III – La quadrature du cercle : une diagonale impraticable depuis le SARS-CoV-2 aux vaccins anti-Covid sans en passer par une rechute parfois fatale

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Réquisitoire contre le vaccin Covid

Par Daniel Desurvire

Troisième partie

III – La quadrature du cercle : une diagonale impraticable depuis le SARS-CoV-2 aux vaccins anti-Covid sans en passer par une rechute parfois fatale

Ces NAb génèrent une réponse humorale du système immunitaire adaptatif contre les virus, bactéries, spores ou toxines microbiennes. En se coagulant aux structures externes (l’antigène d’une particule infectieuse), les NAb empêchent ladite particule d’entrer en contact avec les cellules hôtes. Observons-là le phénomène d’une immunité préventive naturelle, car c’est avant l’infection que ces anticorps éliminent habituellement la particule indésirable. Mais en neutralisant par avance cette capacité sous l’effet d’une multiplicité de rappels, pour soi-disant booster le premier vaccin, ainsi l’objectif annoncé de cette série de vaccinations, ce processus pervers revient à amoindrir la potentialité active de ces anticorps neutralisants. Ces derniers finissent par perdre le Nord et/ou la mémoire, et ne plus savoir reconnaître l’importun entre le virus et son clone vaccinal maintes fois dupliqué, mais avec une arborescence génomique toutefois futilement différenciée.

Les anticorps, qui ont pour fonction de combattre ce qu’ils ne reconnaissent pas – tels des intrus donc des ennemis – disposent de deux fonctions interposées ; l’immunité à médiation humorale ou adaptative, et l’immunité cellulaire, innée ou acquise (activation des lymphocytes B et T). Si les anticorps se classent en cinq groupes, l’IgG constitue ± 80 % des protéines plasmatiques, puis les IgM, IgA, IgD et IgE sont de neutre à actif voire négatif. Cet enchevêtrement de caractères innés ou acquis, de conformation moléculaire et de combinaisons structurelles de ces antigènes, rend d’autant plus amphigourique leur prédestination pour une compréhension cohérente, sinon de signature Adn/Arn lisible.

Du côté des vaccins, ceux-là ciblent trois sortes d’anticorps, les neutres qui sont sans effets, les neutralisants vus comme les bons qui se fixent sur la protéine Spike et sont censée annihiler l’infection, et les facilitants dont l’action serait plutôt dommageable, dès lors qu’un équilibre est rompu. Cette immunité-là est le produit d’anticorps innés qui ne conservent qu’une mémoire éphémère de l’agresseur, alors que l’immunité adaptative à médiation cellulaire (lymphocyte T) garde longtemps le souvenir des agents infectants, depuis le sanctuaire mémoriel de la moelle osseuse. Reste que le vaccin n’est pas un antidote ni une thérapie génique quoique s’y rapportant, et que sa fonction procède comme un transmetteur de mémoire encodée pour les vaccins géniques (Arn m), et induite pour les vaccins à vecteur viral ; des adénovirus infectant, par transduction ou transfection d’Adn.

La Covid-19 étant un patchwork viral fabriqué en laboratoire, dont le génome inclut différents gènes comme le VIH, cette Corona aura hérité d’un atavisme lié au virus du Sida qui infecte les cellules hôtes, tout en modifiant en permanence son Adn pour échapper à la réponse immunitaire et résister aux posologies chimiques. Ce mécanisme, dommageable pour les cellules saines, est répliqué par l’action répétitive et fréquente de vaccins. De fait, l’articulation entre le système immunitaire et l’action de vaccins surabondants désorganise les fonctions naturelles des anticorps neutralisants, lesquels se voient dépossédés de leur capacité à désactiver le virus avant que cet agent viral n’atteigne la cellule cible. Voyons-là une annihilation vaccinale du système immunitaire.

C’est précisément ces neutralisants qui s’affolent et rompent avec le sens du discernement, tandis que les anticorps facilitants se multiplient de façon confuse, tout en s’attaquant à des organes sains. Quand le vaccin se substitue aux anticorps naturels, ne soyons pas surpris d’un affaiblissement de ces derniers dès lors qu’ils sont remisés au placard. Cependant, l’effet post-vaccinal ne saurait être confondu au pragmatisme de plusieurs millions d’années du système immunitaire des mammifères, dont les humains ont hérité. Encore que, si la bêtise des politiques et la cupidité des firmes industrielles et financières n’avaient pas poussé les chercheurs et médecins à multiplier les rappels, il est fort probable que la première dose aurait suffi, et n’aurait pas engendré autant de problèmes.

