EXCLUSIF : Si les Français ne se réveillent pas en 2022, la Constitution finira comme un trophée de chasse après être passée entre les mains des taxidermistes de l’Élysée... Chapitre 11

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Manifeste pour le rétablissement de la démocratie en France

Par Daniel Desurvire

Chapitre 11

En clair, l’état d’urgence, les couvre-feux, les confinements et autres mesures cagoules ou d’aseptisation n’ont eu la moindre efficacité contre la Covid, sinon de semer la pagaille, la discorde, l’anxiété. Heureusement le virus, qui aura inexorablement poursuivi sa route, a fini progressivement par s’essouffler. Malheureusement pour le noyau dur des oligarques au pouvoir, qui s’acharne à laisser croire le contraire en évoquant compulsivement de nouvelles vagues épidémiques, le virus n’a aujourd’hui plus rien de létal. La Covid-19 s’achemine lentement vers un parcours durable, une infection qui prendra la forme d’une influenza (grippe de type B ou C), sinon d’un coryza (rhinovirus). Pour le moment, cette régression épidémique ne fait pas l’affaire d’un Gouvernement qui doit impérativement écouler le produit vaccinal de ses commandes mal appréciées, lequel devra les honorer – commissions obligent – à hauteur des quantités contractualisées avec le Big Pharma (Voir infra, p. 31).

Outre les mesures dites prophylactiques qui se résument à contraindre toutes les populations à l’enfermement et l’inactivité, puis à tuer l’économie et l’emploi, sinon transformer les salariés en assistés pour mieux les soumettre, comment l’Exécutif ose-t-il évoquer le principe de précaution, alors même qu’il s’est empressé de rayer toutes les mesures de pharmacovigilance obligatoires avant d’autoriser la mise sur le marché d’un vaccin non randomisé, sans recul, totalement expérimental (Décret n° 2020-1691 du 25 décembre 2020 comprenant 11 dérogations incontournables dans le cadre d’une AMM). Si l’État français fait semblant de se soucier de la santé des citoyens en les obligeant jusqu’à les assujettir et les blesser, pourquoi s’autorise-t-il à violer les règles élémentaires de précaution dans l’inobservance irresponsable d’une vaccination hasardeuse, en se servant de la population pour en faire des cobayes humains ? Doit-on faire aveuglément confiance aux apprentis-sorciers du Big Pharma, alors que nombre d’entre eux furent poursuivis en justice, aussi bien en France qu’en Grande-Bretagne et outre-Atlantique, pour des faits graves et avérés de corruption et d’empoisonnement (Voir in fine en bibliographie, « L’absurde traitement… », pp. 74 à 77).

Autant dire que le principe de précaution n’étant pas respecté, une juridiction pénale, au titre de l’état de nécessité, pourrait se saisir de ce motif de rempart naturel dans sa mission d’interprétation pour « infraction à la prudence par un service de l’État ». Sous le chef d’accusation de « mise en danger de la vie d’autrui », une amorce de poursuite judiciaire fut engagée et d’autres le seront en France, notamment contre le chef d’État, par suite de complications post-vaccinales anti-Covid (thromboses, tachycardie, infarctus, hypertension artérielle et autres cas de réaction retardées…). À cette liste d’effets indésirables graves, s’ajoutent des céphalées, des diarrhées et des fièvres plus ou moins violentes. Faut-il ajouter sur 18 millions de vaccinations en France depuis le 23 avril, 16 007 cas d’effets indésirables furent dénombrés avec les vaccins dits génétiques, et 11 206 cas après des vaccinations à virus atténué ou inactivé (à vecteur viral dit adénovirus).

Globalement, le taux de complications bénignes jusqu’à celles précurseurs de graves préjudices de santé voire de mortalité (8 morts recensés en France en avril 2021), se monte à un peu plus de 15 % des personnes vaccinées (Source partielle : Le journal des femmes Santé du 23 avril 2021). Autant dire que démographiquement, la vaccination généralisée, anti-Covid, toutes variétés confonduessur tout le territoire, fait déjà ces derniers temps plus de dégâts que le virus lui-même. Le ministre de la Santé, le Premier ministre et le chef d’État risquent solidairement de se voir impliqués dans une affaire pénale qualifiée de « faute grave et d’atteinte à la santé publique » dans l’un de ces cas probables de complications graves, avérées. De nombreuses autres affections sont imprévisibles, car retardataires, après ce type de vaccination pratiqué dans la précipitation et, rappelons-le, en l’absence de respect du principe de précaution. Les articles 221-6 et 222-19 du Code pénal font état de l’incrimination de : « toute maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement ».

