellectuel à l’instar du NKVD* soviétique.
Il en résulte que les faveurs économiques et culturelles excluent la presse libre et les essayistes qui refusent de se laisser acheter par ce berlusconisme fiscal. Voilà bien autant de procédés iniques et détestables pour achever de priver de ressources ces diffuseurs d’informations, lesquels ont l’audace de revendiquer leur indépendance dans un État constitué d’apparatchiks* ! Le Gouvernement n’ayant pas l’imprudence d’ester en justice pour assassiner cette presse d’opposition, le législateur s’est assuré du droit de mandater des intrigants de droit privé afin d’agir pour son compte (art. R. 873-1 et 2 du Code de la sécurité intérieure ; V. p. 20, 40, 45 et 102 de l’ouvrage « La nouvelle pensée unique en social-démocratie – Haro contre le lobbying liberticide des faiseurs d’opinion », L’Harmattan, 2016).
Au plus fort de son intolérance contre la pluralité politique qui s’oppose à la pensée obligatoire de cet oligarque, dès l’entrée en fonction de cette mandature autoritaire en 2017, un réseau de sycophantes, emmené par les militants de Sleeping Giants France, est chargé de dissuader les publicistes de vendre leurs annonces à cette presse indépendante (V. infra, § G). Le processus, aussi pervers soit-il, part d’une logique morale imparable, car légitimée par des lois et règlements à la façon des lanceurs d’alerte. Ce réseau a pour mission de débusquer des sites diffusant la désinformation à l’aide d’infox, des communiqués d’actualité falsifiés ou truqués réputés troubler l’ordre public. Il s’agit sur le fond juridique de messages racistes, antisémites, LGBTphobes, misogynes. Cependant, ces motifs d’apparence éthique dissimulent des intentions moins vertueuses. À leur corps défendant, les Giants servent d’alibi pour le régime oligarque qui, à l’aide de cet outil, cherche à débusquer ses contradicteurs ; que ce soit sur leur courriel, les réseaux sociaux, les sites ou les blogs journalistiques.
Si la plupart des Giants particuliers agissent librement et sans rémunération, croyant vraisemblablement servir une bonne cause, ceux-là ne savent pas qu’ils constituent une couverture discrète pour masquer les véritables entreprises fantômes de surveillance et de démolition de l’information (Le Monde decodex, l’AFP, Newswhip, Talkwalker, Visibrain etc.). La hache acérée de la censure inquisitoriale de l’État frappe quiconque, dès lors que des communiqués apparaissent antinomiques aux intentions malveillantes et déloyales envers les adversaires au régime (V. p. 208 à 215), « L’antipatriotisme d’un chef d’État »). En outre, l’État-Macron n’est pas en reste de fake news, de mystifications, de contrevérités injectées pour brouiller les réalités qui dérangent cette caste dominante, puis encore de méthodes d’endormissement ou d’endoctrinement à l’insu des citoyens, en particulier en usage persistant dans les actualités télévisées et les reportages politiques.
Entre cette chasse aux sorcières emmenée sous la fascination exercée par une équipe dirigeante et la persuasion clandestine d’un public perméable ; le tout ficelé dans l’exclusion des indomptables résistants, la démocratie sombre dans l’absolutisme. Selon « Les Corsaires », un site dédié contre les abus de censure par des mercenaires au service de pouvoir exécutif, « Le groupe sleeping Giants s’est donné sur internet la mission de faire taire la haine dans les médias. Derrière cet objectif, qui paraît louable, se cache en réalité une action politique, idéologique et partisane, qui vise le boycott par les annonceurs de tout média dont la ligne éditoriale déplaît à ses militants ». Cette réalité touche des entreprises qui ont le statut de presse d’information, tels CNews, Valeurs actuelles, l’Incorrect, ou Boulevard Voltaire entre autres ; autant de publications conservatrices et identitaires, mais que la fachosphère sociale-démocrate diabolise sous l’enseigne de publications populistes, donc ciblées par les attaques souterraines de Sleeping Giants.
