Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !
C – Ingérence géopolitique et pathologies du pouvoir
Par Daniel Desurvire

Le dernier livre de Daniel Desurvire vient de paraître, une édition exceptionnelle et rare
Macron le “déconstructeur” C
Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !
C – Ingérence géopolitique et pathologies du pouvoir
Sur le registre énergétique, les médias, à qui l’Élysée murmure le droit de dire ou ne pas dire et de filmer ou ne pas filmer, ont reproché à la direction du Groupe Total de commercer avec un prétendu ennemi de la France : la Russie. Voilà donc un attribut qui ne repose que sur une appréciation géopolitique seulement fondée sur les monomanies présidentielles, confortées par le va-t’en-guerre Joe Biden et la délirante Ursula van der Leyen, travestie dans un tailleur aux couleurs de l’étendard ukrainien. De fait, rappelons que le soutien de l’UE aux Euromaidan (pro-européens ukrainiens) apparaît plutôt douteux en considération d’une belligérance interne au pays face aux séparatistes pro-russes, où le Président ukrainien depuis Kiev à l’Ouest, est un corrompu notoire et présumé fasciste. Voici à la suite qui illustre ces propos :
Pour la petite histoire, ce chef d’État ukrainien Volodymyr Zelensky est intimement impliqué avec un malfrat d’envergure continentale, Igor Kolomoïsky ; ce dernier ayant soutenu et financé sa campagne présidentielle en mai 2019. Ce compagnon de longue date fut à la tête de groupes paramilitaires organisateurs de meurtres mafieux, dont est issu le régiment Azov de mouvance néo-nazie. Ces miliciens fascistes ont été intégrés dans l’armée régulière de Kiev représentant 10 % de cette force militaire, laquelle bombarde quasiment sans répit, depuis 2014, ses propres sujets russophones à l’Est du pays, même si la riposte est rendue. Comprenons que soutenir militairement ce Président n’aboutit en aucun cas à décourager l’action de Vladimir Poutine, et pas davantage à rendre service aux citoyens de l’Ukraine, mais d’armer les uns contre les autres dans une guerre fratricide, dont les victimes de ce conflit sont très majoritairement ukrainiennes.
Exfiltré dans la plus grande banque du pays, la PrivatBank, l’oligarque Ihor Kolomoisky qui favorisa l’ascension de Volodymyr Zelensky*, détourna 5,4 milliards de $ US et aura blanchi une partie de sa fortune aux États-Unis où il est poursuivi pour corruption aggravée (V. p. 44, « Overdose de vaccins et voyoucratie »). Du temps où son poulain*, humoriste de scène et candidat au poste suprême, préparait une campagne électorale sur sa chaîne Tv (1+1), ce dernier entonna haut et fort à son Peuple la promesse de vider le pays de la corruption (sic). Cette attitude s’accorde avec la sentence biblique, « Fais ce que je dis, pas ce que je fais » ! (Matt: XXIII 2 et 3).Étonnamment, dans son intervention télévisée du 2 mars 2022, Emmanuel Macron qualifia le Président de l’Ukraine de « Visage de l’honneur, de la liberté et de la bravoure » ! (V. rfi.fr du 5 mars 2021, et l’article signé J.G., Canard républicain du 6 mars 2022).
Interview de Daniel Desurvire et Alexandre Goldfarb par Claude Janvier :
https://vk.com/wall430568862_55778
Or, ce dernier chef d’État ukrainien, un escroc notoire en lien avec la pègre internationale, aura également détourné 41 millions de $ US des caisses de Privat, par le biais d’une société de production audiovisuelle : Kvatal 95. Pour noyer cette escroquerie, le Président Volodymyr Zelensky une fois élu, s’est empressé de privatiser cette banque pour se couvrir d’un secret bancaire qui risquait d’être levé par la Banque centrale (V. « La République en danger », p. 77 à 90). L’Association Pandora Papers, spécialisée dans la fouille des niches fiscales dans le monde, aura rendu public ces informations autour de la corruption de ce Président qui s’annonçait vertueux. Comme il en est, pour beaucoup d’autres chefs d’État, gageons que la liste de ces crapules, qui s’encensent et s’auto-protègent entre elles, n’aura pas fini de s’allonger dans ce panier de crabes au sein même de l’Union européenne.
En l’absence d’une déclaration de guerre constitutionnellement votée au Parlement, ce conflit de personne entre Emmanuel Macron et Poutine ne concerne pas la France, outre les désaccords entre les Chancelleries diplomatiques. Les gesticulations pathétiques du chef d’État français auront abouti à un embargo qui nous est revenu comme un boumerang, comme à devoir convertir le paiement des échanges en rouble pour honorer les contrats pétroliers, et des 2 milliards d’euros détournés par l’Exécutif pour jeter de l’huile sur le feu dans une guerre civile étrangère. Précédemment, la crise sanitaire honteusement exagérée et si mal gérée, car tissée de mystifications et de corruptions vénales, aura asséché, et tari encore, les finances publiques à coup de centaines de milliards d’euros. Ajoutons que la politique de l’immigration menée depuis l’Élysée, entre l’assistanat des réfugiés et les crimes terroristes dont les cotisations prélevées sur le budget des Français en dommages aux victimes, préventions et réparations matérielles, coûte pas moins de cent milliards d’euros l’an.
