Les incantations politiques de l’État-Macron, sous l’enseigne du « vivre ensemble », alimentent le terreau d’une idéologie barbare...
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 Si t’es pas Macron, t’es délit d’opinion !

Par Daniel Desurvire

Troisème et dernière partie

Il est déjà notoire que le bac sans mention ne vaut pas le certificat d’étude primaire d’antan (CEP), mais disposer d’une famille nombreuse atteste désormais de ce droit de professer, en dépit de toutes les qualités requises pour devenir professeur d’école ou de collège. Ne cherchons pas une loi pour expliquer cette chute des valeurs pédagogiques et du standard diplômant, puisque les faits ont pris le dessus sur l’état de droit qui demeure aphasique sur ce registre de l’Éducation nationale en perdition. Seuls les parents d’élèves français peuvent en juger, si tant est qu’ils puissent réellement discerner qui est qui et qui fait quoi. En effet, la désertification dans ce métier, eu égard à la radicalisation des élèves et aux pressions communautaristes des parents, profite à l’islam qui par ce biais vicié introduit un apostolat coranique, nonobstant interdit dans les écoles, collèges et lycées. La régression de l’enseignement et du savoir dans l’Éducation nationale se poursuit sur deux étages :

– par l’introduction dans les classes de réfugiés – et par âges de niveau – d’élèves primo-arrivants qui ne savent même pas s’exprimer dans la langue du pays, donc de savoir écrire le français, sinon de réciter le Coran (par méconnaissance de l’arabe),

– à cet analphabétisme s’y ajoutent les autres disciplines, dont certaines sont refusées sous la menace de fatwas par des parents d’élèves musulmans, eu égard à l’irresponsabilité de l’État qui participe au recrutement de personnes n’ayant aucune formation pédagogique, et encore moins abordé l’École normale pour comblerle manque d’enseignants qui désertent cette noble vocation.

Les incantations politiques de l’État-Macron, sous l’enseigne du « vivre ensemble », alimentent le terreau d’une idéologie barbare, comme ce fut le cas avec Samuel Paty qui fut assassiné le 16 octobre 2020 à Conflans-Sainte-Honorine, pour avoir évoqué en classe les valeurs laïques et la liberté d’expression.Par le fait que les enseignants ne peuvent ni respecter leur programme académique, sinon à devoir le bâcler, une montée en puissance des violences accentue la baisse des niveaux scolaires. L’irrespect, les incivilités et les joutes verbales des exaltés, dont on y trouve les enfants, les parents d’élèves, puis les bandes de dévoyés qui terrorisent les banlieues et distribuent de la drogue aux enfants à la sortie des cours, nourrissent la gangrène cultuelle qui se répand dans les viviers de la délinquance.

Ces grappes d’activistes exaltés en capuche rabattue s’alimentent directement depuis les établissements de l’Éducation nationale. Puis l’enrôlement des extrémistes, à l’aide des sergents-recruteurs de l’imanat local depuis les paliers d’appartements occupés par des fratries de polygynies, qui servent aussi d’arsenal, se poursuit dans les lieux de privation de liberté où les djihâdistes font légion. Les salles communes d’associations de locataires ainsi que les marchés couverts sont réquisitionnés pour les cinq prières rituelles le cul en l’air. Enfin, les caves des cités péri-urbaines regorgent de stupéfiants, d’armes automatiques et parfois même de roquettes. Puis le recèle de ce trafic se disperse dans la rue entre nébuleuses terroristes et loups solitaires, lesquels tôt ou tard passent à l’action.

Certes, ce ne sont ni les masques ni les vaccins qui vont régler cette situation, sinon l’accentuer du fait de l’entrave masquée sur la bouche pour la compréhension du langage, et les discordes discriminantes entre parents et enfants qui dégénèrent autour des vaccins. Pour les membres de l’Exécutif du pays ; les problèmes d’insécurité avec l’islam qui se répandent dans les écoles, les hôpitaux, les guichets des services publics, les prisons et dans les cités de non-droit investies par la seule communauté islamique, ne présentent que peu d’intérêt, voire sert leurs sinistres projets…. de déconstruction de la France et du nihilisme de sa culture (sic, Emmanuel Macron) ! Mais il importe davantage d’entretenir les collusions d’intérêts avec le Big Pharma et les commissions occultes qui en découlent. Pour ce faire, il devient impératif pour l’Exécutif de faire perdurer cette épidémie à coup de fausses nouvelles, d’affabulations et d’opération propagandistes les plus anxiogènes.

