La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
Macron s’en va-t-en guerre : il se croit au cinéma mais la réalité va le rattraper et tous les Français ne sont plus dupes
Par Daniel Desurvire
Délitement de l’État-Macron et déconfiture de l’UE
Chapitre 9
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
Rien ne nous aura été épargné dans cette sinistre razzia, où l’effondrement du pays s’observe de tous les côtés : l’éducation, la santé, le pouvoir d’achat, l’inflation, la sécurité, l’endettement de l’État avec un déficit public abyssal. Pour y parvenir, Emmanuel Macron se sert de l’immigration comme d’une arme fatale ; son grand remplacement (déconstruction, réinitialisation) ! Son leitmotiv consiste à diviser les Français en les plaçant dos à dos, faisant des uns ses collabos et des autres les victimes de sa discrimination sanitaire. La corruption se lit à tous les étages de ce pouvoir, entre colbertisme et interventionnisme :
- En accordant des subventions empruntées aux banques avec intérêts à ceux qui soutiennent ce régime arbitraire, asséchant et humiliant, dont la presse stipendiée, politiciens et fonctionnaires, puis encore le corps médical qui aura servi de promoteur et de distributeur de vaccins-Covid expérimentaux, donc hautement pathogènes. Ces intrigants diaboliquement associés auront transformé la Nation en une cage à rats de laboratoire au profit des suppôts du Big Pharma.
- En ayant abandonné la gestion de la France à des entreprises de droit privé, ces sociétés conseils et consultants étrangers furent mandatés et rémunérés durant la crise sanitaire – et même bien après – par l’Élysée à coup de centaines de millions d’euros, pour prendre la place de nos élus et ministres remisés au placard. En bradant la France et en la vidant de son poumon industriel cédé aux puissances étrangères, le pays ne fut plus administré, mais vidangé. La spoliation des biens et des cerveaux, puis l’usurpation des pouvoirs constitutionnels ont conduit les corps législatif et judiciaire à ne plus siéger en séance plénière ; une confiscation des audiences publiques durant des mois pour un prétexte sanitaire galvaudé.
- La prétendue crise sanitaire fut un leurre, mais un boulevard pour le commerce des vaccins-Covid dont les dégâts sur la santé des victimes vaccinées ont été étouffés, nonobstant les alertes des scientifiques patriotes dans cette vaste conjuration emmenée par les puissants de ce monde. Les personnes dont la santé a été gravement et durablement endommagée par la répétition itérative des rappels (rupture du système immunitaire ouvrant grand la porte à des maladies opportunistes), puis les mortalités post-vaccinales qui suivirent, furent enregistrées par des instituts de veille sanitaire et de contrôle des médicaments. Mais jamais les conclusions furent relayées par les médias serviles, bouclés et étanchéifiés sous contrôle de l’Exécutif.
- Des millions de certificats de décès furent trafiqués pour augmenter l’effet anxiogène de la pandémie, et convaincre les Français à se présenter sans tarder dans les centres de vaccinations les plus proches. Les séniors pensionnaires des Ehpad furent nombreux à avoir été sacrifiés sous Rivotril® pour en améliorer le score létal. L’instrumentalisation de la souffrance humaine fut d’abord livrée par l’ouvrage d’Horace McCoy « On achève bien les chevaux » (1935), avant que cette dramaturgie ne soit rejouée sous l’État-Macron. L’OMS aura même publié un mea culpa, avouant avoir multiplié de 10 à 50 fois la létalité par Covid dans le monde, souvent liée aux vaccins-Covid et à des comorbidités interprétées de façon opportunes aux statistiques mortifères sous l’adjectivation Covid.
- Pour parvenir à un tel niveau de mensonges et de désinformation, des milliers d’ordonnances et de décrets, dans la nébulosité d’une situation enfumée par des fake news d’État, furent promulgués en totale infraction aux Droits de l’homme, à la Constitution et aux codes civil et de santé publique notamment. Pour ce faire, les deux principaux protagonistes du Conseil constitutionnel, qui ne sont rien de moins que des anciens repris de justice, avalisèrent cette gabegie juridique. Par ailleurs, ces complices, au registre de la concussion et du népotisme, rendirent possible une prévarication à grande échelle dont profitèrent les fils respectifs du Président Laurent Fabius et d’Ursula von der Leyen ; tous les deux directeurs au sein de la société McKinsey, laquelle précisément géra la crise sans l’entrave du Parlement, mais sous l’empire d’un état d’urgence de composition, dit « sanitaire ».
