Macron le “déconstructeur” H2

Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !

H² – … et asile psychiatrique pour chefs d’État insanes

Par Daniel Desurvire

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Macron le “déconstructeur” H2

Le paradigme de l’État-Macron : la casse de la France !

H² – … et asile psychiatrique pour chefs d’État insanes

La réussite en politique française, en particulier depuis les dernières mandatures présidentielles de la 5^ème République, ne s’évalue pas en raison du mérite, de la probité et du patriotisme, mais en rapport aux profits que nombre d’élus peuvent engranger en épongeant ceux des contribuables. La nature ayant horreur du vide, les gains qui migrent vers les paradis fiscaux sont fiscalement comblés par les citoyens qui cotisent pour la Santé et paient régulièrement leurs impôts pour que la Nation puisse subsister. Il serait donc grand temps dans notre pays de purger cette politique politicienne et concussionnaire en remettant bon ordre dans les fondamentaux républicains, où le Peuple du terroir se voit exclut de cette sinécure lucrative que s’offre cette élite altérée par l’avoir et le pouvoir, pour laquelle la morale, l’équité et l’intégrité ne sont trop souvent que des faire-valoir de campagne électorale.

Il est également impérieux de restituer les droits imprescriptibles des citoyens autour des seuls intérêts de la Nation trop souvent laissée-pour-compte par les prévaricateurs et les démolisseurs de la République, car ceux-là n’ont cure de la notion de patrie et de solidarité. Ce retour à une morale politique concerne tout autant les technocrates de Bruxelles à Strasbourg, ou la Commission européenne est atomisée par la camarilla dilapidatrice du Forum de Davos*. En se retranchant derrière un mondialisme par définition apatride, donc réducteur des postulats patriotiques et culturels, autrement dit privatif du respect des institutions historiques, certains individus, ainsi Ursula van der Leyen, Emmanuel Macron ou Georges Soros* membres de la Fondation WEF.* Chancre de l’abjection, ces individus font preuve de déloyauté, de négligence, d’égoïsme, d’arrogance envers ce qu’ils considère comme le bas-monde. Certains d’entre eux ne se privent pas de proférer des avanies envers leurs concitoyens, dès lors qu’une opposition ose contrarier leur auguste personne, ainsi la Présidence française à moult reprises.

*En 1999, l’économiste Paul Krugman porta un jugement acerbe sur George Soros autour de ses spéculations sur les marchés financiers : « Nul qui a lu un magazine économique au cours des dernières années ne peut ignorer que de nos jours, il y a vraiment des investisseurs qui non seulement transfèrent de l’argent en prévision d’une crise monétaire, mais font de leur mieux pour déclencher cette crise pour le plaisir et le profit. Ces nouveaux acteurs sur la scène n’ont pas encore de nom standard ; mon terme proposé est Soros ». Comme tant d’autres gens de pouvoir susmentionnés, l’Association Paradise Papers a signalé que l’individu utilise de nombreuses sociétés offshore pour détourner sa fortune des administrations fiscales et sociales de son pays. Cependant, ils sont quelques milliers de crapules à s’engouffrer dans cette corruption, ou nagent indistinctement des narcotrafiquants, des esclavagistes, des marchands d’organes humains arrachés à des enfants, des terroristes avec leurs mécènes pourvoyeurs d’armes et d’argent sale ; tout ce monde en harmonie avec les Crésus et chefs d’États complices de ces spéculations qui assassinent les nations.

Un patron de l’Élysée qui prétend vouloir « déconstruire » son pays, et qui ose évoquer son « déni de la culture française », donc des valeurs patrimoniales et mémorielles, est indigne de ses fonctions et fait acte de trahison envers sa Nation. Sans humanité ni d’honneur, Emmanuel Macron, qui clama publiquement vouloir « emmerder » les non-vaccinés, traita de « gens qui ne sont rien » des salariés mis au chômage après des licenciements souvent économiques, ou encore qui prétendit que des femmes exerçant dans un abattoir sont des « illettrées » ; est assurément dépourvu d’éducation, de respect et d’empathie envers ses semblables. Ce langage de charretier, entre invectives, lubies et foucades, révèle un mental suffisant ; un profil empreint de morgue doublé d’un syndrome borderline. Voilà bien autant de troubles histrioniques qui ne s’accordent nullement à la dimension intellectuelle, à la moralité, à la bienséance et à la charge plénipotentiaire d’un Président de la République.

