66. C’est le pourcentage des Rennais qui recherchent actuellement un logement hors de la capitale bretonne : énorme !!!
Par Marie-Camille Le Conte
Rennes : les habitants veulent quitter la ville. Mais pourquoi cet exode ?
66. C’est le pourcentage des Rennais qui recherchent actuellement un logement hors de la capitale bretonne, selon une récente étude du site immobilier Meilleurs agents. Un chiffre important, et en nette augmentation par rapport à l’année 2019 où cette recherche concernait déjà 55 % des habitants. « 11 % de plus en quelques années, c’est assez impressionnant », reconnaît Alexandra Verlhiac, économiste chez Meilleurs agents, auprès du Télégramme.
« Ça peut s’expliquer en partie par le fait que Rennes est l’une des villes qui a connu la plus forte augmentation des prix de l’immobilier. Certains ménages ont beaucoup perdu en pouvoir d’achat immobilier », précise Alexandra Verlhiac. De son côté, le quotidien recense « l’envie de vivre dans un environnement plus calme, la recherche d’un environnement moins pollué et la perspective de gagner en espace ». Joint par BV, Gérard de Mellon, conseiller régional (RN) de Bretagne, confirme : « Indiscutablement, les gens partent en partie de Rennes pour les prix de l’immobilier et vont dans l’immédiate périphérie. » Mais pour le conseiller, ce n’est pas l’unique raison. Le mouvement est lié, selon lui, « à la pression des immigrés qui augmentent considérablement et entrent en force dans les HLM de la ville de Rennes, chassant ceux qui ne veulent pas les côtoyer ». « Il y a une forte poussée migratoire à Rennes, poursuit-il. Tout le monde le sait. Cet exode est le résultat de la politique très laxiste de Madame Appéré [maire de Rennes, NDLR]. »
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Chez les jeunes, le constat est assez similaire. « Rennes n’est pas une ville agréable à vivre, abonde Pauline*, les habitants veulent partir car on ne se sent pas en sécurité. Il y a trop de gens désœuvrés qui traînent dans les rues. » La jeune fille, étudiante à la fac de Rennes 2 au début de l’année, a quitté la ville au bout de cinq mois. Une courte période durant laquelle elle a pu sentir un climat bien peu sérénisant : « Le mardi soir, je terminais les cours vers 19 h. Je n’aimais vraiment pas ce jour-là car j’étais angoissée de rentrer alors que la nuit était déjà tombée. » « L’une de mes amies, rentrée très tard chez elle, a quant à elle été agressée par deux hommes qui ont tenté de l’étrangler. Heureusement, un voisin est intervenu et les individus ont pris la fuite », poursuit Pauline. Même son de cloche du côté de Luc*, en master à Rennes. Le jeune homme témoigne du même climat d’insécurité et raconte que, pour sa part, il évite les transports en commun. Si Luc n’est pas prêt à abandonner ses études, beaucoup autour de lui réfléchissent à quitter la ville.
Les dernières actualités de la ville de Rennes corroborent largement ces témoignages. Le 28 mars, des coups de feu éclataient dans le quartier de Maurepas, à quelques minutes du centre-ville. Peu de temps après, deux hommes succombaient sous les balles d’un pistolet-mitrailleur. La piste du règlement de comptes sur fond de trafic de drogue est envisagée. Le 17 décembre dernier, 27 impacts de balle étaient relevés dans un hall d’immeuble du quartier de la Bellangerais. En novembre, un homme de 54 ans était poignardé à plusieurs reprises pour avoir voulu faire partir des dealers qui traînaient devant chez lui.
Ironie du sort, Rennes se hissait justement, fin février, à la troisième place du podium des communes de plus de 100.000 habitants où il fait bon vivre en France. Un score qui interroge sur la qualité de la vie dans les autres grandes villes françaises…
* Les prénoms ont été modifiés
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Boulevard Voltaire
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Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur et en aucun cas Observatoire du MENSONGE
Note de la rédaction :
Thierry Tuot, né le 2 septembre 1961 à Mantes-la-Jolie, est un haut fonctionnaire français.
Ce conseiller d’État, spécialiste notamment de l’immigration, a émis sur ce thème plusieurs ouvrages ou rapports, certains argumentant sur les bienfaits de l’immigration et des mélanges de population,…
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Eu égard à la récente aggravation de la situation démographique en France, laquelle compte déjà à ce jour, plus de 70 millions d’habitants , je souhaiterai prévenir d’ un ” basculement ” de population imminente dans notre Pays qui ne s’appellera plus : FRANCE, si notre politique d’immigration ne change pas avant 2025.
