EXCLUSIF : Si les Français ne se réveillent pas en 2022, la Constitution finira comme un trophée de chasse après être passée entre les mains des taxidermistes de l’Élysée...
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Manifeste pour le rétablissement de la démocratie en France
Par Daniel Desurvire
Chapitre 15
Ces barbouzes en blouse blanche, la poitrine médaillée de leur stéthoscope pour signifier qu’ils auraient jadis été médecins, et pour certains jamais, auraient même percé les codes génétiques de l’ennemi, expliquant, pour excuser leurs atermoiements, de-ci de-là les changements de cap dans cet art de la guerre d’un nouveau genre. Or ceux-là méconnaissent l’adversaire, ne l’ont jamais approché et ignorent le type d’armement approprié pour le combattre, sinon les vaccins dont ils ne savent toujours rien quant à leur efficacité et des risques futurs inhérents (Voir supra, pp. 31 et 32 : « Nous ne savons pas… Nous ne connaissons pas… »). Mais qu’importe, ces patrouilleurs qui sèment l’épouvante sont gratifiés de rémunérations mirobolantes, au titre de [pseudo]scientifiques, pour faire injecter par leurs confrères l’antidote vaccinal vendu à prix prohibitif par le Big Pharma et ses suppôts politiques ou autres miliciens de cet univers cagoulé.
Quant aux généraux de brigade, police judiciaire et gendarmes, n’y voyons que des victimes qui patrouillent au pas de l’oie dans cette guerre de l’ombre emmenée par les bigBoss de corps d’armée incompétents, corrompus mais en alerte constante comme en manœuvre militaire. Certes, il faut de l’abnégation quant à rompre avec sa dignité pour oser dresser de lourdes contraventions à des concitoyens traités comme des délinquants, au seul motif d’avoir dépassé l’heure d’un couvre-feu, sinon une limite géographique où l’ennemi viral, en embuscade dans une tranchée, est supposé mener ses assauts. Parfois même, l’imprudent, sorti sans casque ni fusil, ne se sera pas pourvu d’une attestation pour s’autoriser soi-même à sortir (!?). Faut-il rappeler que cet État d’urgence sanitaire est une disposition non législative qualifiée anticonstitutionnelle par moult juristes universitaires, eu égard à son appositif « sanitaire », y compris en droit comparé international (Voir in fine en bibliographie, « Les mensonges… », pp. 79 à 83).
En France, les hôpitaux furent saturés, a fortiori puisque pour répondre aux économies exigées sur les coûts de production, des dizaines de milliers de lits, soit en réanimation, soit en soins intensif, furent supprimés par l’État, nonobstant le fait que la Santé est la propriété des cotisants français, non celle d’Élysée. Cette spoliation politique sur l’appareil médical et social du peuple, édifié sur le postulat de la Solidarité issu de la loi du 25 juillet 1893, puis des ordonnances des 4 et 19 octobre 1945, doit être comprise comme un crime contre la Nation. Pour cause, des pensionnaires des Ehpad furent, par décret, soulagés de leur vie au Rivotril® ; un parcours d’existence méprisamment qualifié de résiduel (Euthanasie dite sédation, voir in fine en bibliographie, « L’absurde traitement… », chap. Ier, § b, et note 31, p. 55, puis « Les mensonges… », p.p. 106 à 107), que l’État n’aurait-il pas perpétré contre nos séniors pour libérer des lits dans les CHU !
65 000 à 68 000 morts furent annoncés par Santé publique France (de l’Agence nationale de santé publique sous la tutelle du ministère de la Santé) en 2020. Où sont les statistiques indépendants, hors celles d’un État tricheur, qui donne la mesure de ce nombre hallucinant de victimes ? S’il y a complot, il ne saurait être du côté de ceux qui exigent des explications plausibles, des chiffres cadrant avec la réalité du terrain et des preuves recevables, non partisanes !
Selon l’Insee, sous contrôle de Bercy, le bras armé de l’Exécutif, le nombre de morts en 2019 aurait été de 613 395 toutes causes de décès confondues. Du 1er janvier au 21 décembre 2020, il s’en compta 617 197. Or, la progression annuelle de la mortalité, liée au vieillissement de la population française, s’établit autour de 9 pour 1 000 habitants. Ce taux fut assez constant ces quatre dernières années (entre 9,1‰ à 8,9‰), alors même que la Coronavirus n’était pas encore apparue. Si l’on ajuste ce pourcentage au nombre de morts toutes maladies létales associées durant l’année 2019, nous obtenons 618 915 décès pour l’année suivante. En ajoutant proportionnellement 16 956 morts pour les dix derniers jours manquants de l’année 2020, nous obtenons 635 871 décès prévisibles hors Covid devrions nous écrire.
Où sont les ± 65 000 morts de Covid-19 sur l’année 2020, car, selon toute vraisemblance, nous devrions obtenir ± 703 871 disparus au lieu des 635 871 estimés, toutes causes de mortalité amalgamées ? Certes, l’Institut national des études démographiques (l’Ined), estime que la Covid-19 ne serait responsable que de 42 000 décès, eu égard aux comorbidités gérontologiques qui n’auraient fait que légèrement précipiter les décès, si tant est qu’ils soient réellement liés à ce virus. Puisque la mortalité en 2020 n’est pas significativement supérieure à 2019, si l’on tient compte de la progression liée au vieillissement de la population (9,1‰), il y a sûrement un canular d’État que confirme les alertes des directeurs d’hôpitaux, lesquels réclament à leur ministre de tutelle de libérer les lits Covid fantômes pour les restituer à leurs authentiques patients malades. Ceux-là, laissé-pour-compte au profit de la crise sanitaire, furent obligés de migrés chez eux, avec leur problème de santé et des opérations chirurgicales suspendues, pour faire de la place dans les CHU dès le premier trimestre 2020 !
À suivre
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Au nom de l’adage “une démocratie sans contrôle est un leure” il est nécessaire en premier lieu d’adjoindre à chaque député un certain nombre de citoyens retraités (8?) issus de la société civile (ce qui exclus principalement les fonctionnaires) désignés par le sort à partir des circonscriptions attenantes à celles du représentant du peuple.
Accessoirement, on pourrait réduire le nombre d’élus des 3/4 (680000!) la cacophonie cesserait derechef.
Très intéressant rappel sur la COVID et ses dérives au moment où tout semble repartir comme en 2020 !