SCOOP
Par Daniel Desurvire
Le chef d’État s’est empêtré dans ses mensonges. Le document joint en bas du texte en témoigne de façon incontestable.
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Quand le mensonge de l’État-Macron est confondu par la preuve
Le narratif des vaccins-Covid fut bâti sur du sable. S’accoutumer aux pratiques et discours emmenés par la pensée dominante se diagnostique en psychologie en termes de surexposition qui induit l’accoutumance par l’imprégnation itérative. La nature de cette perception au premier degré a pour conséquence d’éliminer toute résistance, le sujet devenant imperméable à d’autres sources d’information, par confort intellectuel, après avoir baissé la garde, éteint toute vigilance à la faveur d’un sentiment controuvé d’apaisement et de sécurité. Contester ou simplement aller vérifier est devient un effort perturbant. En échange, le confort anesthésiant du fauteuil devant un écran Tv qui relaye des prêt-à-penser, avec un verrouillage sous-liminaire, inconsciemment hostile à toute réflexion ou interrogation ; là où tout devient simplement gratifiant, apaisant, lénitif.
Cependant, les populations interrogées par d’autres sources contradictoires, certes qualifiées d’inopportunes mais développant des évidences jusque-là esquivées par facilité et confort d’esprit, finissent par perdent confiance dans leurs institutions, médias y compris. La force incantatoire des mots, l’impact de leur profusion que renforce l’éclairage polychrome d’un écran et la vélocité des images cinétiques diffusées en cascade impactent l’imaginaire, mais peuvent aussi interpeler le sens critique et la sensation de se sentir piégé.
Cette pratique, que l’on doit aux stratégies mercantiles, est très largement reprise par la propagande politique de l’État qui en détient un monopole de fait. Mais il subsiste toujours une ambiguïté entre l’autorité du support (le Président), et l’intrusion d’une thaumaturgie élaborée pour vendre une image et des injonctions ressassées qui ébranlent la cognition (la liberté d’opinion, ses choix). Par cette fenêtre constamment ouverte, l’Exécutif injecte l’idée d’adhésion sans réserve à se projeter dans un conflit, ainsi Emmanuel Macron qui voudrait emmener tout le monde dans son obsessionnelle guéguerre, tantôt contre un virus, tantôt contre le CO2 ou sa participation à une guerre civile étrangère en se dressant contre un ennemi qu’il s’est fabriqué.
Mais ce peut être aussi en évoquant la haine de tout ce qui disconvient à ce qui est obligé… sans être formulée comme obligatoire à l’exemple des vaccins-Covid, ou ce qui ne lui ressemble pas, à l’instar de l’islam intolérant qui insupporte les autres cultes. En se fabriquant une dialectique dont le curseur positionne un politiquement correct ajusté à son mental figé, la bien-pensance oligarque impose subrepticement son éthique politique dans le cortex d’un public affidé. Par ce procédé compulsif, la machine d’État à broyer les esprits provoque des réflexes irréfléchis, car spontanés au seuil de la conscience.
Mais il arrive que certains citoyens finissent par percevoir un vice en filigrane, voire identifient un dénie d’opinion en contrejour d’une réalité tronquée, laquelle interpelle l’intelligence et suscite le doute. Dès lors que la vérité, l’évidence et le sens du discernement auraient raison des supercheries et mystifications de l’État, puis seraient finalement du côté des dissidents, d’aucuns y voient la résurgence d’un goulag mental, car jusque-là pas même suspecté. Puis tout à coup, les populistes, les complotistes et la fachosphère changent de camp. Mais la démocratie en est-elle pour autant sauve, car faut-il encore que l’ensemble des masses populaires réagisse ?
Il fallait cette introduction pour mieux cerner la félonie d’un système politique qui manipule l’actualité en se servant des médias qui lui sont serviles. Ici, c’est le mensonge depuis la canopée du pouvoir qui donne la mesure de cette félonie. Pour résumer ce qui suit, une demande documentaire a été légalement requise auprès de la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), par Maître Martine Baheux, Conseil de Laurent Toubiana (épidémiologiste et docteur en physique, chercheur à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale Inserm). Le scientifique travaille au Laboratoire d’informatique médicale et d’ingénierie des connaissances en e-Santé, une unité mixte de recherche, directeur de l’équipe SCEPID (Système complexes et épidémiologie et à l’IRSAN, Institut pour la valorisation des données de santé).