Enfin, pour mieux cerner cet inquiétant personnage, Emmanuel Macron éprouve un besoin compulsif de jouer la comédie comme exutoire à ses fantasmes, s’inventant des scénarii catastrophes pour combler la dimension qui lui manque. Ce pourquoi un dimanche 13 mars 2022 au Salon Doré à l’Élysée, ce tragédien de foirail se sera travesti en commando parachutiste ; sweat-shirt noir et logo CPA 10 des forces spéciales de l’armée de l’air français. Si « Les vices sont sans conséquence, le ridicule tue » paraphrasa le scénariste Rémi Warterhouse ; que Dieu l’entende ! Pour ce pathétique halluciné, il s’agissait vraisemblablement de se mettre dans la peau d’un conscrit venu à la rescousse de son homologue Volodymyr Zelensky (Source : Bang Showbiz, 18 mars 2022). Afin de prolonger le délire récurrent de sa guéguerre contre un virus, le cortex disloqué par un trouble dissociatif, l’ingénu, étriqué et affligeant, se subodora en grandeur réelle tel un héro sorti d’un manga, sous la toise de son personnage grimé en paladin de composition.

Ce fut ainsi que depuis l’imaginaire refoulé d’un avatar vautré dans les tranchées boueuses de fantassins fauchés par les tirs ennemis, une chimère s’est envolée depuis le 55 rue du faubourg Saint-Honoré vers l’uchronie d’une scène martiale (V. supra, § B). Par ce délire, comme beaucoup d’autres de ses élucubrations que ce personnage cyclothymique duplique dans ses compte Instagram ou TikTok, celui-ci se trouva piégé, aperçu en treillis puis commenté ; « l’air harassé, barbe de huit jours, rouflaquettes en broussaille, jean et sweat à capuche ». Ce fut dans cette posture grotesque que le pensionnaire de l’Élysée se décrivit dans la presse étrangère, divertie et railleuse, où l’individu, dans la fièvre de son agitation cérébrale, s’est probablement cru sorti de l’enfer d’un combat en Ukraine.

Perçu sous la caricature d’un chef d’État immature, la France est moquée, ramenée à la médiocrité d’un fanfaron soldatesque : « Il y a un mois, il aurait été difficile d’imaginer le Président français Emmanuel Macron tenté de copier Volodymyr Zenlensky » (Sources : Jacob Gallagher, in TMZ, Telegraph, Wall Street Journal…). Bizarrement ce cliché, que la Tv française se garde bien de reproduire pour ne pas se compromettre dans une réalité offensante, échappe à vingt millions de Français qui auront voté une nouvelle fois pour ce bateleur de foire !

Cette altération de la perception scinde l’imaginaire d’un sujet partagé entre sa vision de lui-même qui alterne avec sa fiction théâtralisée, dont la nosologie relève d’une classification DSM-5. S’agit-il d’un trouble dissociatif, comme par l’effet inversé d’une psyché où le regard anamorphosé s’en trouve dévié ? N’y voyons ici aucune allégorie, mais une variable de réflexions qui ajuste des faits à la personne, car rappelons-le, l’étudiant Emmanuel Macron fut l’élève de son professeur d’art dramatique Brigitte Trogneux (qui devînt son épouse), notamment sur le plateau du théâtre au lycée La Providence où il joua la scène de L’art de la comédie du scénariste Eduardo de Philippo. Si les planches de théâtre peuvent reproduire à l’infini pareille gestuelle et forfanteries d’un introverti, bipolaire pour mieux duper ou mentir en spectacle, l’incompétence et l’irresponsabilité de ce dernier en politique, dans le monde réel, auront raison du Peuple français par ces improvisations et acrobaties.