Si le droit positif légifère des principes de précaution autour des OGM, pourquoi n’en serait-il pas de même pour les humains, en retenant que même un état d’urgence n’est pas un motif supérieur pour engager la vie humaine, surtout lorsque l’État prétexte vouloir préserver la santé du peuple ?Quant à l’article 223-1 du même code, il est précisé l’incrimination de mise en danger de la vie d’autrui en ces termes : « … le risque d’exposer directement autrui à un risque immédiat… ». Mais ce que nous retiendrons de navrant dans cette campagne de vaccination, fut que les laboratoires de fabrication des vaccins anti-CovidARNm ou à adénovirus) n’ont jamais promis, dès leur commercialisation, de l’arrêt de la transmission du virus ni de l’infection des personnes par ledit virus après leur vaccination ! Or ces constats s’avèrent confirmés quant à la persistance de cette indication dérogatoire aux préjudices, qui aura permis à ces fabriques pharmacologiques de se dédouaner par ces réserves contractuelles, leur conférant une « suspension de responsabilité du vendeur », à la signature des contrats de vente assortis de promesses d’achat.

À suivre

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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5 thoughts on “Manifeste pour le rétablissement de la démocratie en France – 11 –”
  1. Si l’état de nécessité fuse partout en France , n’est-ce pas eu égard à l’incompétence et au laxisme de nos dirigeants politiques , ceci, depuis bien trop longtemps ?
    Mais pas seulement , dès 1976 , nous savions déjà , que vers 2025 , en France et dans le monde entier , nous connaitrions un nouveau monde imaginé , de longue date , dans chaque oligarchie financière mondialiste et les élus politiques choisis , à leurs bottes, sont chargés d’exécuter leurs ignobles desseins : ” laminer les classes MOYENNES.
    Ainsi, attendons–,nous à compter plusieurs centaines de millions d’êtres ” ASSISTÉS” .
    Voilà le ” Nouveau monde en marche” vers:
    LE NÉANT.
    En conséquence, effectivement, omme Daniel DESURVIRE ( lanceur d’alerte ) , si les Français ne se réveillent pas avant 2022 : ” DANGER” pour toute démocratie , si nous ne prenons pas garde le monde tombera dans le gouffre déjà programmé par les dictateurs indignes qui font croire que tout va bien dans le meilleur des mondes , alors que le pouvoir d’achat des salariés français continue de diminuer ( contrairement à ce que veulent faire croire ses ministres propagandistes macroniens ).
    Sachez bien, que Tout est prévu pour que Macron et ses amis tenaillent le peuple de France afin qu’ils deviennent des ” Esclaves” au service
    d’ obscurs représentants mondialistes en marche pour tuer les démocraties au profit d’esprits malhonnêtes, tricheurs, menteurs .
    A bon entendeur …
    Merci Alexandre GOLDFARB de nous donner le plaisir de lire des articles aussi remarquables qui disent la “vérité vraie” .

  2. Pourrait-on imaginer que la vague nouvelle des variants soit le fait du vaccin ? Certains scientifiques semblent le penser.

    1. Soyons clair, la mémoire reproduite par un Arn messager peut se corrompre au fil des vaccins, affolant ainsi le système immun de l’organisme trop souvent sollicité artificiellement par des leurres ainsi injectés, car rapidement obsolètes car rattrapés par des mutations virales, telle une réponse virale à la survie du micro-organisme infectant. Il en découle également un possible affaiblissement des défenses naturelles des organismes ainsi chahutés, alors que Dame nature nous aura doté d’un métabolisme particulièrement résistant pour faire survivre aux bouleversements terrestres depuis 4 millions d’années, avec les Australopithèques précurseurs du genre humain. Et puis, c’est bien connu, plus on aseptise les populations, plus on fragilise leur métabolisme, dès lors que les anticorps du système immun ne sont plus naturellement sollicités. Ce processus est mis en évidence à la section suivante, dans le cadre de vaccinations de masse.

      La principale et la plus meurtrière erreur d’Emmanuel Macron et de ses conseillers, pour la plupart inaptes en virologie ou en immunologie, fut de croire, en imposant des mesures d’éloignement, de restriction de déplacement dans l’espace et le temps, de protections physiques (masques, gel, distance sociale) d’où les confinements, couvre-feux, bouclage des frontières et sanctions pénales, que le virus s’éteindrait faute de ne plus pouvoir se propager. L’expérience, à l’internationale, aura prouvé que ce fut un échec patent. Dans une réalité – la vrai et les faits sont têtus – qui semble échapper à l’entendement des élus et de soi-disant spécialistes, furent les pays qui n’imposèrent pas ces mesures drastiques et contraignantes comme la Suède, où la Covid n’aura globalement, et dans le temps, pas davantage provoqué de dégâts. Sur ce fait, le Gouvernement français aura joué la carte de l’omertà, à défaut d’avoir compris et surtout pour ne pas avoir à répondre de son incurie et de ses engagements douteux.