Cette demande portait sur des questions légitimes, quant à l’efficacité et la sécurité des vaccins à vecteur génique (ARNm). En toile de fond, il s’agissait de corroborer les annonces carillonnantes des pouvoirs publics, via le ministre de la Santé Olivier Véran et son gourou à l’Élysée, s’agissant de l’efficacité desdits vaccins. Ceux-là, et tant d’autres convaincus, n’ont jamais cessé d’affirmer l’innocuité de la substance réputée prophylactique et par là, de l’éradication de la contamination par les personnes à qui il fut inoculé le contenu magique des seringues livrées par le Big Pharma. Il fut évoqué des milliers de décès par suite de la maladie virale SARS-CoV-2 (Covid-29), puis affirmé qu’il n’y eut jamais une seule mortalité par le vaccin-Covid. Même la contagion était réputée douze fois moins importante depuis les personnes vaccinées. La population nationale fut accablée, voire anéantie par le désastre de cette pandémie annoncée, de sorte que le vaccin apparaissait comme une bonne fée.
Or, la réponse tardive de la CADA résonna comme un coup de tonnerre, en concluant qu’aucune étude ou statistique n’avait été effectuée à ce propos, de sorte que les allégations du Gouvernement et de ses deux protagonistes s’avérèrent, sinon improbable, de vrais canulars en l’absence de données chiffrées et rendues lisibles par un quelque organisme indépendant français. Aucun demande de l’Exécutif n’a été diligentée pour publier une enquête de pharmacovigilance ou de veille sanitaire s’agissant des vaccins-Covid conceptualisés par des laboratoires étrangers. Mais pour combler ce vide, il fut colporté en échange par l’État-Macron des chiffres et des courbes fantaisistes, car manifestement sortis du chapeau. Ces mystifications assaillirent les écrans et noircirent les journaux, jusqu’à convaincre le Français lambda de l’incontournable nécessité de se rendre dans les centres de vaccination.
Cette réponse de la CADA, pour le moins hallucinante, laisse poindre de façon pertinente et incontestable la malhonnêteté de nos dirigeants politiques, mais aussi des concussions et corruptions qui découlent fatalement d’une telle mascarade, entre l’industrie du Big Pharma et nos élus depuis la plus haute marche du pouvoir exécutif, mais aussi de la Commission européenne en la personne d’Ursula von der Leyen. Or ces campagnes vaccinales imposées ne pouvaient excuser la précipitation d’injections en masse de substances exploratoires, que ni l’urgence ni une situation de pandémie extraordinairement mortelle aurait pu être corroborée à la façon de la virulence du bacille de la peste noire ou d’un virus de type Ebola. Pour cause, les Nations unis ont témoigné avoir été trompés par des annonces fantaisistes sur la mortalité de la Covid-19, en multipliant entre 10 à 50 fois cette réalité létale. Il semble donc que les jeux étaient orchestrés d’avance, avec la complicité du laboratoire « P4 » qui laissa échapper le mal, et ceux qui s’enrichirent avec l’antidote présumée.
Des dizaines de milliers de certificats de décès furent falsifiés en France par des médecins stipendiés par le ministère de la Santé, pour inscrire le virus Covid-19 comme la cause de la plupart des décès s’agissant de conséquences pathologiques liées à des comorbidités, en particulier dans les Ehpad où il fut pratiqué à outrance des sédations au Rivotril®, sans en passer par les services hospitaliers de soins palliatifs. Mais l’absence de recul sur les effets indésirables, d’étapes cliniques obligatoires et de randomisation furent balayées au nom d’une urgence galvaudée, de sorte que les autorisations de mises sur le marché (AMM) furent squeezées, car éradiquées du droit médical par onze dérogations décrétées par l’État-Macron. Pire encore, les laboratoires ne fournirent aucun document relatif aux études scientifiques autour de ces vaccins. Ce pourquoi, le Dr Laurent Toubiana a sollicité auprès du ministère de la Santé l’accès aux statistiques d’hospitalisations et de décès, toutes causes appariées au statut vaccinal Covid.
