Par Claude Picard
Comme à son habitude, le pouvoir tente de minimiser les faits et d’empêcher les questionnements sur ses responsabilités.
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Tous des lâches !
L’indécence des élites de la Macronie à se croire au-dessus de la mêlée est révélatrice de leur capacité à minimiser toute forme de contestation qui va à l’encontre de leurs intérêts personnels ou de leur idéologie mondialiste. Elles ne supportent aucune objection. Ce sont elles qui ont toujours raison. Point ! Le crime abject de la petite Lola est le point d’orgue de cette forme de dictature qu’est la pensée macronienne : “circulez, il n’y rien à voir“. Trop facile !
Ce crime est la conséquence de la carence du gouvernement à faire respecter l’état de droit, en général, et plus particulièrement la sécurité des citoyens. Un gouvernement digne de ce nom a le devoir d’assurer la tranquillité du pays. Mais comment faire si l’on ne renvoie pas dans leur pays d’origine les délinquants clandestins, souvent multirécidivistes, bien connus des services de police, et les déséquilibrés étrangers en situation irrégulière ? En gardant ces illégaux sur notre sol, on s’expose à tous les dérapages possibles, même les plus atroces. Et l’assassinat de la petite Lola est un concentré d’horreurs absolues, insoutenables à raconter, que peut subir n’importe quel citoyen qui se trouvera, au mauvais moment, sur le chemin d’un de ces tueurs hors de contrôle. Encore un assassinat qui aurait pu être évité si l’auteur du crime avait été renvoyé dans son pays comme il aurait dû l’être. En l’occurrence, ce devait être au mois d’août…
Comme à son habitude, le pouvoir tente de minimiser les faits et d’empêcher les questionnements sur ses responsabilités.
En donnant mauvaise conscience à ceux qui l’interrogent sur l’indigence de son action régalienne et en accusant l’opposition de vouloir récupérer l’affaire à des fins politiciennes. Cette fois, la ficelle est trop grosse et le gouvernement ne pourra pas faire l’économie d’une remise à plat de son argumentation. Mais c’est en amont qu’il fallait repenser sa défense, pas en aval. Aujourd’hui, pour Lola, c’est trop tard. Néanmoins le pouvoir est très gêné aux entournures, car il sait parfaitement que ses inadvertances récurrentes sur le sujet sensible des crimes commis par des clandestins arrivent au bout d’une trop longue série. C’est assez !
Les Français ne peuvent pas compter sur le gouvernement Macron pour régler le problème de l’immigration incontrôlée et de ses conséquences : il est le pourvoyeur du travail clandestin qui arrange tellement l’économie parallèle. Et d’autre part, il est, par idéologie, immigrationniste. Ce n’est pas sur lui qu’il va falloir compter pour conduire une autre politique migratoire. Son laxisme judiciaire, en la matière, comme pour bien d’autres, n’arrange pas les choses : d’après un rapport du Sénat, seulement 13 à 14 % de reconduite à la frontière sont effectives… Quid des autres ? Donc, 85 à 90 % des clandestins restent sur le territoire. En toute impunité ! Pourtant, la loi fait obligation aux préfets d’appliquer les directives de justice… Laxisme, quand tu nous tiens !
Les défaillances de l’État sont patentes et il est consternant de voir à quel point cet État n’assure plus ses devoirs régaliens. En laissant se perpétrer des crimes ignobles, jusqu’à tuer une petite fille de 12 ans ! Oui, le gouvernement Macron est responsable de cette mort atroce. Par son inaction migratoire, par son laxisme constant et par son imprévoyance générale. Le pire, c’est qu’il ne veut pas assumer ses fonctions et qu’il en profite pour accuser d’indécence tous ceux qui s’interrogent sur l’évènement. L’indécence, c’est d’avoir laissé, par idéologie et par incompétence, ce crime abject s’accomplir et de faire croire que l’on n’y est pour rien, alors que sa culpabilité est immense.
Des réponses doivent être apportées aux dérives de ce pouvoir égaré et déficient. Qui est en accusation et qui doit répondre de ses actes ou plutôt de son inaction dans les matières qui lui sont dévolues. S’il ne remplit pas ses obligations, il doit être destitué. Dans un État démocratique, ce devrait être la règle. Mais sommes-nous encore en démocratie ?
Claude Picard
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Merci pour cet article qui dit bien ce qui se passe sous Macron : c’est l’indécence qui règne à tous les étages de ce pouvoir maléfique et corrompu.