Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !

H1 – Entre asile politique des réfugiés …

Par Daniel Desurvire



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Macron le “déconstructeur” H1

Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !

H1 – Entre asile politique des réfugiés …

En regard des mouvements de populations, l’exode massif de réfugiés musulmans sur le territoire apporte son lot d’inquiétudes pour une autre catastrophe annoncée en terme démographique, culturel et sécuritaire, laquelle épuise les finances, asphyxie l’économie et tue le social en France. Si l’accueil des réfugiés est une tradition ancestrale sur la Terre des Gaules, comprenons que l’on ne saurait admettre qu’il existe une chance pour la France d’accueillir des populations de confession islamique, dont le dogme insupporte les autres religions, dénie les cultures différentes et rejette les régimes politiques antinomiques aux théocraties, donc hostiles au culte coranique.

Négliger de lire le Coran, c’est méconnaître ces intolérances qui se traduisent par des émeutes, des crimes de sang et des attentats terroristes de masse dans tous les pays d’expression judéo-chrétienne, dont la France en tête de proue de ces violences importées. Ce culte, éminemment politique, misogyne et guerrier, ne saurait être confondu au multiculturalisme d’école, avec un melting pot qui n’aurait que l’islam à partager au nom d’un khalifat mondial. L’islam n’est pas de nature confessionnelle à s’intégrer aux autres cultures qu’il juge païennes et impures, dès lors que son djihâd exhorte tous les coreligionnaires musulmans à combattre pour un panislamisme conquérant et exterminateur ; le cimeterre d’un prophète d’une main et le Coran de l’autre.

Selon une note interne éditée par l’Insee en juillet 2022 relative au dernier recensement de la population française, un bouleversement en profondeur de la démographie française y est observé avec des effets quasi immédiats sur la courte échelle d’une génération à venir, autrement dit aux alentours de 2050. À la moitié de ce siècle couru, la France sera mathématiquement en majorité musulmane, au vu de l’explosion des naissances pour cette seule communauté, dont les compteurs sont plus bas explicités*. Outre le déversement incessant de cette immigration quasi exclusivement mahométane, que renforce l’amplitude du droit au regroupement familial de familles polygyniques, il s’y ajoutent les ± 12 % de l’islam déjà implanté sur le territoire national. Ce taux oscille entre 6 % à 20 % et peut-être plus, car il est interdit en France de discerner et d’évaluer en nombres les ethnies et la répartition des confessions religieuses sur le territoire.

S’il n’est pas difficile de visualiser, en agglomération péri-urbaine des mégapoles comme Marseille, l’IdF, Nantes ou Lille et maintenant Bordeaux, les changements spécifiques des populations exogènes qui s’opèrent au fil des migrations africaines et moyen-orientales sur l’Hexagone, il est moins aisé de s’informer sur l’origine cultuelle responsable de l’insécurité qui en découle. Mais depuis les provinces encore franco-françaises, nul ne saurait trouver de telles précisions ailleurs que dans la presse libre (Valeurs actuelles, Cnews…). Or, les sources de ces investigations sont puisées dans les statistiques officielles publiées en interne, car non divulguées par la presse soumise au politiquement correct des politiciens qui s’accaparent et modélisent le droit d’expression à leur seule avantage, même s’il relève de la corruption. Aussi édifiantes que soient ces révélations, elles sont corroborées en sous-main par l’État sans faire de bruit ni soulever des vagues d’indignation, donc surtout pas depuis les postes Tv encadréset la presse subventionnée proche de la majorité politique inquisitoriale.

À titre indicatif, l’immigration, essentiellement musulmane, coûte 700 millions d’euros par an à la Nation, pour une somme de 110 € quotidiens par détenu. Cette criminalité importée représentait 24,5 % des populations carcérales en 2021, contre 17,2 % en 2011, d’où une progression vertigineuse en une seule décennie. 54 % de ces détenus sont Africains et Maghrébins, alors que l’Insee ose publier que les populations étrangères, toutes confondues ne représenteraient que 7,6 % de la population sur le territoire français ! L’insécurité en France est devenue structurelle avec 1 026 homicides en 2021 et 4 381 de coups et blessures volontaires suivies de décès, dont des enfants de moins de 15 ans. Le lien avec l’immigration est indéniable. La relation entre ces migrants et l’islam l’est tout autant, sachant que nul ne peut lire le Coran et en ressortir indemne ; islamophobe ou terroriste.