D’une France jadis confiante, productive et inventive, Emmanuel Macron aura plongé cette société laborieuse dans une psychose aux motifs sans cesse renouvelés, et dont la thérapie sociale consiste à y injecter l’assistanat et la dépendance. L’esprit patriote d’une Nation multimillénaire y fut disqualifié au profit d’un mondialisme apatride et sans âme, jusqu’à y perdre sa culture et son histoire au profit d’une civilisation de violence, entre terrorisme et insécurité. Le grand remplacement n’est pas seulement physique, mais il flotte dans le cortex des citoyens entre aphasie, résignation et perte d’identité. La dure vérité autour de cette déconfiture se traduit par le naufrage des finances, de l’économie, l’emploi, la santé, l’éducation et la recherche ; autant de faillites qui auront mis à sac la France après cinq ans de vide industriel et social. Pourtant, ce faux prophète ose encore encenser de sa gloire une illusion à son paroxysme, qui n’aura, par malheur, pas seulement aveuglé l’individu, mais tous ceux qui persistent à croire à ce nouveau Bonaparte de composition.

Depuis les murs de son palais, le personnage s’invente un cinéma, se déguise, fait des apparitions dans des tenues extravagantes ou déplacées sur les réseaux sociaux pour s’extirper de son refoulement. S’il n’y parvient pas, l’individu peut provoquer des situations de crise, souffrant vraisemblablement d’untrouble de la personnalité qui se traduit par des changements fréquents dans les relations impersonnelles. Versatile, d’humeur véhémente et empruntant des attitudes affectées, cet homme contraste entre un puérilité égotiste qui soigne dans sa bulle son effigie présidentielle, mais se fragilise depuis le regard des autres. Philippe De Villiers expliquait, lors d’une visite à l’Élysée, que son interlocuteur le fuyait des yeux ; Emmanuel Macron préférant l’œil inerte d’une caméra qu’il peut soutenir sans rompre avec son ego.

Ne soyons donc pas surpris des comportements inadéquats et des décisions inconsistantes de ce Néron, dont l’audace fait illusion derrière une assurance feinte qu’il cultive derrière les écrans. S’agissant de la pandémie de Covid, puis du conflit ukrainien, puis encore de sa nouvelle guerre contre le CO₂, nous retrouvons un dénominateur commun aux attitudes de ce chef d’État ; il se veut toujours être perçu dans la trempe d’un combattant, enfilant sans complexe un treillis ou un sweat de l’armée, comme le 20 juillet 2017 sur la base militaire aérienne d’Istres dans les Bouches-du-Rhône, et même dans un sous-marin pour faire vrai et se donner une allure héroïque. Ces usurpations de fonctions, et déguisements militaires fréquents, ne découleraient-elles pas d’une inhibition – mais le courage patriotique et la carrure en moins – pour s’identifier à Charles De Gaulle, lorsque cet illustre résistant contre le nazisme se présentait légitimement dans son uniforme de général ?

Ce clin d’œil en arrière, laissait déjà deviner le spectre délétère de ses pulsions guerrières, certes peu compatibles avec un virus, nonobstant l’usage de cette allégorie maintes fois répétée – donc révélatrice – dans son discours de mi-mars 2020. Puis le voilà de nouveau, aujourd’hui vent debout, en conflit contre son homologue russe autour du conflit ukrainien. Même si ce différend reste encore à ce jour localisé à l’Est de l’Europe, les provocations de la Présidence française à l’encontre de Vladimir Poutine pourraient dégénérer de façon plus brutale, quant au possible retour de flamme contre les expéditions d’armements lourds depuis la France au profit des factions de l’euromaïdan, lesquellesdrainent dans leurs rangs des sociopathes néonazis. Ce fantasme guerrier, ajusté au nombrilisme de ce chef d’État (Voir supra le syndrome d’hubris, § B), dénué de culpabilité ou de repentance en regard des nombreux échecs de son premier mandat, laisse poindre un vrai danger : une guerre nucléaire toujours possible avec de tels engeances irresponsables et belliqueuses. Rappelons qu’Emmanuel Macron s’entoura d’un conseil de défense (sanitaire) pour combattre un adversaire gros de 0,06 à 0,14 micron. Souhaitons que ce succédané d’headquarters, aussi ridicule soit-il depuis son mental perturbé, ne se transforme pas bientôt en conseil de guerre. Pareille prise d’armes lilliputienne contre la plus grande puissance nucléaire du monde ; cela depuis l’imaginaire de ce fantassin d’opérette, pourrait prendre des proportions cataclysmiques !

FIN

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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