En jetant l’opprobre et le discrédit sur la presse d’opposition et leurs annonceurs qui leur paient une publicité, ces rumeurs diffamatoires et mensongères versent dans une pratique digne des dictatures bananières. Nombre de sociétés qui refusent d’entrer dans ce jeu délétère, ont été mises en difficulté, car privées de leur insertions publicitaires au motif d’avoir vendu leur propagande commerciale sur des encarts de presse qui n’obéissent pas à la ligne politique du Gouvernement en place. De sorte que cette opération croisée de sanctions touche la presse non alignée à la politique du Gouvernement, puis en cascade les entreprises émettrices de publicité qui ne choisissent pas les supports médiatiques qui fonctionnent dans le droit fil de Sleeping Giants ; cette milice privée au service d’une dictature de la pensée dominante.
Ce pourquoi, dans une autre réalité moins lisible, l’usage de ce droit à la casse d’entreprises est instrumentalisé par des équipes censoriales encouragées voire rémunérées par l’État, sous le prétexte insidieux de taire des médias dits extrémistes ; le tout ficelé par l’Arcom ; un régulateur nanti de pouvoirs exorbitants au service exclusif de l’autorité élyséenne. Le journalisme dissident qui défend bec et ongles les libertés constitutionnelles, d’où les droits inaliénables, est assimilé à des groupes politiques séditieux, dits populistes ou complotistes selon cette recette linguistique déviante, ou la liberté de la presse devient un obstacle qui dénie le pouvoir, autrement dit lorsque ce droit contrevient à la pensée unique de l’Élysée. De sorte que parmi ces Giants (ils sont 40 000), se glissent des délateurs, authentiques mercenaires au service de la toute-puissance autorité qui veut taire l’opposition.
En asséchant les recettes publicitaires de plus de 14 publications d’opposition politique en France, ce harcèlement contre des annonceurs laisse la place libre à la presse docile sous l’emprise régalienne. Il ne s’agit rien de moins qu’un terrorisme intellectuel pour faire obstacle à la libre communication des pensées et des opinions. Les motifs évoquant la haine ou les écarts de conduite des normes sociales unilatéralement calibrées à l’État-Macron en France, sont par les faits discriminés par la nomenklatura présidentielle et de ses suppôts discrétionnaires, pour étendre des sanctions économico-fiscales contre ses opposants. Si la haine est prétexte à toutes les interprétations, celle-là s’accorde plutôt mieux avec les agissements des inquisiteurs d’Emmanuel Macron ; car priver des éditions et leurs auteurs d’émettre, ou de publier des études et enquêtes à caractère idéologique, économique et sociale, ne relève pas d’une censure contre le racisme, la pédophilie ou les appels au djihâd, mais bien d’un mobile strictement politique où conspire les acteurs d’un guet-apens dictatorial.
Outre le contrôle de réseau (serveur, pare-feu, commutateurs, routeurs…), et le travail de la DGSI pour la sécurité du territoire qui apparaissent légitimes, des stratégies élaborées pour rediriger des opposants gênants sur des sites de cyberattaque ou de logiciels-espion, sont moins orthodoxes. Pour l’international, le contrôle de l’internet se fait par l’Icann (Internet corporation for assigned names and numbers). Au niveau national, la censure sur des services en ligne font pléthore, outre le filtrage des sites non autorisés par agrément. Côté liberté de la presse, l’Organisation de défense de la liberté d’expression de Reporter sans frontières (RSF) classe la France parmi les États sous surveillance, juste après les dix pays jugés ennemis des libertés, et juste avant le Venezuela. Or en France, les fournisseurs d’accès sont les exécuteurs de l’État, les autorisant à bloquer des pages web ou ralentir certains types de trafics, comme à Cuba ou en Iran. Cependant, une règle non écrite prévoit que : « Les opérateurs ne doivent en aucun cas discriminer les internautes », (Source : Damien Leloup, le Monde, 1er sept. 2011.