En Île-de-France, selon une statistique publiée par le ministère de l’Intérieur en 2019 ; 93 % des vols et des agressions sexuelles dans les transports sont le fait d’étrangers à raison de 63 % de ces crimes recensés, avec une centaine de viols « déclarés sur plaintes » par nuit à Paris ; autrement dit une partie congrue entre ces femmes et jeunes filles qui n’osent porter plainte en raison des représailles des coreligionnaires proches du violeur qui menacent le quartier. Sur le territoire métropolitain, les grandes villes n’échappent pas à cette inflation de vols et des attaques criminelles, outre les junkies, les trafiquants d’armes et le racket. L’importance de ces délits et crimes est proportionnelle aux nombre d’immigrés que ces communes abritent, en retenant qu’Emmanuel Macron a pris l’engagement d’envoyer des wagons de ces réfugiés musulmans à venir – déjà en saturation démographique sur les zones urbaines – dans le monde rural où nos campagnes sont encore épargnées.

À cela s’ajoute chaque année, avec une progression toujours aussi importante, des centaines de crimes de sang agrémentés de tortures sur le territoire français, dont la diffusion de telles informations ne parvient qu’au compte-goutte, afin, selon la bien-pensance, de ne pas intensifier l’angoisse des Français eu égard à la politique d’immigration intensive du chef d’État. À ce jour, les attentats de masse sont avortés pour la plupart par les forces de police renforcées par un armada de services du renseignement, à la faveur des dispositifs d’alerte de plus en plus efficaces sur les réseaux de communication.

Cependant, ce sont les crimes individuels qui ont pris le relais avec des loups solitaires peu décelables et encore moins connectés, des personnes désaxées dit-on, mais curieusement quasiment toutes de confession islamique, parce que, prétendent leurs avocats, elles méconnaissent nos codes sociaux et nos standards de vie. Certes, l’esclavagisme, l’infériorité du genre féminin et l’assassinat des Juifs s’inscrivent en arabesques dorées dans le Coran ; un enseignement relayé dans les médinas, les mosquées et les madrasas. Ces pépinières de futurs terroristes, encadrés par des imâms fondamentalistes en terre d’islam, préparent nos réfugiés de demain.

Cependant, ces incessantes attaques intégristes, avec de considérables pertes humaines, ne parviennent pas toutes à la connaissance du grand public, eu égard au barrage médiatique qu’organise l’État, en vertu de la politique du « calmer-le-jeu », du « vivre ensemble » ou du « pas d’amalgame ». Parfois même, torturer une femme puis la défenestrer mortellement n’est pas de la faute de l’agresseur musulman, mais celle du cannabis ; une affaire renvoyée sine die pour être traitée en établissement psychiatrique. Tel fut l’horrible mort de la doctoresse Sarah Halimi le 4 avril 2017, directrice de crèche durant sa retraite ; frappée avec une rare violence à coup de pied et de poing par son agresseur musulman Kobili Traoré, après l’avoir humiliée à genou et insultée « Sheitan » (Démon en arabe) parce qu’elle était juive puis jetée de son balcon du 3ème étage.

D’autres fois, ces crimes odieux contre des adolescentes et des femmes ne seront même pas jugés en assises, parce que le violeur et assassin n’est instruit que des canons coraniques, dès lors que la femme, selon le prophète Muhammad, n’est pas l’égale de l’homme. Ainsi en fut-il avec le viol d’une jeune fille de 15 ans à Saint-Lô fin 2015, où la Cour d’assise de la Manche, dans un premier débat, relaxa le réfugié bangladais auteur de ce viol, parce qu’il ignorait les standards du pays d’accueil. Durant son interrogatoire, fort de son statut sanctuarisé par un islam dominant, ce Musulman alla jusqu’à caresser les jambes de son interprète féminin, croyant vraisemblablement à son impunité et sa supériorité de mâle. Ce traitement inique pour les victimes suggère, de façon implicite, que ce serait aux citoyens du pays hébergeur de s’intégrer aux lois des migrants, et non l’inverse. Ici, nous marchons sur la tête !

À ce jour, les terroristes ne s’en prennent plus aux seuls Juifs, mais aussi à des enfants et aux personnes âgées au hasard, avec une cruauté à faire vomir. Rappelons que les imprécations coraniques et hadithiques sont dirigées contre toute personne n’ayant pas fait allégeance à Allah (chahâda), d’où les impurs en général qui sont de culture judéo-chrétienne, agnostique, athées ou de culte tantrique. Au plus fort de l’hypocrisie de la presse déférente à l’État-Macron, lorsqu’elle est obligée de faire état de ces crimes, ces violences n’auront percé le mur du silence que parce qu’il n’est plus possible de les occulter. Ces catéchumènes de la presse affidée au régime de l’État-Macron ne s’investissent pas à connaître le pourquoi de ces crimes ni les motifs de fond, d’où la culture religieuse qui désigne le mobile de ces assassinats. D’ailleurs, la raison d’État ordonne l’omertà, car la presse doit faire silence pour ne pas impliquer la religion responsable, avec ses communautés de réfugiés incubatrices d’activistes.

