Le Covid-19 est un Frankenvirus à n’en pas douter 2


Pourquoi des apprentis-sorciers s’exercent-ils à jouer avec de pareils dangers potentiels, les transporter et les bricoler, comme on allumerait une allumette dans une fuite de gaz ?

Par Daniel Desurvire



Le Covid-19 est un Frankenvirus à n’en pas douter

Seconde partie (fin)

Pourquoi faire et pour le compte de qui ? Une autre interrogation se pose autour de travaux occultes – donc suspects – emmenés par des équipes de scientifiques depuis l’Université d’Alberta au Canada en 2018 où, par le fruit d’une combinaison génétique inversée (biologie de synthèse), le virus de la variole équine (de la famille des orthopoxvirus), pourtant disparu, aura synthétisé une chimère à la faveur d’une mutagénèse induite. Un telle fouille dans le microcosme cellulaire d’agents infectants, aussi aléatoire qu’inattendu, pourrait bien rétablir la voie d’un sombre revenant ; celui de la variole humaine ?

Ces petits monstres en sommeil dans les coffres surgelés des labo « P4 » sont-ils le fruit de recherches pour prévenir une pandémie hypothétique ? Ces objectifs présentés a priori comme thérapeutiques ou préventifs ne comportent-ils pas le risque d’être détournés pour servir leur promoteur étatique à des fins militaires, une hiérocratie islamique ou la Corée du Nord, voire susciter l’intérêt du bioterrorisme en embuscade qui pourrait bien s’en emparer, comme en soudoyant un laborantin peu scrupuleux ? Ces investigations microbiologiques, qu’elles soient sincèrement animées par de bonnes intentions ou secrètement instruites pour servir des priorités politiques géostratégiques, sinon pour des motifs de régulation démographique, préparent d’angoissantes destinés pour l’humanité.

Entre la virulence létale et la transmissibilité fulgurante, comme de propager en aérosol des agents pathogènes aux fins de justifier des campagnes de vaccination pour contrôler, voire annihiler tout ou partie d’une société, le mobile de tels agissements sont de nature à justifier l’interrogation, puisque les faits prouvent qu’il existe bel et bien de tels dangers potentiels, notamment depuis les laboratoires « P2 » à « P3 », hors de portée des contrôles des instances internationales (CABT*). La délocalisation des sites de laboratoires de recherche fondamentale, aux fins de fabriquer délibérément des chimères virales depuis des États qui échappent à la Convention internationale sur l’interdiction des armes chimiques et biologiques entrée en vigueur le 29 avril 1997*, ne saurait répondre assurément à éliminer des intentions belliqueuses.


Cependant, outre les attentats terroristes à l’aide de bombes sales (irradiantes [DDR : radio-isotopes conventionnels] et contaminantes) qui sèment la panique çà et là sur quelques endroits de la planète, il n’est pas exclu de devoir faire face à une conspiration sur une large couverture à dimension démographique. Un tel dessein génocidaire, au motif de désengorger la planète, pourrait donc receler l’objectif d’impacter la surpopulation mondiale, par des moyens coercitifs emmenés dans les coulisses glauques d’un pouvoir transnational, tels les lobbies financiers, politiques et financiers aussi puissants que le WEF.

Parmi ces armes de destruction massive, ici pointe le danger majeur des armes bactériologiques ou à toxines à effet fulgurant. Cependant, gageons que des intérêts économiques et industriels entre le Big Pharma et les puissances politiques qui soutiennent une stratégie transnationale, circulent plutôt dans les veines d’une corruption particulièrement juteuse et maligne. Il n’est évidemment pas normal que sous le prétexte de peser sur la balance d’un bénéfice/risque entre un poison viral et son remède vaccinal ou médicamenteux, le curseur glisse toujours du côté des intérêts de quelques puissants et fortunés plutôt que de se pencher pour un équilibre sanitaire global. Réveiller ou reconstituer des virus qui se sont déjà révélés mondialement pathogènes, en stimulant de nouveaux principes actifs pour en tirer prétendument un remède prophylactique ou thérapeutique, revient à mettre en péril ceux-là même que l’on prétend vouloir protéger !