Revenant au différend franco-russe, le contrat qui lie les partenaires politiques pour la fourniture et l’achat des carburants ne peut être rompu, sauf décision légiférée par l’Exécutif, pouvant aboutir notamment à une déclaration de guerre. De fait, le prétendu embargo ne concerne aucun produit vital pour la consommation, sinon qu’il ne s’agit que d’un rideau de fumée pour mieux dissimuler les carences de gestion de l’Exécutif qui occasionnent des coupures d’approvisionnent. En effet, une telle rupture contractuelle exposerait l’un des cocontractants à verser des dommages pouvant se chiffrer à plusieurs milliards d’euros, que sanctionnerait une juridiction arbitrale internationale, conformément aux clauses résolutoires dissuasives en cas de non-respect des termes issus précisément d’un pacte de préférence avant sa conclusion. Ce pourquoi le Président russe a précisé qu’il n’a jamais coupé les vannes, pas plus que le Groupe Total n’aura suspendu les livraisons en France. Alors pourquoi n’y-a-t-il plus d’essence à la pompe ?
L’explication tient à la constitution dudit Groupe, puisque l’État français détient 15,1 % des parts dans le noyau des actionnaires institutionnels représentant 78,5 % du capital social, dont les France pour 30 % et 17,1 % pour les autres pays d’Europe. La France se place donc dans le peloton de tête dans ce noyau dur. Cependant, la DGFiP du pays étant en grave déficit et en situation de cessation des paiements, elle n’est plus en mesure d’honorer les factures, même en provenance du Groupe Total, une société européenne, dont elle est pourtant le second actionnaire en volume. Alors comprenons de quoi est constitué le maillage de la duplicité du chef d’État, lorsqu’il ose s’exprimer en donneur de leçon devant les caméras, lequel s’est ainsi constitué un prétexte fallacieux en évoquant une grève ou un conflit, à seule fin de se dédouaner de sa propre incurie, irresponsabilité et négligence dans les affaires de l’État.
Au surplus, sous la mandature d’Emmanuel Macron, le discrédit de la France n’est pas seulement financier, mais relève conjointement de la politique intérieure. En l’occurrence, les violations du droit positif français, de la Constitution, des Droits de l’homme et des conventions internationales sous le règne de ce dernier autocrate font pléthore (Voir : « Covid : La poule aux œufs d’or – le business des vaccins », p. 68 à 77). Les chambres parlementaires et la justice prétorienne ont été remisées au placard, arbitrairement privées d’audience au motif dévoyé d’un état d’urgence depuis l’annonce d’une crise sanitaire qui se révèle à ce jour n’avoir été qu’une mascarade. Cette conspiration fomentée entre gens de pouvoir consiste à contaminer le mental des foules, comme pour les emmener à l’unissons vers des guerres virtuelles ainsi annoncées par Emmanuel Macron (Covid, Ukraine, CO2), ou à s’abandonner aux sommations comminatoires et hautement anxiogènes de régimes absolutistes, à l’instar des partis uniques sous les révolutions bolchévique ou maoïste.
Or, ces mesures drastiques, liberticides et dignes d’une dictature, sous l’empire d’une situation abusivement qualifiée d’exception, n’eurent jamais de retombées prophylactiques ou thérapeutiques. Même les vaccins rendu de facto obligatoire, n’ont jamais évité les formes graves, puisque des milliers de personnes vaccinées en sont mortes et bien davantage rattrapés par des maladies induites par l’inhibition des antigènes-anticorps sous l’effet des injections itératives des vaccins à vecteur génique ou adénovirus sans recul, ni étapes d’expérimentation cliniques. Toutes ces mesures administratives et juridiques de rétorsion, d’exclusion, de discrimination ne furent déployées que pour masquer une gabegie financière et les abus de pouvoir emmenés par le chef de l’Exécutif. Il s’agissait alors de couvrir une débauche de profits et d’intentions malveillantes à grande échelle, entre concussion, prévarication et crimes de masse, pour enfermer la République dans les mystifications et par là, masquer les impostures de gens de pouvoir et de leurs thuriféraires stipendiés.