A contrario, des études fournies par différents instituts indépendants dans le monde, ainsi EudraVigilance, European Medecines Agency, Priority medecine (PRIME), entre autres organes nationaux tels en France ; l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament [ANSM], ou en Grande Bretagne : The UK Health Security Agency [UKHSA], laissent voir l’étendue du désastre avec des dizaines de milliers de décès et des centaines de milliers de pathologies directement liés aux vaccins-Covid ; cela en seulement sept mois d’étude (Voir in fine en bibliographie, « La poule aux œufs d’or… », p. 64, 96 et 150 à 152, et « Overdose de vaccins et voyoucratie… », p. 47, 78 à 79 et 136 ; Éditions de l’Observatoire du Mensonge).
De fait, le chercheur Laurent Toubiana cherchait à obtenir depuis une année la lecture chiffrée de cette situation méconnue car tenue au secret, dans le cadre de l’étude SurViVax emmenée par le SCEPID (Système complexes & épidémiologie) susvisé. Autant les chercheurs que les citoyens lambda, ont le droit de s’interroger sur la réalité desdits vaccins administrés à grande échelle, tels des rats de laboratoire, alors que les principes de précautions élémentaires furent recelés de façon suspecte. Plus étonnant encore, les seules études disponibles relatives à la prétendue efficacité de ces vaccins ne sont accessibles que par le couloir des laboratoires pharmaceutiques qui les ont produites. Il fut même annoncé dès le lancement des premiers vaccins, une efficacité voisinant 95 % contre la maladie, ainsi que l’éradication de la contagion.
En l’occurrence, privé de toute validation indépendante commandée par les autorités sanitaires, ce marché révèle un conflit d’intérêt entre lesdits laboratoires et le pouvoir politique. Il en ressort que les états d’urgence sanitaire, les confinements et les couvre-feu mis en place sur deux années de crise n’ont eu pour seul effet, à défaut d’avoir été préventifs et efficaces, que de permettre une montée en puissance de la psychose ; un climat propice à ce que peu de Français s’interrogent sur l’efficacité d’une providentielle thérapie, cependant, dès les premières semaines de l’injection ne s’avérant pas même prophylactique. Plus grave encore, l’importance des effets indésirables directement causés depuis le lancement des campagnes de vaccination, vagues après vagues, variants après variants, ne furent que des prétextes anxiogènes qui masquèrent le nombre hallucinant de ruptures du système immunitaire, d’où l’apparition de maladies opportunistes, sur des personnes vaccinées à force de rappels itératifs et rapprochés de ces vaccins de tous les dangers. Jamais vaccin ne fut aussi dangereux et létal, alors que beaucoup d’autres sont tellement nécessaires.
La CADA, fut le fruit d’une législation d’importance majeure en matière de droit à la communication. Elle porte diverses mesures d’amélioration des relations entre les pouvoirs publics et les administrés, entre autres dispositions d’ordre administratif, social et fiscal. Cette loi a précisément pour mission de permettre l’accès des citoyens aux documents produits par l’administration et sur lesquels l’État et les collectivités territoriales fondent leurs politiques publiques. Or, la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 fut abrogée, mais remplacée, à compter du 1er janvier 2016, par le code des relations entre le public et l’administration. En tout état de cause, Dès qu’un document est produit par l’État, tous les citoyens, constitués en personne physique ou morale, chercheur ou indépendant, ont le droit d’en obtenir copie pour se saisir de la question.
À titre d’exemple en Europe, l’Office for National Statistics britannique livre des statistiques sur les décès, toutes causes confondues, selon le statut vaccinal des sujets du Royaume, cela sans qu’une demande soit déposée. Ce modèle de l’UK laisse pantois au regard d’une prétendue démocratie comme la France, qui autorise un chef d’État et son staff à observer un silence complice autour de données sensibles, d’ailleurs interdites d’accès, pour continuer à opérer dans le secret des décisions du noyau dur politique, quel qu’en soit le résultat. Le dépôt de la demande auprès de la CADA, le 19 février 2022, fut rendu sous la forme pétitionnaire (e-petitions du Sénat). L’objet réclamait que soit intégré dans les travaux à venir de l’Office, une analyse de la mortalité toutes causes confondues en France, dans l’intervalle 2020 à 2021, en fonction du statut vaccinal des personnes.