À ce jour, la Covid-19 a pris tellement de place dans l’actualité dirigée par la propagande d’un État-voyou, d’où les conversations professionnelles ou domestiques des citoyens anormalement phagocytés à l’endroit d’une épidémie portant sur le déclin, que la montée en puissance de l’insécurité physique sur le territoire français constellé de zombies inquiétants et imprévisibles, est devenue anecdotique. Pourtant, il s’agit ici d’un vrai problème de survie pour le pays miné par l’exode de réfugiés africains et moyen-orientaux quasiment tous de confession islamique. Ce terreau sans cesse fertilisé par les assauts migratoires est devenu un couvoir d’activistes mahométans qui rêvent d’installer un panislamisme khalifien sur toute l’Europe. Ne doit-on pas apercevoir la coïncidente déconstruction évoquée et souhaitée par Emmanuel Macron, d’où son refus d’accepter la culture française ?

Cette phobie issue des agressions et des attentats meurtriers n’est donc pas le fait d’une islamophobie française, mais bien le fruit pourri d’une politique migratoire irresponsable que fabrique la bien-pensance sociale-démocrate. Ici, le prétendu multiculturalisme a bon dos ! Ici encore avec la Covid, ce n’est pas un train qui peut en cacher un autre, mais un monstre de la taille de 9 nanomètres placé en exergue par le corps politique pour dissimuler une autre monstruosité, celle-là bien visible de 8 132 Musulmans fichés « S », recensés mi-août 2020 pour radicalisation en France (Source : Gérald Darmanin, DGSI, France 24, le 31 août 2020).

Comme il apparaît solennel d’afficher certains chiffres, des courbes et des indices pour gagner en sérieux devant un parterre de génuflecteurs, il sied de ne plus les informer lorsqu’il s’agit d’en analyser l’étiologie et les conséquences ! Telle est le profil électoraliste et propagandiste de l’État-Tartuffe du Président Emmanuel Macron, dès lors que cette gente d’archipatelins prétend vouloir servir ses électeurs, mais en ne s’adressant qu’à ceux qui n’entendent ni ne voient, donc acceptent puis soutiennent. Selon le Journal of the Royal Society Interface finlandais, applaudir et soutenir au milieu d’une foule sont des fonctions comportementales comparables à une maladie contagieuse ; un mimétisme de pression et d’engouement qui force autant la volonté que le sens du discernement.

Selon Fabrice Hyber : « L’intelligence implique l’esprit critique et la capacité de changer de source d’information pour pouvoir vivre et s’adapter […] ». D’ailleurs, nous ne serions rien ou pas grand-chose, sans l’esprit de ceux qui nous ont imprégné, éduqué, enseigné, impressionné ; sinon des enfants sauvages. La plupart de ce que nous exprimons n’est que le passage d’une écoute ou d’une lecture, sans pour autant faire dans le mimétisme ou la contrefaçon.

Lorsque des expositions portant sur des sujets sensibles viennent à bousculer l’éthique aseptisée de l’intelligentsia académique, ou bien lorsqu’elles sont jugées subversives au discours de l’élite moralisatrice de la classe dirigeante, des barrières invisibles – mais efficaces – se dressent pour flétrir, voire condamner leur diffusion. Ce monolithisme du jugement met en exergue la défaillance des hommes politiques et leurs sycophantes, prétendument muselés par l’intimidation terroriste islamique ou de la Covid. Par trop de défiance craintive, on finit par réduire le libre arbitre des auteurs, dès lors qu’ils se mettent à disséquer les vraies questions de société. Autant dire, regroupons ici tout ce qui pudiquement se murmure dans les chaumières et sur le zinc, ou ce que beaucoup pensent en catimini sans se risquer à jeter le masque de peur d’attirer sur eux la honte, l’anathème, et la fronde de mots justiciables, risque de corrompre intégrité de leurs initiateurs.

