IV – Dès lors que le politique prend le pas sur le médical, le profit prend la place de la santé
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Réquisitoire contre le vaccin Covid
Par Daniel Desurvire
Quatrième partie
IV – Dès lors que le politique prend le pas sur le médical, le profit prend la place de la santé
Doit-on évoquer un suicide physiologique ou, dans une réalité qui nous échappe, voire une guerre bactériologique – vue sous l’angle anamorphosé d’un scénario alternatif – pour répondre à la démographie galopante de l’humanité, les problèmes liés à la malnutrition, voire à la famine dans les PMA et des pollutions anthropiques qui en découlent ? N’aperçoit-on pas en filigrane des objectifs concordants avec le « Global Redesign » ; une refonte de l’humanité annoncée sous les auspices de la secte mondialiste WEF, un État dans l’État mais sans attache nationale, qui entend imposer son graal dans tous les domaines, depuis l’économie aux finances en passant par la santé, l’environnement et le destin du monde ?
Cette conspiration, à peine voilée, se retrouve dans l’ouvrage phare du fondateur du symposium de Klaus Schwab, auteur du livre intitulé The Great Reset en 2020. N’est-ce pas l’homme qui fabrique ces virus, dont celui-là parmi d’autres, principalement en Chine ? N’est-ce pas encore l’homme qui concocte les vaccins dédiés dans le reste du monde pour faire semblant de les combattre, ainsi la Covid qui semble profiter au Big Pharma, avec des vaccins pour prospérer ? Les maîtres du monde, ceux qui se situent au-dessus du commun des mortels à la tête d’industries et de banques multinationales, lesquels s’adjoignent les services de chefs d’État sans âme ni honneur, sont les vrais décideurs en ce monde. Le Forum de Davos en concentre l’essentiel, entre mondialistes et ploutocrates qui se font les marionnettistes géopolitiques de la planète.
En tout état de cause, cette gabegie vaccinale semble ne devoir jamais s’arrêter, voire les intervalles d’injections se réduire au rythme effréné des profits et des gratifications qui génèrent cette dilapidation de l’argent public. Sans aucun résultat prophylactique ni de pose, cette pandémie ainsi entretenue par le canal des seringues qui diffusent ce poison – le commerce de ces remèdes ainsi présentés – se ressource au rythme des mutations provoquées par lesdits vaccins, lesquels accélèrent la propagation du virus qui lutte pour survivre dans une danse infernale. Plus les mutations s’accélèrent au rythme des injections, plus la contagion se répand en dépit des mesures politiques censées éradiquer la maladie, lesquelles ne font qu’abattre le pays autant que le ferait une conflagration. A contrario, plus le virus s’affaiblit après chacune de ses mutations, plus l’immunité contre la Covid serait retrouvée si nous laissions la nature faire son travail, sans intervenir avec de stériles vaccins.
Selon l’apophtegme d’un nutritionniste américain, Docteur en médecine Josh Axe, « plus on aseptise, plus on fragilise », le système immunitaire des mammifères a besoin de lutter pour se renforcer et conserver la forme. Autrement dit, les anticorps ont une nécessité naturelle d’être boostés, selon une étude approfondie, dont la thèse parut dans la revue médicale Clinical & Experimental Allery. La prévenance médicale et antiseptique excessive fait baisser la garde à ce bouclier de lymphocytes B (système immunitaire à médiation humorale) pour neutraliser les agents pathogènes. Cependant, la force et l’expérience de Dame nature n’exclut pas l’intérêt des vaccins… mais pas à fortes doses, certes pas avec des injections trop fréquentes et dans l’ignorance exploratoire des effets funestes de tels élixirs expérimentaux concoctés par des apprentis-sorciers dans la marmite du Diable !
Ce pourquoi, plus nous vaccinons, plus nous excitons le virus qui cherchera constamment à se modifier et à se multiplier pour survivre dans ce type de guerre, ou il vaut mieux faire confiance à la résistance de notre nature métabolique qui a fait ses preuves depuis des temps immémoriaux ; davantage que pour cette chimio-biologie vaccinale dans une entropie concoctée par des bouilleurs de cru d’un genre nouveau, qui font flamber les cotations au Nazdaq. Mais avec une douzaine de vaccins, concoctés à la hâte à travers le monde, pour lutter contre un seul virus de souche et mutant, les pays développés ont largement dépassé les limites du raisonnable. Israël, qui en était déjà à sa troisième dose fin 2021 depuis le début de la pandémie, aurait enfin compris, par la voie de ses scientifiques, le cheminement prévisible de ce processus pervers, en annonçant l’abandon probable d’une quatrième dose. Reste néanmoins à transformer ce constat en politique, ce qui, au royaume de l’absurdie hexagonale n’est pas encore à l’ordre du jour !