Dans une démocratie qui respecte la Constitution, ce chef d’État aurait dû logiquement faire l’objet d’une destitution. Or, le Conseil constitutionnel, dont le chef de file est impliqué dans un conflit d’intérêt avec son fils* aux commandes d’une société de capitaux étrangère (McKinsey & Company) au titre de directeur associé, aura validé l’ensemble des lois d’Emmanuel Macron. Or, Victor Fabius*, qui gère les intérêts des laboratoires pharmaceutiques en France depuis l’Élysée, a fait valider la législation scélérate de ce régime régalien dès le premier confinement début 2020. Le viol manifeste du droit positif français, codifié et constitutionnel, est un événement de la plus haute gravité qui annihile toute notion de démocratie (V. « L’antipatriotisme d’un chef d’État », p. 192 à 196). Comprenons que ce chef d’État aura placé un cabinet privé de consultants à la tête du pays ; une multinationale qui exerce dans l’ombre des prérogatives d’influence et de commandement, directement sur chaque rameau du pouvoir politique et législatif.
Autrement dit, la plupart des élus de la Nation a été mis au placard par le Président Macron qui a ainsi réinventé la démocratie sous couverture technocratique étrangère, avec des personnes qui n’y connaissent rien, lesquels au final auront coulé l’éducation nationale, la santé en commençant par les hôpitaux et le monde du travail en quasi-totalité délocalisé, puisque plus rien ne se produit ou se fabrique en France dès lors que tout est importé. Oui mais… les caisses de l’État ayant été asséchées par le même individu, il n’est donc même plus possible de regarnir les rayons de supermarché, des officines pharmaceutiques, ou des appareils et matériaux où il est pourtant conseillé par le Gouvernement, de réparer plutôt que d’acheter neuf.
Il va sans dire que le pays se décompose inexorablement, sombre par l’inconscience des gouvernants, et l’indifférence des citoyens indolents ou fatalistes. Par-delà ce naufrage national, les électeurs qui auront compris trop tard les conséquences de leur choix sur le radeau de l’infortune, se laisseront dériver sur les rivages du tiers monde. Ce glissement vers un déclin inéluctable, se produira d’autant plus facilement et promptement que la France s’islamise à grands pas sous les flots ininterrompus de réfugiés emmenés par la politique de remplacement idéalisée par cette même présidence. La déconstruction promise à la France de demain, à l’instar de la grande réinitialisation (The Great Reset) proclamée par Klaus Schwab, le gourou de la secte World Economic Forum (WEF), est ainsi conduite depuis l’Élysée en « marche » forcée ; une « renaissance » de l’histoire du khalifat omeyyade ou de l’Empire ottoman sur l’Hexagone.
Ce lobbyisme d’ingérence dans les affaires de l’État relève d’une véritable conspiration avec pour objectif de favoriser le business des cartels transnationaux les plus puissants, ainsi le Big Pharma, la Big Finance et le Big Data ; le tout sous le contrôle monopolistique de la secte WEF, dont les objectifs sont initiés par le Forum de Davos. Mais comment exiger du Conseil constitutionnel qui siège au Palais Royal tout près du Conseil d’État (la courroie de transmission de l’Exécutif), un minimum de probité et d’impartialité, dès lors que deux de ses principaux protagonistes (Laurent Fabius* et Alain Juppé) sont d’anciens repris de justice, puis un troisième imposteur (Jacques Mézard) qui a soutenu des propos révisionnistes, voire négationnistes ? (Voir « Histoire d’un Président qui n’aime pas la France », p. 83 à 89). Concussion ou népotisme, qu’importe le grain, pourvu que ces conjurés aient l’ivraie ! De surcroît, ces sociétés de droit privé en conseil et stratégie, dont les sièges sociaux sont tous implantés à l’étranger, se substituent subrepticement aux décisions des ministères et du pouvoir administratif du Conseil d’État. Il s’agit secrètement d’un raccourci inconstitutionnel par lequel l’autocrate de l’Exécutif s’autorise, à l’aide de ce levier informel, à détenir toutes les commandes d’un régime régalien sans concession, ni honneur, ni probité, ni patriotisme. Ici, nul doute que la déconstruction de l’histoire, le déni de la culture française et le remplacement des populations autochtones par l’islam insurrectionnel des réfugiés, évoqués ou emmenés par le pensionnaire de l’Élysée, s’accorderaient sans doute avec un chef d’accusation pour haute trahison ; ce chef d’État ayant offert aux puissances étrangères des secrets liés à la souveraineté et la sécurité de la France, par le biais de ces pools de barbouzes qui se parent d’un générique en conseil et développement
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Merci Daniel d’évoquer les liens du pouvoir ukrainien avec le groupe nazi AZOV : d’ailleurs quand on voit les soldats ukrainiens arborer des tatouages, ce sont souvent des tatouages faisant référence à la période nazie allemande… Et que penser du montage avec en fait le bombardement ukrainien qui a atterri en Pologne ?
L’ingérence en politique est totale et remarquez bien comment Macron agit : comme tout va mal en France et que cela se voit désormais, il ne s’occupe plus que des autres pays, donc, c’est encore un constat d’échec.