Cette déférence idéologique accordée aux uns qui collaborent, et inversement l’évincement des autres acteurs de la presse libre et des écrivains dissidents, car jugés damnés par le pouvoir dominant, se traduit pour ces derniers par les sanctions subrepticement assénées. Cette discrimination instaure de jure et facto une concurrence déloyale qui rapidement élimine les indésirables qui échappent à cette mainmise, économiquement asphyxiés, privés d’antenne ou de diffuseur, voire s’expose à d’autres menaces et sanctions qui échappent à la compétence judiciaire du pays. Seule demeure intouchable la presse étrangère protégée par des conventions internationales, dans le périmètre éthique d’un journalisme respectueux des droits fondamentaux. Au mépris de la déontologie corporative de la presse qui commande ces professionnels à ne publier que la vérité avec rigueur, exactitude, intégrité, équité et loyauté envers leurs lecteurs, les propagandes mensongères de l’Exécutif y sont relayées en boucle, de façon itérative et sans retenue.
Diffusés et martelés sur les écrans, mais aussi sur les ondes et la presse écrite, des messages télévisés sont bombardés dans la rétine des citoyens sous forme de vidéo-clips anodins dédiés complaisamment à l’État-Macron. Ces annonces s’intercalent à de nombreux endroits entre les publicités commerciales, ministère par ministère, pour laisser croire que le Gouvernement s’occupe de tout, qu’il est omniprésent, laborieux et bienveillant. Quant à la publicité, elle est visiblement sous contrôle, car la patte du Gouvernement n’échappera à personne. Ainsi, le petit écran doit systématiquement afficher des bandes publicitaires sur fond de multiculturalisme, avec des couples mixtes sinon homosexuels, ou par ailleurs ne proposer que des véhicules électriques même si l’EDF annonce des restrictions. Mais derrière ces reliefs de modernité, il s’agit d’une part de susciter un effet buzz ou gay pour s’offrir un électorat, et d’autre part, de relayer les choix socio-économiques de l’État-Macron.
La pensée dominante impose ces clichés avec force et exagération pour imprimer des mœurs, des mentalités ou attitudes à la mode, dans le fil de l’acceptation de choix de société derrière l’insolite intimité présidentielle et ses énigmatiques comportements. Souvenons-nous notamment un cliché saisi à Saint-Martin le 30 septembre 2018 avec deux autochtones antillais enlacés de façon irrespectueuse autour du chef d’État, l’un faisant un doigt d’honneur, l’autre le signe des cornes du diable. D’autres stratégies sont à rapprocher, dont les messages subliminaux que François Mitterrand avait fait glisser dans les tubes cathodiques Tv de son époque, pour contaminer le cortex des électeurs. Ces procédés, indirects et peu décelables, échappent aux rumeurs de suspicion frauduleuse, car ces manipulations mentales ne sont pas comptabilisables dans les comptes de campagne, alors que ces encarts publicitaires sont financés par les citoyens contributeurs de l’audio-visuel.
À ce jour, cette duplicité s’étend aux sondages d’opinion, où l’oligarchie procède à des prétendues investigations dans le public pour laisser entendre que l’Exécutif est sensible aux avis des Français, alors que ces enquêtes sont dépourvues, comme auparavant, de la validation d’offices judiciaires indépendants des huissiers de justice. Mais sous le règne de l’État-Macron, nul ne s’embarrasse de telles obligations contraignantes, les cibles réceptrices ayant vocation à croire aveuglément que l’État serait incapable de tricher, dès lors que la Tv a relayée ledit sondage ! Or, ces appels publiques à répondre sur l’internet ou le téléphone ne sont que des échantillonnages dépourvus de contrôle impartial, donc suspects de sincérité puisqu’ils servent à justifier un résultat par avance tronqué pour mieux duper l’électorat, et gérer le pays comme ces commanditaires institutionnels l’entendent.