De laisser les gens contracter le virus serait pourtant le meilleur remède à ce jour, car si la Covid, dans sa version initiale éteinte, ne produit plus que des chimères de moins en moins virulentes, elle continue cependant, via les vaccins, à générer des profits colossaux à tous ceux qui gravitent autour du Big Pharma et à ses actionnaires ; autant désigner les commanditaires politiques de ces doses vaccinales. Pour en finir avec cette mascarade qui coûte à la France des centaines de milliards, sans tenir compte de l’affaiblissement dramatique de l’économie, la ruine des outils de production, la vidange des finances publique et la ruée exponentielle vers Pôle Emploi, le premier obstacle à surmonter serait bien de mettre hors-jeu le dernier des rois maudits : Emmanuel Macron et sa cour de catéchumènes ahuris.
Que nenni, le pouvoir en place signe et persiste dans son ignorance et/ou sa corruption mentale, pour ne pas dire vénale et morale. La gestion du pays, sous la dague affutée de cette oligarchie, s’organise entre l’insécurité, la psychose, le chantage, la menace et l’appel à la division entre citoyens, pour piquer et re-repiquer les gens. Cette manipulation induit de véritables discordes dans les familles, entre amis et collègues. Pourtant, l’épidémie se propage davantage aujourd’hui entre personnes vaccinées, souvent ceux-là qui contaminent les non-vaccinés, car ces premiers sont devenus démographiquement majoritaires et d’un comportement moins prudent.
Les vaccins annoncés efficaces à plus de 90 %, dès leur sortie d’éprouvette des firmes laborantines aux chiffres d’affaire réunis supérieurs au PIB de la France, ne sont que des effets d’annonces non vérifiables, puisque sans recul, en l’absence de randomisation et d’AMM non trafiquées par des règlementations barbares (dont le décret n° 2020-1691 du 25 décembre 2020 qui par onze dérogations pulvérisa l’AMM). Inversement à ce jour, les Français peuvent constater autour d’eux que ces vaccins à répétition désagrègent le pare-feu des anticorps naturels, et cela ne relève pas d’un effet nocébo. Des personnes asymptomatiques au virus contracté une première fois, tombent réellement malades après la seconde injection, et parfois même à la première. Et s’il y a mort, le certificat de décès indiquera que la personne est décédée de la Covid.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire
I – La communication, versus le garde-chiourme médiatique du pouvoir dominant
II – Quand les risques de mortalité par les vaccins anti-Covid, par la répétition en rappels d’injections, deviennent plus élevés que ceux induits par le virus lui-même !
III – La quadrature du cercle : une diagonale impraticable depuis le SARS-CoV-2 aux vaccins anti-Covid sans en passer par une rechute parfois fatale
IV – Dès lors que le politique prend le pas sur le médical, le profit prend la place de la santé
V – Mais qu’en est-il des vaccins anti-Covid, des pathologies qui en résultent, et pour quel virus ?
VI – Ne pas vouloir reconnaître et ne rien faire, voilà bien une figure captive des esprits abouliques
VII – L’ignorance, berceau d’un irrésistible déclin où profitent ceux qui l’entretienne

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Les médias soutiennent Macron et se sont emparés de l’Ukraine afin que l’on ne parle plus des échecs de Macron, nombreux et inquiétants, même le virus est relégué au second plan, alors que sur le ministère de la Santé, les chiffres publiés sont inquiétants. Nous sommes en dictature au moins de la pensée. C’était pareil en URSS, RDA et autres pays communistes.
Excellent article documenté.
Merci Daniel DESURVIRE. Effectivement , Attendons nous au pire , si Louis XIV est réélu , nous reprendrons masques, seringues injections et pass -vaccinal, de ;là, disparition de nos libertés, effondrement de notre économie, nous allons vers le néant, pis encore…et cela sera sans retour, nous le disons, et l’écrivons sans cesse, au bout c’est la dictature du nouvel ordre mondial . DONC : ” VOTONS, VOTONS, VOTONS …TOUT SAUF LOUIS XIV !”
Voilà bien notre ennemi depuis toujours : le capitalisme pour qui tout se résume par des profits. La santé n’est qu’un accessoire, comme la guerre, pour faire ces profits.