Entre la souche virale issue de Wuhan, la Covid-19 initiale, et les multiples mutations nées de cet agent infectieux, les vaccins à Arn m ou à adénovirus, font produire aux cellules de la protéine Spike que les anticorps finissent par ne plus reconnaître au fil des variants et des sous-variants, puis encore de bien d’autres parades pour survivre qu’opposent ces virus intelligents. Rappelons qu’il y eut des centaines de mutations infimes de Covid depuis fin 2019, parmi lesquelles furent distingués des hybrides. Sur ces avatars, les laboratoires procèdent à des bricolages vaccinaux hasardeux, une fois encore, précipitamment distribués et injectés sur le marché mondial des pays industrialisés, accélérant ainsi les profits des uns et des autres.

En bout de chaîne, les victimes piquées qui n’y entendent rien, quant au fonctionnement de cette maladie relayée par des vaccins rapidement obsolètes, mais elles s’abandonnent avec une confiance inconsidérée au système censé les protéger. Mal leur en prend, car leur système immunitaire, ainsi désorganisé par la succession de vaccins se neutralise lui-même, et une dérive des anticorps, entre neutralisants et facilitants, se mue en conflit dans ce système inné, pourtant d’une grande plasticité. De sorte qu’à vouloir produire des anticorps neutralisants de façon excessive et itérative, l’action vaccinale, bâclée tout au long de cette séquence covidienne, aboutit à désorganiser lesdits anticorps qui ne reconnaissent plus rien, ou ne distinguent pas l’antigène de l’intrus infectant, d’où une réponse auto-immune acquise.

Ce chaos provoqué profite aux anticorps facilitants pour gagner en puissance dans l’immunité cellulaire adaptative ainsi corrompue. Voilà pourquoi il peut se développer dans l’organisme d’une personne saine, voire à l’origine asymptomatique au virus, à qui l’on injecte le produit d’un vaccin anti-Covid. En introduisant la mémoire de lésions réplicatives sous forme d’avatars, ce vacciné hérite de cette désorganisation immunitaire, dont pourtant l’organisme savait précédemment s’en défendre. Les anticorps facilitants, auxquels ces vaccins répétitifs ouvrent un boulevard, s’attaquent aux constituants normaux, déclenchant des pathologies infectieuses (auto-immunes) ou inflammatoires (hyperactivité immunitaire).

C’est alors que les antigènes, après les rappels de vaccins, ne produisent plus d’anticorps adaptés aux mutations du virus, laissant l’organisme vacciné, à la faveur de son immunité adaptative, moins résistant que celui d’une personne non vaccinée, donc vulnérable aux attaques pathogènes de cet agent infectant. Il en résulte que les vaccins, dédiés contre le SARS-CoV-2 dans sa conformation primitive à Wuhan RDC, mais aujourd’hui disparu sous sa forme initiale, pose des problèmes d’efficacité et d’innocuité, quant à son évolution générique qui s’est développée de façon anarchique au fil des vaccins ; véritables pépinières de réplications mutantes du virus (lesdits variants). Ici, nous entrons dans le processus pervers de l’Antibody-dependant-enhancement (ADE). Il s’agit d’une facilitation de l’infection du fait de la prise de contrôle des anticorps facilitants ainsi vu plus haut.

Pire encore, car la toxicité inférée par la protéine Spike vaccinale ne s’arrête pas là. D’un point de vue médical, lorsqu’un vaccin devient potentiellement dangereux, et que les rappels accentuent davantage les pathologies répertoriées en milieu hospitaliers, il doit immédiatement être suspendu, voire définitivement abandonné. Plus encore, des enquêtes et des procédures judiciaires devraient être engagées sans délais. Or c’est le silence qui préside au sein même des démocraties, où les médias se font les boucliers des responsables politiques qui les enferment sous le couvercle comminatoire de la fiscalité. Ainsi que le constate le Professeur Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie, « Nous voyons énormément d’effets secondaires à très court termes, avec des myocardites, des péricardites, des syndromes de Guillain-Barré ». Il faudrait encore ajouter à cette liste le lupus érythémateux systémique, la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde principalement, outre des cellules cancéreuses dormantes ainsi réactivées.

