Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !
F – Transgressions politiques et indifférence du Peuple
Par Daniel Desurvire
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Macron le “déconstructeur” F
Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !
F – Transgressions politiques et indifférence du Peuple
La prise de contrôle des sociétés françaises par des holdings, trusts, joint-ventures et firmes transnationales, s’organise autour de braderies politiques emmenées par des agents du Gouvernement. Ainsi en fut-il avec Emmanuel Macron lorsqu’il siégeait alors au Ministère de l’économie, sans que depuis il ait changé sa politique de liquidation. Celui-là céda Alstom à la firme US General Electric en 2014. Après deux échecs successifs, le lâchage du client Renault et une reprise manquée du groupe MH Industrie de la Fonderie SAM de Viviez, puis de la vente des empires Taittinger, Baccarat, Pechiney, Usinor-Sacilor à des puissances étrangères, ce fut le tour d’autres cessions de titres à l’euro symbolique, et des privatisations de monuments et des joyaux de la Républiques qui prirent le relai. Ces évasions patrimoniales profitent soit à la Chine, soit à des consortiums apatrides. À la faveur de la loi Macron en 2015, la France vit s’enfuir la propriété des aéroports de Toulouse, Lyon et Nice, puis la vente de ports maritimes, de forêts, de vignobles et des sites culturels et historiques à des puissances financières asiatiques, américaines et arabiques du Golfe persique.
Entre les mandatures ruineuses de François Hollande et d’Emmanuel Macron, s’en suivirent les délocalisations et les liquidations des forces vives et de l’apanage immobilier et culturel de la Nation. Ainsi vit-on disparaître du patrimoine français les 1 120 palaces et chaînes hôtelières du Groupe Louvres-Hôtels au Chinois Jin Jiang, l’hôtel Marriott à Paris racheté par un fonds hongkongais, Alcatel-Lucent au Norvégien Nokia, la fusion-acquisition au profit du Texan RMC de l’ingénierie pétrolière et gazière Technip etc. Que reste-t-il du fleuron de la recherche de la France ; un secteur désormais éteint puisqu’il ne produit plus de cerveaux vecteurs d’industrialisation sur le territoire français, plutôt en exode à l’étranger ? La liste de ce dépouillement foncier, monumental et intellectuel serait trop longue pour dresser un catalogue exhaustif du démantèlement de la France par Emmanuel Macron, sous l’office discret de cabinets-conseils et audits privés de l’Élysée, pour lesquels les électeurs français n’ont jamais voté ni accordé le moindre pouvoir politique.
Tantôt embaumeurs, tantôt commissaires-priseurs : McKinsey, BCG et Bain, Deloitte, KPMG, PwC, EY, etc. n’ont pas seulement atrophié la France, mais ils se sont attachés à suivre à la lettre la « déconstruction » du pays annoncée de leur employeur présidentiel, pour raser tout ce qu’il reste encore debout de l’industrie nationale. Pour ce faire, ces exterminateurs ont pris la place des ministres confinés au placard de la République, au même titre que les Parlementaires privés de séances ouvertes lors de la première mandature du Président Macron. La France, gangrénée par son surendettement se voit ainsi rétrogradée sur la scène international au rang des pays sur le déclin, gangrenée et humiliée par une disette de moyens et la perte de son prestige industriel et influence sur la scène internationale. Les stigmates de cette déconfiture apparaissent derrières les annonces de privations et de régression, alors qu’Emmanuel Macron, pathétique, se fait le chancre d’un progressisme qui ne profite qu’aux nababs d’une mondialisation prônée par la secte WEF.
Après cette dilapidation du patrimoine, il se poursuit une razzia financière qui épuise les capitaux et racornit le poumon productif de la Nation. C’est dans la duplicité de promesses ourdies derrière des catastrophes fomentées (Covid, Ukraine, CO2), que se propage un climat anxiogène durable. Ces stratagèmes félons sont ourdis par le maître de cérémonie aux commandes de la Nation, aux seuls fins d’affaiblir la vigilance des électeurs, lesquels laissent passer les véritables enjeux du pays que sont les entreprises et l’emploi, d’où découlent le pouvoir d’achat et les richesses nationales. Dès lors que ces promesses ne sont jamais tenues, alors il ne reste plus rien d’exploitable dans le pays, et pire encore, la mémoire de ces indélicatesses s’effacent de l’hippocampe cérébral des électeurs enfumés par un climat de psychose permanent. Les mensonges et les avanies proférées de ce contempteur présidentiel semble tapisser l’horizon d’une France qui a perdu sa dignité et son esprit d’entreprise.