S’agissant du SARS-CoV-2, la thèse d’un virus artificiel n’est plus à démontrer, puisque son analyse par séquençage révèle une mosaïque de plusieurs allèles appartenant à d’autres coronavirus, puis de rétrovirus (ARN) de la famille des lentivirus, dont le virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Dans le groupe des SARS (dont le CoV-1 et CoV Urbani), gageons que la barrière des espèces fut allègrement franchie, laissant les zoonoses se propager dans toutes les directions de l’environnement. En 2012, un virus quasiment similaire au Covid-19 (le RaTG13), fut identifié en Asie, laissant apparaître un brassage de souches virales, par lequel il n’est pas incongru d’en tirer des conclusions politiques quant à la réalité de manipulations antérieures à la pandémie qui frappa la planète dès la fin de l’an 2019. Persister à soutenir que le SARS-CoV-2 n’a qu’une seule origine naturelle, c’est ignorer que sa matrice circula par suite sur trois continents, entre la Chine, l’Espagne et les États-Unis, en passant par la France avec l’Institut Pasteur et ses laboratoires connexes hors de l’Hexagone, là où le regard des inspecteurs de l’OMS est moins accessible.

Enfin, si le SARS-CoV-2 était exclusivement d’origine naturelle, pourquoi n’a-t-on jamais isolé sa souche génitrice, comme ce fut le cas avec le SARS-CoV-1, le MERS-CoV ou le RaTG13 similaire à 96 % ? La Covid-19 ne fut même pas reconnu sur un hôte intermédiaire, pas même dans la population des mammifères simiens ou placentaires explique le virologue Étienne Decroly de l’Université d’Aix-Marseille. Pourtant, c’est de cette manière que fut répandue la légende d’une zoonose, comme en partant du site de clivage de la protéine furine ; une séquence d’acide aminée présente dans la protéine Spike du SARS-CoV-2, exprimée en deux sous-entités. Quant à vouloir expliquer comment ce virus s’est répandu sur la Planète, soulignons que les laboratoires à Wuhan abritent plusieurs sections d’études sur des micro-organismes, de « P2 » à « P4 », déterminant un niveau de sécurité.

Il faut regretter le flou entretenu par les directives internationales de l’OMS qui autorisent de facto les labo « P3+ » à travailler sur des souches bactériennes et virales très virulentes. La possible transmissibilité d’agents pathogènes par les équipes de personnels y travaillant (infection par contact ou blessure), les carences de procédures et d’installations incorrectement protégées des risques majeurs de fuite en aérosol, d’évasion de cobayes et d’acheminement de virus d’un laboratoire à l’autre, sont autant de facteurs accidentels que l’on ne saurait écarter. Rappelons que ces laboratoires peu sécurisés ne bénéficient pas scrupuleusement du contrôle drastique des contrôleurs sur le commerce des armes et/ou des instituts de veille sanitaire ou de contrôle des médicaments, puis des ONG comme Amnesty International, en regard des conformités exigées par la CAB (Convention sur les armes bactériologiques) biologiques ou à toxine (CABT), notamment sur des régions reculées du globe, perdues dans le no man’s land du droit international, soit dit d’un visibilité et d’une vigilance à hauteur des risques.

 Ce n’est certes pas dans ce contexte aléatoire que professe la célèbre virologue Shi Zhengli, sur les virus à risque comme la grippe MERS et SRAS, co-découvreuse du SARS-CoV-2. Quoique exerçant dans un pays où le communiste demeure un bastion impénétrable, la communauté des scientifiques et les intérêts politiques et industriels font souvent cause commune avec des lobbies du Big-Pharma, lesquels amassent des profits colossaux après chaque épidémie provenant de virus issus de laboratoires politiquement plus étanches. Cela explique pourquoi la RDC n’a jamais été inquiétée pour avoir moult fois été le siège géographique d’un contingent fort et suspect des départs d’infections épidémiques dans le monde, et peu concernée par le principe de non-prolifération des armes nucléaires et bactériologiques, dont la recherche dite médicale ne devrait pas s’y soustraire depuis les accords de 1968.

Auteur d’une étude traitant de la première maladie « X », une piste ethnocidaire fut conjecturée par l’éminente Shi Zhengli sur une hypothétique pandémie « clade X », risquant d’inhiber le génome de l’espèce humaine sur Terre. Suffisamment convaincue sur le danger équivoque de ce germe candidat, parmi les mutants hybrides manufacturés en laboratoire, l’OMS classifia la chose sur la liste d’une dizaine de maladies prioritaires à l’échelle internationale, dans le cadre de la recherche et développement (R & D). Cette conjecture prend sa source sur une thèse soutenue dans la confidentialité à l’Université Johns-Hopkins à Baltimore. Ces chimères qui muent puis s’insinuent en zoonoses, peuvent également servir de funestes desseins comme d’armes bactériologiques, dont les frankenvirus qui peuvent en résulter ; d’où le sérieux de la prédiction autour de cette sommité au Pays du milieu.

FIN

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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2 commentaires

  1. En tous cas, le COVID aura servi utilement à Macron pour rester au pouvoir alors que son bilan 2017-2022 était catastrophique sur tous les plans et principalement économique.

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