D’autres lésions, de graves jusqu’à mortelles, sont observées avec plus de fréquences au rythme accéléré des vaccins. Cette folie vaccinale provoque moult pathologies, de spontanées à tardives, tels des thromboses, thrombocytopénies, des coagulopathies, ainsi que des diabètes, de l’hémophilie acquise, des thyroïdites de Hashimoto, des sclérodermies, des accidents vasculaires cérébraux (AVC) et d’autres maladies auto-immunes acquises. Une rupture cardio-vasculaire est concevable par suite d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë après une telle vaccination non respectueuse des délais de conception (principe de précaution) et répétitive. Enfin, l’apoptose, c’est l’autodestruction des mitochondries depuis le matériel cellulaire, sinon une réponse en guise de fragmentation du matériel génétique à une attaque qui pourrait être virale ou consécutivement vaccinale.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


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Sommaire

I – La communication, versus le garde-chiourme médiatique du pouvoir dominant

II – Quand les risques de mortalité par les vaccins anti-Covid, par la répétition en rappels d’injections, deviennent plus élevés que ceux induits par le virus lui-même !

III – La quadrature du cercle : une diagonale impraticable depuis le SARS-CoV-2 aux vaccins anti-Covid sans en passer par une rechute parfois fatale

IV – Dès lors que le politique prend le pas sur le médical, le profit prend la place de la santé

V – Mais qu’en est-il des vaccins anti-Covid, des pathologies qui en résultent, et pour quel virus ?

VI – Ne pas vouloir reconnaître et ne rien faire, voilà bien une figure captive des esprits abouliques

VII – L’ignorance, berceau d’un irrésistible déclin où profitent ceux qui l’entretienne

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6 thoughts on “Réquisitoire contre le vaccin Covid 3”
  1. Votre article est loin d’être rassurant et me conforte dans ma volonté de ne pas me faire vacciner et tant pis pour certains plaisirs.

  2. Effectivement, on ne peut qu’être inquiet face à ces vaccins à répétion, alors qu’il ya chaque jour 300 morts de plus.

  3. Ne trouvez-vous pas bizarre que depuis quelques jours, le gouvernement ne donne quasiment plus aucune statistique sur le virus ? Serait-ce parce que Macron va enfin se présenter ?

    1. Parce que les conséquences pathologiques, voire létales des vaccins Covid, sont en voie de rattraper le nombre de malades et de décès provoqués par les vaccins Covid. Un nombre considérable de personnes ayant reçu un rappel souffre de maladies auto-immunes passé les quinze premiers jours de la dernière vaccination.
      EudraVigilance (European Medecines Agency) annonça, entre début janvier 2021 et fin juillet 2021, 20 525 décès constatés en milieu hospitalier dans l’Union européenne par suite de ces vaccins dits anti-Covid, et 1 960 607 personnes, dans ce même intervalle, furent déclarées gravement malades par suite de ces rappels qui corrompent le système immunitaire et provoquent des lésions parfois irréversibles. Ces chiffres sont a minima, car ces atteintes pathologiques induites par les flots ininterrompus d’une sérothérapie aveugle, sont largement sous-évalués. À défaut d’une vraie collecte de renseignement statistiques et d’études cliniques bénéficiant d’un recul nécessaire à leur appréhension, mais aussi en regard d’une volonté manifeste du pouvoir politique de reconnaître une réalité qui dérange des objectifs inavouables. Cette lugubre intrigue laisse deviner la forfaiture d’un chef d’État coupable de mystification et de trahison envers son peuple ; mais aussi de mise en danger de la vie d’autrui, voire faire l’objet d’une procédure pour crime contre l’humanité pour avoir obligé les citoyens à servir de cobaye avec des vaccins exploratoires non randomisés, donc potentiellement dangereux. Quant à savoir si cet individu se présentera ou pas, la véritable question est de savoir s’il existe encore beaucoup de Français qui persistent à lui faire confiance. Merci de votre intérêt et de la pertinence de votre question,Daniel Desurvire.

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