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Manifeste pour le rétablissement de la démocratie en France
Par Daniel Desurvire
Chapitre 13
Un seul « test PCR + » dans une assemblée, une classe d’école, une administration, puis tout s’arrête et l’on enferme tout le monde classifié « cas contact », donc suspect et pestiféré. Or, dans une autre réalité, la vraie, qui contrarie l’urgence vaccinale qui découle d’un stratagème pour couvrir les marchés juteux et crapuleux, un seul individu testé positive sur ± 10 000 « PCR+ » est porteur de symptômes bénins, pour une infime fraction jugée grave, donc placé en observation hospitalière, les autres étant immunisés, porteurs sains et/ou vaccinés (Voir supra, pp. 29 et 30). Dans cet intervalle, l’anarchie et la discorde président au destin d’une Nation bernée, telle, dans la fiction de Rabelais, des moutons de Panurge emmenés, au gré des fantaisies et élucubrations sépulcrales d’une orgie de dirigeants incapables et/ou corrompus.
« Le dépistage nous a sauvé la vie » ! Telle fut sans nuance la lecture d’une publicité à la solde du Big Pharma, vue sur une affiche numérique glissante à l’entrée de la clinique Belharra à Bayonne, jouxtant un chapiteau où il s’effectuait des tests du Covid. L’image présentait un couple de parents accompagné de leurs deux enfants, avec en bas de la photo une bande annonce révélatrice des discours anxiogènes des affabulateurs depuis Matignon, lesquels participent au plus grand mensonge de l’histoire contemporaine depuis le grand écart du nuage de Tchernobyl qui évita la France. Comprenons que toute personne testée positif, au final décèdera s’il refuse de se faire vacciner ! Or dans les faits, 67 000 personnes en France sont placées en réanimation fin avril 2020 au motif présumé de Covid, ce qui, en regard de la démographie nationale correspond à 0,009 % de la population, sachant que sur ces 0,009 %, peu risquent de décéder de Covid, sinon de comorbidité pour les plus âgés.
Ces absurdités couvertes par des mascarades sont pourtant responsables de l’internement tantôt partiel, tantôt intégral, de tout un pays avec ses 67 millions d’habitants. Viennent s’ajouter, au plus fort du ridicule, la ségrégation des produits et articles de consommation dans le commerce. Même une paire de pantoufle ou une culotte vendue en magasin seraient hautement toxiques car potentiellement porteur du virus, donc sont interdits à la vente comme moult objets courants. De fait, ces articles, à l’aspect inoffensifs, seraient hautement dangereux pour la santé, puisque considérés par les élites affidées au LREM comme des marchandises « non essentielles ». Quid d’un beefsteak, d’une botte de poireau ou d’un pack de piles électriques ? Nos voisins germaniques sont hilares devant la sottise de la « bande à Macron », traitant le chef du Conseil scientifique à la botte de l’Élysée de confinator et la France d’absurdistan ! (op. cit., en bibliographie, « Les mensonges… », pp. 61 et 65).
Dans cette course où les aberrations frisent tantôt le cynisme tantôt le ridicule, La France, depuis le début de la crise, aura connu, à travers les mesures dites de précaution sanitaire, tout et son contraire. C’est ainsi qu’Olivier Véran endossa la casquette de général quatre étoiles pour conduire ses troupes d’élites à l’offensive dans une guerre déclarée six fois par Emmanuel Macron dans une allocution du 16 mars 2020. Ironie de l’histoire, dans une « vraie guerre », les conscrits ne montrent pas autant d’enthousiasme ! Cette mobilisation générale de la communauté médicale et des forces de l’ordre prend alors des allures de foire d’empoignes au vu des inepties qui se succédèrent. D’abord, les armées de Covid, pourtant anaérobies, étaient censées s’attaquer à tout ce qui prenait l’air, ainsi une octogénaire isolée sur un banc, ou des surfeurs sur la Côte d’argent ; tous victimes de contraventions sans discernement ni un minimum de bon sens. Puis il fut annoncé que ledit virus était moins agressif dehors, mais qu’il fallait pourtant respecter les confinements où les gens s’entassent dans les appartements, d’où une promiscuité propice aux propagations épidémiques.
À suivre
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Merci pour ce nouvel article qui illustre la qualité des articles que vous nous proposez ici.
Vous écrivez à juste titre que “Un seul « test PCR + » dans une assemblée, une classe d’école, une administration, puis tout s’arrête et l’on enferme tout le monde classifié « cas contact », donc suspect et pestiféré.” Or, il est avéré que ces tests n’ont finalement que peu de fiabilité et il n’est pas rare d’avoir des personnes testées positives et trois jours plus tard négatives ou le contraire. Mais, pour justifier sa politique répréssive, le pouvoir n’utilise plus que cette jauge et c’est amateur comme méthode. Parlez-en avec votre médecin…