De sorte qu’il est plus commode de condamner la presse indépendante qui parle vrai ; ce journalisme dit d’opportunisme, populiste, raciste ou fasciste, lequel n’est pas subventionné, donc demeure libre de publier la réalité qui fâche. Certes en France, les valeurs morales sont inversées, et la « vérité dite » est au service du « pouvoir qui édicte », pas du côté des victimes ou de ceux qui les soutiennent. Mais pour faire bonne mesure, le Président de la République se sera senti obligé d’inviter la famille de la collégienne Lola de 12 ans, torturée et assassinée étouffée dans une malle par une migrante algérienne (Dhabia B. et son complice présumé Rachid) le 14 octobre 2022, même si ce « fait divers », ainsi outrageusement désigné par ces médias autorisés, dérange l’Élysée.

Reste à connaître de ce chef d’État, disposant ou pas d’une once d’empathie et de compassion nonobstant ses déclarations qui mortifient de tels outrages, s’il se sentira inhibé par un quelque remord, en regard de sa responsabilité indirecte, mais indéfectiblement associé à cette montée en charge de ces violences islamiques. Ici, il n’est point de récupération politique une fois passé les élections, mais plutôt une façon, pour la presse au service de la propagande de l’Exécutif, de s’inventer un échappatoire pour gommer une réalité incontournable : la haine des islamistes contre ceux qui ne leur ressemblent pas, mais que le Président Macron ne cesse de déverser par millions sur la terre de France.

Comme un leitmotiv ressassé par le politiquement correct, tout ce qui se rapporte aux études anthropométriques ou ethnologiques, en chiffres, en courbes et en statistiques, est perçu comme une discrimination au faciès. Cependant, une simple promenade dans les quartiers des villes de France où se concentre l’immigration, autorise quiconque à associer le niveau de criminalité avec les populations en burqas et babouches. Cette vérité qui dérange les clichés du prêt-à-penser et contrevient aux consciences aveuglées par un humanitarisme de salon, résulte d’une politique qui prend sa source depuis la législature de François Mitterrand. Puis se sont raccrochés, de gauche à droite, les mandatures successives sociales-démocrates, conservatrices, progressistes et mondialistes, pour finir entre les mains du pire d’entre elles ; celle d’Emmanuel Macron qui parachève cette œuvre d’extermination de l’histoire, de la culture monumentale, des standards juridiques et droit-de-l’hommistes, puis de l’esprit des Lumières du monde judéo-chrétien.

À l’appui d’un document de l’Institut pour la Justice du 25 avril 2022, où il est fait état que « 68 % des Français déclarent se sentir en insécurité », conformément au sondage de l’Institut d’études indépendant Odoxa effectué en 2020, l’avocat Pierre Lellouche, député et secrétaire d’État chargé des affaires européennes, vient de rendre public un résultat d’enquête effarant : « 40 % des enfants de 0 à 4 ans, qui naissent et vivent sur le territoire français, sont d’origine migratoire, d’ethnies africaine ou moyen-orientale, tous de religion islamique* ». De surcroît, des dizaines de milliers d’enfants mineurs isolés (40 000 en 2020) parviennent tous les ans clandestinement sur le territoire, où ils y sont recueillis, et dont la régularisation par un permis de séjour puis leur nationalisation ne fait aucun doute une fois posé le pied sur le sol français. D’ailleurs, les reconduites à la frontière sont très rares, puisque seulement 3 % des arrêtés de reconduite à la frontière et OQTF sont suivis d’effet (coût individuel ± 22 000 €), même pour les migrants adultes poursuivis pour des faits de délinquance, de crime et d’actes de terrorisme.