Mais qu’importe, gagné par une léthargie de renoncement et de fatalité, le Peuple se laisse éconduire par un État voyou qui ne se cache même plus de ses débauches financières, dans la crainte de perdre encore davantage, car mieux vaut, pour le Français de classe moyenne, protéger ce qui lui reste. Mais gare au devenir des citoyens confiants et aveuglés, car ces gouvernances gavées, bobos et rouges-caviar, sont des mondialistes qui font fortune sous l’enseigne d’une social-démocratie qui leur est commode, comme pour se retrancher perfidement derrière une idéologie populaire et inexactement patriotique. Car en ruinant encore davantage le Peuple d’en bas, celui de « l’abîme » selon Jack London, celui-là n’aura plus rien à perdre ni à protéger s’il touche le fond du dénuement, de la flétrissure et de la frustration, en se souvenant que les révolutions ne sont pas toutes bourgeoises.
Pour mémoire, rappelons que ce furent sur des montagnes de cadavres, entre la Révolution et l’Empire, que la terreur rouge éleva les échafauds pour occire plus d’un million d’âmes, une inquisition politique, faite de délation et de haine du clergé, qui incendia les églises, pratiqua l’autodafé et mis à feu et à sang le patrimoine culturel. Quant à Napoléon Bonaparte, l’Ogre de Corse fut responsable de ± 2 millions de morts durant ses campagnes de conquêtes militaires entre 1804 et 1915 (Source : Hippolyte Taine). Les grognards de l’armée impériale empalèrent vifs des milliers d’Espagnols durant le siège de Saragosse, et commirent partout ailleurs en Europe de nombreuses autres atrocités. Il suffit pour s’en convaincre d’examiner les esquisses et œuvres picturales de Goya (Source : Jean-Claude Lorblanchès, « Les soldats de Napoléon en Espagne et au Portugal », éd. L’Harmattan, 2007). Ce pourquoi, les nostalgiques de la Révolution française, loin des clichés homériques de l’histoire, ne se coiffent plus d’un bonnet phrygien, ni même se révoltent en dressant des barricades comme en mai 1968, car le Français baisse la garde, se laissant glisser entre résignation et abdication.
Pour la petite histoire, Charles 1er Stuart, roi d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande fut décapité le 30 janvier 1649 à la suite d’un procès mené par ses propres sujets, au motif d’avoir gouverné sans consulter le parlement, et tenté de restaurer les régimes tyranniques d’antan. Ce fut au final la glorieuse révolution de 1688 à 1689 qui posa les bases d’un règlement politique pérenne de l’Union Kingdom sous l’enseigne d’une monarchie constitutionnelle, mais en ne comptant qu’un seul mort ; le roi susmentionné. Gageons que si Emmanuel Macron devait être jugé par ses pairs et/ou les électeurs de son pays pour les forfaitures et les crimes dont il s’est rendu coupable depuis 2017, il n’aurait certes pas survécu au châtiment suprême qu’infligeaient les révolutionnaires d’antan susmentionnées, contre les traitres, les démagogues et les parjures ! Ici, point de propos conspirationnistes de l’auteur, mais un peu d’histoire pour restituer la vérité et un avertissement au service de la postérité.