      Gageons, à l’instar de toute propagation virale ou bactérienne, que seuls les soins médicaux hospitaliers et médicamenteux peuvent réduire les effets graves d’une maladie dans l’immédiat (respirateurs, principes actifs contre les infections etc.), et qu’il faut compter sur l’immunisation naturelle dans le temps, notamment avec les porteurs sains ou naturellement immunisés, pour prendre le relai prophylactique contre une épidémie naissante, notamment à son stade le plus virulent. Dans un cas majeur et globale d’une propagation infectieuse, aucun vaccin nouveau et exploratoire ne peut raisonnablement être admissible, ce qui fut pourtant le cas avec l’apparition de la Covid, aussi suspecte que les vaccins hâtivement jetés en pâture dans les populations.

      Ô paradoxe ! Plus le virus aura atteint un stade avancé de contaminations, plus la population retrouvera rapidement une stabilité sanitaire à la faveur de la réponse issue de l’action immun des organismes infectés, en retenant que les pertes seront liées aux vulnérabilités des personnes et aux carences du système de santé. Ceci explique pourquoi la France totalisa un taux de mortalité trois ou quatre fois supérieur à celui de l’Allemagne médicalement mieux préparée. En outre, plus les dirigeants procèdent à des vaccinations massives et répétitives sur les populations, plus il excite les mutations virales de l’agent infectieux qui cherche naturellement à survivre face à une attaque vaccinale artificielle, donc plus aléatoire. De sorte qu’en France, le nombre impressionnant de la mortalité en 2020, seulement au début de la crise, fut la conséquence de l’insuffisance de notre système de santé qui s’est effondré sous les assauts réducteurs d’emplois et de moyens par des dirigeants irresponsables.

      Alors que les dépistages et vaccins précoces et massifs n’ont jamais résistés au temps, et que l’efficacité et la durée de l’immunité vaccinale s’avèrent être un fiasco, sachant que le virus ne connaît ni l’horloge ni le clivage géographique, la pandémie n’a au final qu’un seul véritable ennemi héréditaire : l’immunisation naturelle à la faveur des anticorps que développent les organismes. La responsabilité de ces échecs est toute simple à cerner :

      – En premier lieu ; trop de vaccinations successives et rapprochées suscite l’affolement du système immun. L’explication en amont comme en aval est fort simple ; les vaccins contre la Covid ne furent – et le sont toujours – qu’une entreprise commerciale. Leur formule chimio-biologique, hâtivement élaborée et absente de tout principe de précaution exige, selon les irresponsables, une répétition affolante et ininterrompue de vaccinations sur chacun des sujets vaccinés, cela en prétextant la survenue de « variants » qui ne sont que des mutations habituelles à tout virus, lesquels de cette manière répondent à l’assaut inefficace de vaccins exploratoires.

      – En second lieu, la confiscation des équipements et des personnels sanitaires dans les CHU en France, au motif de réduire les coût de production, fut entreprise par les chefs d’États successifs, dont l’actuel, depuis les dernières mandatures. Cette spoliation de la Solidarité nationale, laquelle n’appartient juridiquement qu’aux cotisants sociaux et non à l’État, aura occasionné des décès en trop grand nombre en France au début de la crise. Par suite en 2021, ce furent les wagons de vaccins qui prirent le relais de la crise, secondés par des tests pour les justifier, car les mortalités se firent de plus en plus rares et la Covid de moins en moins active pour se développer, inversement à la corruption entre le lobbying des industries pharmaceutiques et les prévaricateurs politiques stipendiés, qui pris une dimension planétaire. Quant à la Sécurité sociale en France, elle fut la seconde victime de cette gabegie.

      Merci beaucoup pour votre intérêt, car de surcroît votre question est très pertinente. Daniel Desurvire.

  3. Comment ne pas partager ? Voici la phrase que je recommande : “En clair, l’état d’urgence, les couvre-feux, les confinements et autres mesures cagoules ou d’aseptisation n’ont eu la moindre efficacité contre la Covid, sinon de semer la pagaille, la discorde, l’anxiété. “

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