La pétition exprimait principalement ceci : « Nous observons une surmortalité anormale concomitante aux campagnes de vaccination (…). Cette observation faite en France est aussi observable au niveau des pays d’Europe (…). Les éléments statistiques inquiétants (relevés) rendent nécessaire une étude de la mortalité toutes causes confondues post-injection par des chercheurs indépendants ». En attente de validation technique, elle fut au résultat rejetée par les présidents de la Conférence du palais du Luxembourg. Cet échec au droit à l’information légitime et républicaine, donna naissance à un nouvel assaut sous forme de tribune signée par 600 chercheurs, universitaires, médecins et professionnels du droit (V. p. 95/96, « L’idéologie néfaste du Président-Macron »), afin de recentrer le sujet dans un cadre de légitimité démocratique. Le texte, par suite augmenté de 33 000 signatures, est ici rapporté :
« Cette analyse des décès toutes causes confondues est cruciale au regard de l’objet de cette commission d’enquête. Or, la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions reçues a refusé cette demande de transparence sur les données, et l’a fait de surcroît sans en donner aucune justification. La motivation des décisions administratives constitue pourtant une obligation légale traduisant un droit essentiel des citoyens et une forme de protection contre l’arbitraire du pouvoir politique. C’est une exigence démocratique évidente. C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de santé et professionnels du droit, demandons d’urgence au Sénat de reconsidérer sa décision et d’assurer sur ce sujet la transparence totale sans laquelle il ne peut pas prétendre “répondre aux inquiétudes” des citoyens de ce pays comme il s’y est engagé ».
Après le silence méprisant, autant qu’embarrassé, du ministère de la Santé à l’égard de la requête du Dr Laurent Toubiana, la CADA est à son tour restée silencieuse pendant le délai d’un mois prévu par les textes pour statuer sur les demandes qui lui sont soumises. Ce délai n’a rien d’impératif, selon l’avis du Conseil d’État, puisque la CADA ne rend qu’un avis non obligatoire, quoiqu’une réponse, elle impérative. Notons cependant que ce délai ne diffère que très exceptionnellement sa réponse. Puis, contre toute attente, le 1er novembre dernier, soit plus de deux mois après le dépôt de la demande, la CADA a fait parvenir au requérant une réponse lapidaire, car étayée par aucune enquête ni statistique. Nous devinons la réaction du ministre de tutelle après avoir été informé par la CADA de cette demande incommodante, à savoir que les documents demandés n’existent pas !
La jurisprudence administrative appuie clairement cette obligation à la CADA, laquelle n’est pas l’autorité qui produit des informations, mais celle qui les communiquent conformément à l’esprit qui préside dans une démocratie : « La circonstance que l’administration sollicitée ne soit pas l’auteur des documents demandés ne saurait faire obstacle à son obligation de les communiquer, dès lors qu’ils répondent, compte tenu de leur lien avec ses missions de service public, à la définition de document administratif » (Conseil d’État, 27 mai 2005, n° 268564) ; puis encore, « Si les documents demandés par le requérant n’existent pas en l’état, il appartient à l’administration de réunir les éléments nécessaires par simple extraction des bases de données dont il dispose, cela ne pouvant pas faire peser sur lui une charge de travail déraisonnable » (Conseil d’État, 13 nov. 2020, n° 432832).
La Direction de la recherche et des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) réalisa différents travaux pour améliorer les appariements entre les bases d’étude, dont le contenu révèle que les tests n’offrent pas de résultats probants, ce qui amena les autorités médicales, pour ne pas prendre le risque de se fourvoyer avec la politique vaccinale, de surestimer les tests positifs chez les non-vaccinés. De sorte que la Drees dispose de tous les moyens pour apparier la base VAC-SI avec le fichier des personnes décédées, dont les données sont alors rendues publiques en ligne. Disposant de tous les fichiers pour répertorier les personnes vaccinées, le groupement Epi-Phare Covid indiqua son intention d’étudier cette mortalité toutes causes confondues (Diaporama de la réunion d’experts du 20 mai 2021). Alors, pourquoi cette initiative annoncée n’a pas abouti… sinon qu’une fois encore la camarilla de l’État-Macron aura opposé son véto pour entretenir l’omertà !
Alors que nombre d’instituts et de laboratoires de veille sanitaire et de contrôle des médicaments dans le monde, attestent des mortalités de maladies consécutives aux vaccins Covid, l’Exécutif français persiste à affirmer que personne ne meurt dudit vaccin. Tel le syndrome du nuage de Tchernobyl, un tel vaccin à vecteur adénovirus ou à vecteur génique avec leurs nombreux rappels abat le système immunitaire d’un Allemand, d’un Anglais, d’un Portugais ou d’un Américain, mais s’arrête bizarrement aux frontières de l’Hexagone. Ô paradoxe, les Français vaccinés, sous l’auspice du mensonge d’État, s’en sortiraient tous miraculeusement indemnes !
