Réquisitoire contre le vaccin Covid 2


II – Quand les risques de mortalité par les vaccins anti-Covid, par la répétition en rappels d’injections, deviennent plus élevés que ceux induits par le virus lui-même !


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Réquisitoire contre le vaccin Covid

Par Daniel Desurvire

Deuxième partie

II – Quand les risques de mortalité par les vaccins anti-Covid, par la répétition en rappels d’injections, deviennent plus élevés que ceux induits par le virus lui-même !

Le danger de ces vaccins vient principalement des intervalles trop rapprochés entre les injections et leur surnombre, alors qu’un seul vaccin devrait suffire par an voire au-delà. Cela est le cas pour l’influenza qui a muté à l’approche de chaque hiver et qui réclame une modification annuelle de ses composants. Sinon, le délai entre la première injection et le rappel ne devrait pas s’étendre en-deçà d’une décennie et plus encore, comme pour de nombreuses autres protections virales, dont la mémoire des anticorps reste gravée à vie. Pourrait-on dire que « trop de vaccins tuent le vaccin » ?

Or dans les faits, la surproduction d’anticorps artificiellement reprogrammés par des vaccins surnuméraires, sorte d’embouteillage provoqué par des séries d’injections, s’avère biologiquement dangereuse pour le système immunitaire naturel désorienté, comme à ce jour jusqu’à trois par an selon les cas contre la Covid. Cette confusion biochimique interagit avec des attaques anarchiques des glycoprotéines (les anticorps de l’immunoglobuline) censées neutraliser les agents pathogènes. Le risque que les anticorps ne savent plus identifier la cible (l’antigène), est celui de confondre un organe ou un centre nerveux avec ledit virus.

Outre l’apparition d’œdèmes ou de thrombose, voire d’un choc anaphylactique etc., une réalité tangible et mesurable se fait jour au fil des constats médicaux et des relevés scientifiques, quant à la dynamique cyclique des mutations virales du virion-souche, lequel s’est disloqué et a disparu à ce jour dans sa version Wuhan initiale. Un désordre organique et neurologique provoqué par une sur-vaccination peut aboutir au même processus que connaissent les personnes immunodéprimées. Pour ces patients, le remède – non curatif mais stabilisant – consiste à réguler, voire affaiblir chimiquement la biologie du système immunitaire par des immunosuppresseurs pour enrayer le dysfonctionnement entre les anticorps neutralisants et facilitants, d’où un chaos fonctionnel aboutissant à des maladies auto-immunes, dites opportunistes.

Comprenons que la politique vaccinale outrancière sur des personnes dont l’organisme aura été de ce fait ébranlé, d’où le système immunitaire hautement perturbé, leur réactivité au vaccin sera non seulement nulle, mais la confusion métabolique en sera amplifiée, car participant à son désordre, voire à sa destruction fatale. L’OMS, qui n’est pas réputée pointue dans ses conclusions, ou plutôt qui œuvre pour le compte de ses mécènes du Big Pharma, fait exactement la démonstration du contraire, croyant peut-être vouloir soigner le mal par le mal, mais en tuant des gens au passage ! Des conclusions figurent dans études scientifiques, notamment vues par l’analyse du professeur en pédiatrie Daniel Floret, spécialiste en maladies infectieuses, ancien président du Comité technique des vaccinations, (in, Futura Santé).

Pour la compréhension du fonctionnement depuis la prévention d’une infection virale par l’injection d’un antigène sur un hôte (un vaccin Arn m ou à adénovirus), le vaccin induit la mémoire de la protéine Spike dans le système immunitaire de l’hôte, initialement prévu pour la neutraliser. Mais à la lumière des faits, les choses se déroulent autrement avec la Covid, en retenant que le jeu entre les virus et les vaccins ordonnancent des combinaisons aléatoires de réactions en résultats, ici négatifs. Les vaccins n’ont jamais été une panacée. Il faut donc savoir mesurer leur efficacité dans l’espace (les seules régions géographiques où le vaccin est nécessaire) et le temps (la patience entre la fabrication et le respect des délais de randomisation qu’exige l’AMM).

S’il on ne sait pas, entre tentatives et hasard, ou si l’on ne peut pas anticiper les dangerosités conditionnelles par absence de recul et de statistiques entre placebo et cobaye, alors il faut passer à autre chose, comme à des thérapies médicamenteuses, voire paramédicales. Souvent, des molécules préexistantes sont déjà disponibles, et attendent d’être étudiées puis exploitées pour soigner d’autres pathologies pour lesquelles elles n’ont pas été initialement destinées, cela dans l’expectative d’autres formules éditées par la recherche (Voir in fine en bibliographie, p. 138 à 144, « L’antipatriotisme d’un chef d’État »). Tout principe de précaution repose sur l’honnêteté, une prudence circonspecte, puis des normes scientifiques obligatoires. Or cela ne fut absolument pas le cas avec la mise sur le marché précipitée, donc suspecte, des vaccins anti-Covid réalisés en quelques mois seulement, au lieu de trois à dix années habituellement nécessaires pour en assurer tout à la fois l’efficacité et en réduire au mieux les effets délétères et contrindications.