Se hasarder à s’exprimer à visage découvert sur des sujets interdits, revient à renvoyer à la surface les pensées secrètes de gens qui craignent les effets péjoratifs d’une interprétation erronée et malhonnête de leurs propos. C’est par l’infamie ou la quérulence larmoyante que l’esprit de la social-démocratie tend ostensiblement depuis plusieurs décennies, à dresser un apostolat à la morale. Dans une logique viciée, car culpabilisatrice, entrelardée de mises en gardes comminatoires, bien des mots souffrent aujourd’hui d’inflation sémantique lourde de séquelles, comme la xénophobie qui ne désigne jamais une maladie sociale mais un vice attribué aux Français du terroir sous les vocables humiliants de fascisme ou de populisme.

Paradoxalement, jamais cette réflexion critique ne s’applique à l’endroit des Musulmans déviants, intolérants, racistes, misogynes et agressifs qui ne sont, selon la logique cerbère de la bien-pensance sociale-démocrate, que des victimes ou des martyrs de notre société judéo-chrétienne décadente et xénophobe. Cette discrimination de jugement n’autorise pas l’imprudent à rechercher l’étiologie communautariste d’une pathogénie sociétale et cultuelle. Circulez, il n’y a rien à voir !

De facto, il est bien plus commode de jeter l’opprobre sur un individu qui s’interroge quant aux problèmes que suscite l’immigration anarchique et risquée par une seule communauté confessionnelle, pour servir l’équilibre du postulat multiculturaliste. Celui-ci cache forcément un profil antipathique dont il faut abattre les thèses, sans besoin de connaître les réelles souffrances d’une société empoisonnée par le malaise d’un communautarisme sectaire, prédateur et violent, d’où l’insécurité qu’induit une telle culture de coreligionnaires qui insupporte les autres. L’usage veut que le racisme soit jugé comme une malfaisance comportementale, non qu’il soit analysé sous l’angle d’un déséquilibre sociétal politiquement provoqué. La question de savoir comment et pourquoi des gens deviennent intolérants ne se pose que rarement, pas plus que ne sont analysés les comportements et les mentalités des victimes de cette plaie sournoise et délétère, laquelle s’envenime plutôt qu’elle ne guérit.

À l’appui de telles occurrences, nos glorieux précepteurs insinuent l’incapacité présumée du citoyen ordinaire à exercer le droit légitime de s’exprimer spontanément sur des sujets corrosifs ou controversés, voire de découvrir et comprendre son problème. Le climat de suspicion autour du trauma d’un individu altéré par une émotion xénophobe, par suite d’une frustration communautaire ou d’un rapport existentiel, l’incite à s’en cacher plutôt que d’en parler pour s’en défaire. Or, évoquer publiquement ce mal irrite les biens pensants qui occultent toute pédagogie prophylactique. Georges Orwell, qui honnissait les doctrinaires de gauche pour le mensonge de leur discours tout à la fois morigénant et pusillanime, avait osé exprimer sans ambages : « Qu’en ces temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».

Sur ce registre, remarquons que le djihâd n’est jamais associé une idéologie raciste – le Coran ne s’en cache pourtant pas, au même titre qu’un mouvement néo-nazi ou une secte dont les groupies œuvrent dans la pénombre viciée de la conspiration. Si certains vocables dérangent, initient une pomme de discorde, révèlent un fait de société susceptible d’induire une provocation malveillante, leur diffusion demeure l’affaire exclusive des seules consciences autorisées par la nomenklatura intellectuelle. Bizarrement, le Coran, ouvrage sacralisé mais criblé de propos sexistes et haineux contre les Juifs et les mécréants, reste en vente libre. Des centaines d’injures, de menaces et d’appels au meurtre noircissent ce Livre. En échange, la publication, et l’accès à certains domaines d’exploration didactiques étroitement surveillés, passent par les gens d’appareil, suspicieux à l’égard des lectures qui ne ressortent pas de la culture de masse. Or, le Coran, à l’instar de la Bible ancienne, est une lecture de masse. Mais un auteur du XXIème siècle qui se risquerait à emprunter le même langage, aurait à en découdre avec la justice !