Outre cette perfidie, d’autres procédés sont déployés pour tricher sur la légitimité des élections présidentielles, soit en amont par des abus de position dominante sur les antennes, avec les financements occultes cédés par des mécènes depuis des comptes offshores, soit avec des comptes de campagnes galvaudés par des dons, diners, soirées et autres levées de fonds, toujours financés par des tiers étrangers, dont les contributions opaques sont guère quantifiables ni contrôlables car de provenance inconnue. De sorte que l’étendue des libéralités de campagne s’étendent aux opuscules et prospectus distribués par La Poste, aux affichages et annonces dématérialisées, aux droits d’antenne réglementés, aux salles de meetings financés en surface à l’euro symbolique, cependant acquittés par des sociétés extraterritoriales, pour lesquelles un retour d’investissement politique sera fatalement exigé.
Les techniques recelées et les stratégies malséantes pour parvenir au sommet du pouvoir, avec des discours creux et des promesses jamais tenues mais vite désappris au fil des matraquages et des amalgames télévisuels, relève d’un mécanisme de marketing politique machiavélique, à la façon des dictatures où il s’annonce ad nauseam que tout va bien. Sauf que rien ne profite au peuple rampant, subjugué par des promesses éphémères et abusé par cette corruption à tous les étages du pouvoir dominant. Mais lorsqu’il est question en France d’annonces comminatoires, de restrictions et de pénuries, dont les causes sont pourtant directement liées à l’incurie de la gestion et des prévarications, l’Exécutif se dédouane ; soit en culpabilisant le peuple victime de ses délires, soit en accusant des éléments étrangers comme la Russie, qui n’y est absolument pour rien dans les affaires intérieures de l’Hexagone.
La perfidie, à travers la stratégie de communication d’Emmanuel Macron consiste à annoncer une catastrophe, une restriction ; « la fin de l’abondance » (Voir infra, § F)entre pénuries et le rationnement, afin de se poser en chroniqueur plutôt qu’en responsable. Certains naïfs le trouveront courageux, d’autres adopteront un comportement fataliste en se remémorant que le Président l’avait annoncé et « qu’il n’y est pour rien parce que c’est pareil partout ailleurs » ! De sorte que ce chef d’État échappera aux critiques. Au plus fort du paradoxe, il apparaîtra honnête et bienveillant en faisant état des attitudes à adopter devant la crise dont il est l’instigateur. Dans cet intervalle, puisque les médias lui sont indéfectiblement dévoués, peu de citoyens iront vérifier où se dissimule la vérité, quant à l’incompétence, les malveillances et la responsabilité pleine et entière qui siège au sommet du pouvoir. Le confort canapé fait son travail de liquéfaction du mental des Français devenus perméables aux mensonges d’État, puis incapables de discernement et de lucidité dès lors que « la télé l’a dit » !
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Comme toujours, un article de grande qualité et dont j’ai hâte de lire la suite.
Merci M. Desurvire pour votre excellent article notamment pour votre phrase : “En France, particulièrement sous les mandats présidentiels de François Mitterrand dès 1986, et plus tard de François Hollande puis à ce jour d’Emmanuel Macron, il se trame une vision honteuse de la démocratie, où la liberté d’expression (article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen) se mue en délit d’opinion. ” Et c’est tout à fait vrai, la gauche ne fait que cela et malheureusement cela fonctionne même très bien.
Merci Daniel Desurvire pour avoir alerter et dénoncer avec force et vigueur la honteuse destruction de la France par Macron et ses
” collaborateurs” issus du monde des affaires et de l’idéologie mondialiste qui nous entraînent vers une dictature du genre humain, en faveur de leurs seuls intérêts , l’histoire de France se répète toujours , avec d’autres personnages, certes, mais dans le but de détruire la France .
J’écrirai bientôt un article demontrant la similitude entre certains rois de France et les politiques qui gouvernent aujourdhui. Les mêmes causes produisant les mêmes effets.
Rien de changé à l’Ouest.
Oui, et vous avez raison de l’écrire ici, l’information n’existe plus. Elle a été confisquée par une intense propagande et une idéologie bien connue : le socialisme.