Le gouvernement de l’UK aurait admis que : « les vaccins ont endommagé le système immunitaire naturel des personnes ayant reçu une double dose de vaccin ». Dans le contenu d’unrapport de surveillance du vaccin anti-Covid de l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni de mi-octobre 2021, il est cité en appui de ce constat, que« les niveaux d’anticorps N (pour neutralisant) semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination ». Le site France Médias Numérique en déduit que : « selon les Britanniques, le vaccin interfère avec la capacité innée de l’organisme, après une infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe […]. Les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réponse chez les personnes non vaccinées. À long terme, les personnes qui prennent le vaccin seront plus vulnérables à toute mutation de la protéine de pointe qui pourrait survenir, même si elles ont déjà été infectées et guéries une ou plusieurs fois. Les personnes non vaccinées, quant à elles, obtiendront une immunité durable […] contre toutes les souches du prétendu virus après avoir été infectées naturellement, même une seule fois ».

Le rapport cité porte sur la vaccination et son efficacité au Royaume-Uni, ce qui l’implique in extenso pour le reste du monde. Dans la partie du document mise en exergue, cette agence de sécurité sanitaire pointe l’impact du vaccin sur la proportion de la population ayant des anticorps contre le Covid-19. En pratique, il s’agit de tester la présence de deux anticorps, le premier ciblant la nucléoprotéine du virus (N), l’autre la protéine de spicule (S) qui est la partie du virus qui ouvre l’infection des cellules (la protéine « spike »). A la page 19 du rapport, cette Agence explique que « les tests de la nucléoprotéine N détectent uniquement les anticorps post-infection, alors que la protéine S détecte à la fois les anticorps post-infection et les anticorps [produits suite à] la vaccination ». En conséquence, les vaccins exposent fatalement l’organisme ainsi fragilisé et vulnérable à cette phase virale.

En clair, selon les données de surveillance de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), « les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccin ». Un autre témoignage en ce sens fut apporté par les experts de Meedan Health Desk. Ce groupe de scientifiques de la santé publique estima que la neutralisation virale précoce par la vaccination était susceptible de modifier la réponse de l’organisme et de limiter le développement ultérieur d’anticorps anti-N en cas d’infection après la vaccination. Rappelons qu’un anticorps neutralisant (NAb) a pour rôle de défendre les cellules contre des agents pathogènes, sinon contre une particule infectieuse en neutralisant ses effets biologiques délétères.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Sommaire

I – La communication, versus le garde-chiourme médiatique du pouvoir dominant

II – Quand les risques de mortalité par les vaccins anti-Covid, par la répétition en rappels d’injections, deviennent plus élevés que ceux induits par le virus lui-même !

III – La quadrature du cercle : une diagonale impraticable depuis le SARS-CoV-2 aux vaccins anti-Covid sans en passer par une rechute parfois fatale

IV – Dès lors que le politique prend le pas sur le médical, le profit prend la place de la santé

V – Mais qu’en est-il des vaccins anti-Covid, des pathologies qui en résultent, et pour quel virus ?

VI – Ne pas vouloir reconnaître et ne rien faire, voilà bien une figure captive des esprits abouliques

VII – L’ignorance, berceau d’un irrésistible déclin où profitent ceux qui l’entretienne

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6 commentaires

  1. Merci M. Desurvire pour la qualité de votre travail. En France, la quatrième dose commence aujourd’hui en catimini le 18 février 2022, autant dire qu’il s’agit d’un traitement désormais. Les médias sont d’une rare discrétion concernant cette quatrième injection qui normalement ne devrait pas être faite puisque le gouvernement veut relâcher la pression avant l’élection. C’est un remake du Petit Chaperon rouge et Macron est le loup de l’histoire car sitôt réélu, les mesures contraignantes reviendront.

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  2. Heureux hasard du calendrier, les élections arrivent et le gouvernement va lever – à coup sûr temporairement – les restrictions contre la pandémie. C’est vraiment prendre les français pour ds demeurés.

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  3. Quand on fait attention à la chronologie des faits de ce virus, c’est clair que les variants proviennent du vaccin. Vérifiez les dates concordent.

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