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Manifeste pour le rétablissement de la démocratie en France
Par Daniel Desurvire
Chapitre 14
Toujours dans l’ignorance avouée par l’État français quant à la nature de Corona (Voir ci-dessus), le stratège Oliver Véran et sa garnison de spécialistes aux ordres – mais beaucoup moins à celle de leur discipline professionnelle – ont convenu que le virus en embuscade conduisait prioritairement ses assauts après l’heure des couvre-feux, tantôt à 18 heures, tantôt à 19 heures, car l’horloge de Corona y serait ainsi réglée pour conduire ses offensives contre l’ennemi civil. Mieux encore, il fut des week-ends où les armées de Corona brandirent le drapeau blanc pour un cessez-le-feu temporaire, voire à l’inverse, fondre sur les victimes innocentes en promenade les jours de repos, selon les sources d’information depuis le quartier général de Jean-François Delfraissy, général deux étoiles chargé du renseignement au sein de l’état-major du Conseil scientifique pour le Sar-Cov-2.
Pour couronner le tout, les distances qu’il reste aux Français pour se déplacer, selon l’humeur des généraux, variaient entre 1 km à 2 km ou 10 km, pour tantôt s’allonger sur tout l’Hexagone puis se rétrécir de régions en départements, car le virus serait versatile, instable, mais surtout imprévisible pour cet état-major peu rompu aux disciplines martiales. Quant aux généraux trois étoiles, successivement Christophe Castaner et Gérard Darmanin, ceux-là ont pris le relai de l’incompétence du chef des Armées retranché dans son QG du 55 rue du faubourg-Saint-Honoré, afin de mieux masquer leur déroute. Reste l’headquarters du comité scientifique, lequel à travers un plan d’attaque en une soixantaine d’avis, de note et de règlements, n’aura réussi qu’à faire basculer la France dans le gouffre de la faillite, avec près d’un million de chômeurs supplémentaires et d’un quart de million de dépôts de bilan, de faillites ou de liquidations d’entreprises. Quant au déficit public de la France, il fut rallongé de 2 mois au PIB, l’amenant à 14 mois de toute la production de richesses du pays.
Oui mais le virus serait toujours là, atténué après des centaines de mutations, sinon éteint depuis plusieurs mois, mais trop tôt pour l’annoncer eu égard aux marchés féconds des vaccins, des contrats glauques et des pots-de-vin qu’il faut honorer. De surcroît, il faut prolonger encore et encore ce climat anxiogène si le Président en exercice veut bénéficier d’une sortie de crise à l’heure stratégique de sa campagne électorale, autrement dit jouer l’arlésienne pour se présenter au moment opportun comme le sauveur de la Nation. Serait-ce un De Gaulle, mais en soldat de plomb, exultant sa victoire martiale sur l’ennemi, tel un virion coronaire de 0,125 micron terrassé sous le sceptre du centurion Manu ! Ce pourquoi, en quête d’un temps précieux, les thaumaturges du Conseil scientifique auraient mis à jour la pierre philosophale, pour transformer les virus mutant en virus « double mutant », puis en dantesque « variant » à seule fin de faire renaître la persistance symptomatologique d’une contagion même bégnine, entretenant la psychose dans les populations les plus hypocondriaques, et liquider par là le fruit d’un marché lucratif avec le Big Pharma.
Plus sérieusement, le mécanisme de mutation s’avère être un processus d’adaptation normal, mis en place par le virus pour réussir à franchir la barrière de l’immunité et survivre. Cette évolution génétique induit un affaiblissement de l’agent infectieux au fil de ses mutations, sachant que le terme « variant » relève d’une alchimie de langage, puisque le virus muté conserve la même souche. Autant dire que ce processus viral correspond en tous points avec l’influenzavirus, sans que jamais le corps médical n’ait eu à mettre en alerte une France en état de choc. Mais le rôle des généraux n’est-il pas de ruser, d’esquiver et de mentir face à l’ennemi ? Sauf que l’ennemi ne fut pas celui que l’on croit, mais le peuple français. De son côté, la Covid aura poursuivi son chemin en ignorant l’obstacle des comateux de Matignon à l’Élysée, d’où les sévices et les humiliations infligés aux citoyens.
À suivre
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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