Ainsi, selon les chiffres relevés sur les Tableaux établis sur les sites officiels de nos Institutions françaises au sujet des Demandes d’Asile en 2022 , nous apprenons que l’évaluation est la suivante :
Afghanistan….. + 40, 1 %
Bangladesh….. + 69, 4 %
Turquie ………. + 100, 1 %
Géorgie ……… + 93, 3 %
République Démocratique du Congo :+ 143, 5 %
Guinée……… + 17, 4 %
Côte d’ Ivoire …. – 6, 1 %
Albanie ………………… + 15, 4 %
Pakistan ………. .+ 0, 7 %
Nigeria…. + 12, 7 %
Les Ukrainiens ne sont pas répertoriés, ils sont un cas particulier .
Ce qu’il convient de retenir , c’est l’accroissement régulier , chaque année, de demandeurs d’asiles pour venir vivre en France. Depuis longtemps , le chiffre moyen , par comparaison aux chiffres de l’année précédente s’élève à + 17, 1 % .
Mathématiquement , à ce rythme, nous compterons , avant 2030, plus de 52 % d’ ex demandeurs d’asile venus s’établir en France , que de Françaises et de Français ,de souche, sur l’ensemble de notre territoire national, à moins que la France ne s’appelle plus : ” France “…
Si cela est une chance pour la France, à vous de décider…
A bon entendeur …
[…] Rennes : les habitants veulent quitter la ville. Mais pourquoi cet exode ? […]
Et quand les habitants de Rennes veulent quitter Rennes… que ceux de Nantes aussi… que ceux de Bordeaux également… que ceux de Marseille tout autant ; on peut alors penser au coût des loyers, mais aussi, s’il n’était pas interdit d’en parler, d’autres raisons plus dérangeantes, mais qui dérangent plutôt les malheureux qui vivent dans des quartiers dits pudiquement sensibles et qui sont obligés eux de subir les us et coutumes de populations bruyantes qui refusent de s’intégrer malgré les efforts, parfois louables, des municipalités. La vraie question est : où iront-ils demain ? Il n’y aura plus de mère-patrie pour les recevoir comme en 1962 !
Les sondages sont largement un sujet à caution. On leur fait dire ce que l’on veut en fonction des besoins et du moment :
“les hommes politiques se servent des sondages comme les ivrognes des réverbères, non pour s y éclairer mais pour s y appuyer…”
La fuite n’est pas, n’a jamais été la solution, car le problème se reproduira ailleurs.La campagne française commence à être touchée par cette violence issue d’une trop forte immigration et de la haine que voue une religion aux autres. Déjà Rennes, mais aussi Nantes, Bordeaux, Nice, Lille, Montpellier, Lyon, évidemment Marseille et bien sûr Paris connaissent les joies du bien vivre ensemble.
La gauche de Mélenchon à Macron et affiliés fait tout pour que les migrants accourent en France et ne fait rien pour les Français : cherchez l’erreur !
Quitter sa ville à cause des migrants, c’est leur céder la place. C’est de cette façon donc, que débute le grand remplacement. 66% de départ = 66% de migrants supplémentaires qui viendront remplir le vide laissé. Impressionnant de voir que les français sont prêts à abandonner leur propre pays plutôt que de faire face. Tous les vendeurs de corones de France ont fermé boutique.
Vous avez totalement raison de souligner que c’est ainsi que se produit le grand remplacement et que ces tordus de journalistes et de politicards peuvent ensuite le justifier pour raisons économiques.
Le Devoir de Vérité qui est aussi le vôtre, Marie Camille Le Conte , vous honore.
En effet, dans votre article , nous apprenons, entre autre, qu’une femme rentrée tard la nuit a été agressée par deux hommes qui ont tenté de l’étrangler, et combien d’autres crimes ou tentatives restées impunies , à ce jour, depuis moult années ?
Le laxisme perpétuel et récurent de l’ensemble de tous nos élus dirigeants politiques doit être mis en cause, et devra être condamné , ceci, lorsque le peuple se sera libéré de cette engeance gouvernante , j’ai travaillé auprès du Président Charles de GAULLE et , souvent je repense à ces belles années où la France et les Françaises et Français étaient respectées et protégées .
J’espère que celles et ceux qui aiment vraiment la France, verront la “balance” pencher en leur faveur , et que Tous les Justes du Monde se libéreront bientôt de toute cette chienlit.
Peut-être , est-ce un vœu pieu, mais c’est mon crédo et celui de millions de Françaises et Français qui ont peur , mais viendra bien le jour, où excédés de cette engeance qui pourrit leurs vies , et les tue à petit feu , sûrement, ils pourront retrouver leur joie de vivre en France.