En Conseil des ministre du 24 août 2022, l’énarque de l’Élysée donna le ton de son arrogance en déclamant sur un ton péremptoire : « La fin de l’abondance, des évidences et de l’insouciance ». Cette énième séquence d’annonces théâtralisées du « macronphage » de la France apparaît comme une injure à l’intelligence citoyenne, à l’appui du credo méprisant et liberticide de cet autorité régalienne qui n’a d’autres ambitions que de culpabiliser et de réprimer le Français pour mieux étouffer toute velléité légitime de révolte ; ainsi les Gilet jaunes. Cette façon de gouverner le pays procède de la répétition de son discours du 16 mars 2020, où le ton comminatoire du pensionnaire de l’Élysée prépare le Peuple ensuqué, entre une succession de crises autoproclamées car délibérément provoquées :
– entre un virus fabriqué en laboratoire chinois classé P4 à Wuhan et qui profite aux industries pharmaceutiques possiblement complices, car dispensatrices de vaccins trop rapidement vendus sur le marché mondial. Cette réponse au Covid s’est avérée hautement pathogène et létale, eu égard aux inexécutables respects des normes de précaution à défaut de recul, dont les étapes cliniques avortées (V. supra, § C & D) ;
– une guerre civile en Ukraine, sans lien avec la France, sinon les milliards d’euros qu’Emmanuel Macron distribue à une armée gangrénée par des milices néo-nazies, laquelle n’a de cesse depuis près d’une décennie de pilonner l’Est du pays avec des missiles et de commettre des atrocités sur des civils russophones depuis la guerre intestine de Donbass, laquelle embrasa cette région meurtrie dès avril 2014. De quelle guerre parle-t-on depuis l’Élysée puisque la France n’est pas en guerre contre la Russie ? N’est-ce pas plutôt pour alimenter celle des Ukrainiens entre eux, en commettant l’irréparable en termes de diplomatie internationale ? (Voir supra, § C & B) ;
– et la taxonomie autour du monoxyde de carbone (CO2) dont le prétexte écologique sert à dédouaner la disette de ressources énergétiques après l’abandon des présidences Hollande-Macron de l’entretien des centrales nucléaires sans projet responsable d’alternatives (V. p. 339 à 344 de l’ouvrage « Le chaos démographique – La conspiration du silence et le cris de la Terre »).
En apprêtant les Français aux pires catastrophes qu’il aura exagérément instruit et amplifié, ce franciscain de la curie inquisitoriale tente d’éclipser ses échecs successifs du panorama de sa première mandature. Quant à sa réélection, la même stratégie d’écrasement de la France se prolonge avec persistance, comme si la volonté de cet individu était nourrie de rancœur contre ses compatriotes. Entre délitement, incompétence et prévarication, sous le voile altérant de la psychose et de l’hypocondrie, tout ce qui fonctionne dans le pays passe sous le rouleau compresseur d’une politique d’envahissement de réfugiés violents et prédateurs, puis de prodigalité présidentielle où l’argent public est distribué ailleurs que dans le pays. 9,2 millions de Français métropolitains vivent sous le seuil de pauvreté monétaire et matériel, et même 14,6 millions en y comptant les DOM et les réfugiés, ce qui ramène un taux de misère à15 % de la population nationale sur 67 millions de Français (Source : Insee, 2019).
Nombre d’entre eux couchent dans leur voiture, s’alimentent de la malbouffe des fast-foods, des magasins discount et des restaurants du cœur, puis ne peuvent même plus se faire soigner. Est-il envisageable que ces populations au bord du gouffre soient gagnées par le syndrome de l’abondance et se comportent de façon insouciante ? Quant à l’évidence, une seule certitude s’impose : la démocratie fut sa seconde victime après avoir occis ses contemporains sur l’autel de la déconstruction du pays à ce jour effondré, ruiné et tiré par l’envahissement d’une immigration intolérante et prédatrice. Seul un chef d’État bellâtre et indigne de sa fonction, peut oser afficher de tels propos qui déshonorent la Nation, sans que ce Narcisse ne soit capable de réaliser la mesure de son incurie et de sa nocivité.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Macron et sa caste prennent trop les Français pour des cons : à croire qu’ils le seraient…
Grâce au virus et à une politique basée sur la peur, Macron a été réélu par un peuple exsangue et soumis aux médias. La suite est et sera la même : retour du virus à point nommé pour à nouveau gouverner tranquillement pendant que les Français se cloîtreront aussi bien physiquement que mentalement à nouveau sous le coup de la peur.
Bonne remarque sur la cause principale de l’effondrement de notre société qui est l’indifférence du peuple. Une indifférence coupable et quasi criminelle qui aura permis le délitement de nos valeurs et l’arrivée au pouvoir de personnages qui n’aiment même pas leur propre pays.