Quand un ministre ou un Président annonce aux médias des milliers de morts par Covid en France, sans se préoccupé de discerner ceux qui meurent du virus ou du vaccin, en prétendant que mourir du vaccin serait lié à une comorbidité, mais que mourir du Coronavirus c’est fatalement mourir du virus, puisque dans ce cas il n’existerait aucune comorbidité inscrite sur le certificat de décès, c’est faire acte de mauvaise foi ou d’ignorance, voire une insulte à l’intelligence des citoyens, médecins et autres scientifiques qui ont déposé cette requête légitime à la CADA. Certains médias donnèrent la parole à Laurent Toubiana en avril 2020, et le rangèrent parmi les iconoclaste qui portent une voix discordante dans un discours majoritaire, certes largement influencé par la propagande et le mensonge d’un oligarque et sa tribu de génuflecteurs.
Pour terminer cette analyse, le Parlement est secoué par l’affreux dilemme : « Faut-il réintégrer les personnels soignants non vaccinés, après que l’État-Macron les ait expulsés comme des pestiférés, licenciés sans indemnité » ? De nombreux pays n’ont jamais exclu, licencié et placé dos à dos leurs concitoyens ; mais la France si ! Alors pourquoi les représentants du Peuple ont-ils soutenu pareille injustice et inepsie, provoqué l’indignation en souscrivant à la discrimination comme un retour à la seconde Guerre mondiale sous l’empire des nazis de triste mémoire ? C’est alors que veule et pathétique, le Président Macron s’est exclu du débat pour fuir ses responsabilités, en évoquant que « Cette décision n’était pas du ressort politique mais scientifique ».
Or, cette odieuse loi de ségrégation et d’oppression avec le pass-sanitaire de fin juillet 2021, dont elle porte la signature incontestable et appuyée du chef d’État, était déjà une décision politique, puisque tous savaient alors que la contamination était autant du fait des vaccinés que des non-vaccinés. Alors pourquoi faire appel à une énième commission scientifique pour décider de clore cette infamante erreur et entêtement, de peur devoir explicitement admettre son incompétence et son irresponsabilité présidentielle ? Pourquoi ne pas tout simplement désigner le coupable depuis le perron de l’Élysée, et non pas seulement le responsable, pour avoir placé la vie d’autrui en danger, sinon d’évoquer un crime contre l’humanité ?
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Et que dire du Conseil de défense qui autorise un président dans une démocratie à gouverner sans aucune consultation avec les élus ? C’est une dictature rien de moins.
Je pense que Macron a joué finement le coup et s’est servi de la crise liée au virus pour se faire réélire sans même faire campagne. Il a eu aussi la chance d’avoir en face de lui de vrais caves, comme les appelait Audiard. Comme là Macron est en perte absolue de bonnes opinions, il va nous ressortir le masque et le reste pour maintenir la population dans une peur chronique.
Cet article c’est du lourd, bravo pour l’avoir publié ici. Tandis que Macron poursuit ses mensonges et son baratin.
Quand le représentant d’un pays est un félon, il est tout naturel que le système dudit pays soit la ” Félonie” , et lorsqu’il manipule en ” Félonie” , c’est tout naturellement avec l’aide de des collaborateurs soumis à son système de pensée.
En conséquence, ils ne peuvent dire que des mensonges, et s’il leur arrive de penser, ils pensent sincèrement que c’est se tromper en disant quelque chose de faux, de même suite, c’est peut-être dire quelque chose de vrai , mais sans le savoir.
Un félon peut être un homme politique qui a quitté son parti, par exemple, dit socialiste, pour s’inscrire à un autre, le sien, en l’occurrence, qu’il fonde pour
” propager” une seule pensée unique : la sienne .
En revanche, un converti est un homme politique qui quitte son parti pour s’inscrire au sien , par exemple, au hasard, nous pouvons citer : Bruno et beaucoup d’autres, mais la liste est trop longue pour l’établir, ici même, et tous ces systèmes sont légaux… pour manipuler les peuples..