- Puis il y eut les aides financières accordées sous des conditions tellement restrictives qu’elles ne produire que des effets d’annonce, pour ne profiter qu’à des fins électoralistes. Beaucoup de ces aides s’avérèrent insignifiantes faces aux augmentations décuplées de la consommation ; comme on jette des miettes aux pigeons ; mais suffisantes pour convaincre les plus démunis d’une générosité régalienne, cela en asséchant davantage les finances publiques. Or ces subventions et primes dédiées ne font qu’asservir ceux qui en bénéficient jusqu’à les rendre dépendants ; tels de futurs indigents en addiction vers un assistanat durable, lesquels, vidés de leur substance énergétique se condamnent à terme vers une mendicité fomentée et institutionnalisée pour une anémie endémique.
- C’est en œuvrant activement au délabrement d’une France sans réaction, incapable de se dresser contre cette diabolique façon de conduire la Nation, que nombre de concitoyens perdent le contrôle de leurs opinion. Les dilapidations successives de cette dernière mandature présidentielle coûte à chaque foyer fiscal ± 180 000 €, lesquels se répartiront sur plusieurs générations d’enfants une dette publique de ± 3 000 Mds d’€. fin 2022 (Ibidem, « L’idéologie néfaste du résident Macron », p. 111/114, 132/135). Pour résumer, c’est le devenir de notre postérité qui s’en trouve hypothéqué avec une banqueroute nationale, laquelle asservira possiblement les citoyens de demain, puis gangrènera la démocratie avec une Constitution qui volera en éclats, pour céder une place défrichée à une tyrannie qui écrasera les manifestations, et taira les insurgés, coupables de patriotisme.
- Puis enfin, ce fut en prenant parti, sans motif recevable en droit international ni mandat onusien, par une ingérence directe dans le conflit russo-ukrainien. Or, les véritables victimes dans ce désordre géostratégique sont les civils massacrés, par les armes et les missiles que fournissent les États-Unis, l’UK et la France, outre l’intervention militaire russe dans ce conflit intra-ukrainien. Quand Emmanuel Macron se gausse de partir en guerre, il ne dit pas qu’il intervient en belligérant dans une guerre entre Ukrainiens (la guerre du Donbass depuis avril 2014). Ce va-t-en-guerre, soutenu par la Commission européenne, participe ainsi au malheur des populations civiles, à la façon de la Fédération de Russie en face, nonobstant partiellement excusée par la promiscuité frontalière de cette guerre, où des millions de réfugiés ukrainiens, harcelés et mortifiés par les actions barbares des bataillons néonazis Azov, s’exilent chez leurs cousins slaves depuis près de dix ans.
Les milliards d’euros ou de dollars soutirés au prétexte de la pandémie, sur le dos des contribuables leurrés par un virus synthétique fabriqué en Chine, puis des vaccins issu du Big Pharma aussi dangereux qu’inefficaces, laissent comprendre que la corruption d’esprits malfaisants profite au monde industriel des médicaments, autant qu’au monde politique stipendié par les premiers. Ces sommes colossales de devises dépensées sans aucun résultat prophylactique, auront pris un cheminement aussi vicié que celui des mafiosi, entre les trafics de drogue, d’armes, d’organes et de prostitution esclavagiste, en blanchissant le produit de leurs crimes par la voie des banques offshores, où tous ces odieux profits, tachés de sang ou de prévarication politique, entre col blanc et parrains s’y retrouvent.
Cette pratique, de longue date, est aujourd’hui agrémentée par des moyens plus discrets mais aussi sordides que de jouer sur l’échiquier les grandes puissances à dimension continentale, entre les États de l’Ouest et ceux de la Fédération de Russie alliée avec les puissances d’Asie. À ce jour, il ne s’agit plus d’une guerre d’idéologies entre les forces de l’Axe et des Alliés (1939-1945), ou de la guerre froide entre l’Otan à l’Ouest et le Pacte de Varsovie à l’Est (14 mai 1955), mais d’une guerre de territoire comme jadis sous les dynasties, ou l’UE et les USA se disputent l’Ukraine contre la Fédération de Russie pour des motifs idoines. Dans ce conflit, ceux qui souffrent sont d’un côté comme de l’autre les contribuables qui paient la note, avec au milieu les compatriotes ukrainiens, entre loyalistes et séparatistes fratricides, qui ne cessent de s’entre-déchirer pour des motifs de rattachements transcontinentaux, qu’aiguillonnent des puissances étrangères animées de conquêtes de territoires et de profits.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire
1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste
2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
4°) Telle une razzia de barbares, la macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France.
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Un livre sans concession mais tellement réaliste !
Article(s) à lire :
Chez Macron, on fait n’importe quoi et on se croit tout permis.
“La grande tromperie imposée par le pouvoir est un abus de confiance caractérisé et permanent.”
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