Chaque génération a pourtant le droit de se forger une opinion, sans qu’elle soit préalablement modelée par un maître à penser. Les acquis collectifs, au prétexte qu’ils sont patents et immuables, ne devraient jamais – pour autant – se verrouiller à la libre circulation de développements intellectuels renouvelés, lesquels enrichissent nécessairement le patrimoine commun d’une autre perception et d’une autre voix. Ainsi, mettre sur la table tout ce qui relève d’un acte honteux ou d’une triste période est suspect et fait spontanément l’objet d’un procès d’intention, s’ouvrant ainsi à un délit d’opinion. Voilà bien le risque inconsidéré de donner raison à ceux qui prétextent la censure comme obstacle à leurs idéaux subversifs, pour mieux vendre leur intégrisme ou leur fièvre néo-nazi que renforce le martyr ; culte de la victimologie.

En tout état de cause, un truisme, lorsque celui-ci s’érige en contre-vérité, peut devenir embarrassant, voire insupportable dès lors qu’il procède à une remise en cause des valeurs juridiques et morales instituées. Son témoignage, jugé suspect ou relevant d’une idéologie saumâtre, pourrait fragiliser l’establishment et rompre avec l’équilibre intellectuel qui se sera subrepticement installé dans l’opacité, la facilité ou la couardise d’une société sans force, car privée de sa dynamique critique et pamphlétaire. Par analogie, je rapproche la vérité à l’alchimie de l’apologue ; cette émulsion paradoxale obtenue après avoir dissout la fable dans l’éprouvette cristalline d’une solution mystificatrice. Certes, les rouages complexes de notre civilisation onusienne s’accommode bien mal de l’insolente vérité, filtrée et purifiée de ses impuretés ou débarrassée de ses falsificateurs émérites.

Tant d’impostures, de pharisaïsme feint ou de stratagèmes émulsionnent la réalité, que le doute et le conditionnel deviennent inopportuns dans une civilisation coagulée autour de ses prêcheurs qui ne jurent que par leur foi, de doctrinaires chevillés à leurs convictions politiques saturniennes, et parfois même, de scientifiques dont la remise en cause de leurs spéculations fuligineuses relèverait d’une humilité insupportable. Ce pourquoi, par défaut d’ouverture vers les idées des autres, la société des hommes demeure irrémédiablement campée sur des certitudes cultuelles, doctrinales et politiques ; avec ce besoin impérieux d’être rassuré et lénifié.

La stratégie propagandiste des intolérants consiste à dissimuler ses propres vices, sa haine et sa frustration en la travestissant dans la peau des autres. Ce transfert fait illusion, souvent agrémenté de la rumeur et de diabolisations. Ainsi en va-t-il avec le journal Libération, l’allié inconditionnel du pouvoir régalien, en se faisant le Monsieur Propre de LaREM. Dans les colonnes de ce quotidien, un néologisme est né : la désinfosphère dont on y trouve pêle-mêle des politiques, des scientifiques et des essayistes ; autant d’opposants au régime autoritaire instauré derrière le passe sanitaire ou l’anti-constitutionnalisme du régime d’Emmanuel Macron. La presse alternative y est rangée derrière le complotisme des Illuminati ! Quels que soient les standards qui ordonnent la société, les apologues, politiciens ou chargés de spiritualité et intellectuels, tous, par leurs certitudes plombées, ne laisseront jamais de leurs vérités atrophiée qu’une épitaphe éphémère pour le monde d’après, en guise de bagage mémoriel.
Pour reprendre la parole sage du Dalaï Lama Tenzin Gyasto, « Notre ennemi est en-dedans de nous, l’orgueil, la colère, la jalousie… ».

FIN

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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3 thoughts on “ Si t’es pas Macron, t’es délit d’opinion !”
  1. macron???A poil et ligoté dans un champ.
    J’arrive pour le laver avec ma citerne de lisier.
    Ca sent sa politique depuis 2017. voir avant comme ministre des finances du gros hollandouille!!!

  2. Ce gouvernement a tout faux depuis le début et il persiste dans l’erreur. Macron est tenté comme l’Autriche de confiner les non vaccinés, ce qui serait une erreur (enfin) fatale !

  3. Comme vous Daniel Desurvire, je suis sûre que l’Europe va à sa perte avec cet afflux incroyable de migrants presque tous adeptes de l’islam et qui ne s’intégreront jamais. Cette immigration est dangereuse autant que scandaleuse.

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