À ce rythme effréné où l’envahissement de la France devient visiblement incontournable, entre implosion et déferlement extérieur par une seule communauté confessionnelle, une simple arithmétique laisse poindre une majorité de Musulmans en France d’ici le milieu de ce siècle. Quant aux jeunes français issus du terroir, un nombre inquiétant d’entre eux, avec ou sans leur famille, migrent à l’étranger pour y trouver du travail et des conditions de vie sociale, sécuritaire et environnementale plus favorables à leur culture et leurs ambitions d’avenir. L’échange de Français instruits et laborieux contre les migrants le plus souvent improductifs, et dont les financements matériels et éducatifs pour leur assimilation n’aboutissent que trop peu à un retour d’investissement, et encore moins une intégration réussie, laisse poindre un désastre économique et social qui enfonce la République dans un chaos irréversible.

En l’occurrence, le poids démographique déterminant de l’islam en France se fait de plus en plus sentir dans les zones urbaines à très forte concentration de coreligionnaires mahométans entre résidents et migrants. Venus de toute part, souvent intégriste, irritables, violents et misogyne, les fondamentalistes arrimés à cette religion apocalyptique répandent leur intolérance dans toutes les sphères de la société, notamment avec le concours actif des Frères musulmans et l’aide financière des pétromonarchies du Golfe persique. Les cités arabophones s’organisent en pépinières d’activistes, des poudrières qui se constituent en zones de non-droit.

Ces non man’s land devenus impénétrables aux forces de l’ordre civiles, sont hors de portée des autorités politiques et administratives nationales, lesquelles ne peuvent désormais plus intervenir qu’à l’aide de véhicules blindés de l’armée. Dans les faits, et non perçue sous la lentille déformante d’un poste Tv verrouillé par la bien-pensance et le politiquement correct fabriqué par l’omertà gouvernementale, la libanisation de la France est en marche, avec la renaissance d’une balkanisation islamique de l’Hexagone.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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6 thoughts on “Macron le “déconstructeur” H1”
  1. Pardon Daniel Desurvire pour mon retard à vous répondre, vous devez savoir que Gérard Davet et Fabrice Lhomme ( grands reporters au journal Le Monde), ont fait paraître quatre livres, à ma connaissance , dont le dernier s’intitule :
    ” LE TRAITRE ET LE NEANT “, dans lequel ces auteurs racontent le pouvoir solitaire d’un Homme suprêmement habile , éperdu de lui-même, de même suite, ils révèlent les dessous de la conquête de l’Elysée, puis l’exercice de la toute puissance , et la vaine quête d’une idéologie .
    Ils concluent par ces mots : ” La trahison a enfanté le néant.”
    En préface de cet ouvrage nous pouvons lire, en outre, ceci :” Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges , respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent . ” (George Orwell )
    J’ajouterai qu’en 1993 , Emmanuel Macron , lycéen à Amiens , 15 ans, déjà féru de théâtre , montait sur scène, dirigé par Brigitte Trogneux, il jouait, déguisement à l’appui, le rôle d’un épouvantail, déjà le goût du camouflage.
    En effet, dans cette pièce de théâtre, il était un homme insaisissable, prêt à tout pour conquérir puis conserver le pouvoir.
    S’il n’est pas un despote , mais à l’instar de Richard III en Angleterre , il s’est emparé, sans le moindre état d’âme, de la couronne de France, après avoir dupé et piégé une grande partie du monde politique, notamment de ses amis , comme Polonius dans Hamlet , ou Macbeth, dans la pièce éponyme, tous deux coupables de régicide ( attention danger).
    Attendons-nous à ce que cet animal politique qui a trahi son “mentor” puis son supposé idéal socialiste afin d’accéder au Palais , parce que ses actions ne sont centrées que sur sa seule personne ” impalpable” , en faisant disparaître tous les autres partis politiques, sauf un : ” celui de la dite extrême droite ” , afin qu’il reste la seule alternative, si la situation actuelle perdure, j’ose prédire qu’il profitera des circonstances exceptionnelles créées par lui-même et ses complices , dans un monde ” en guerre” afin de se maintenir au pouvoir : ” Quoiqu’il en coûtera ! ”
    A BON ENTENDEUR ….

  2. Je vous cite :
    “Selon une note interne éditée par l’Insee en juillet 2022 relative au dernier recensement de la population française, un bouleversement en profondeur de la démographie française y est observé avec des effets quasi immédiats sur la courte échelle d’une génération à venir, autrement dit aux alentours de 2050.”
    Le drame sera alors total pour TOUT LE MONDE !!!

  3. Je suis bien d’accord avec votre analyse : on ne peut que constater que le remplacement est une réalité surtout dans certaines villes françaises qui ne le sont déjà plus françaises.

    1. Dans certaines villes ou quartiers, il n’y a plus de Français. Or, bizarrement ni les politiques ni les médias le voient et encore moins l’admettent.

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