Par Claude Picard
Donc, les journaux de référence de la Macronie sont Playboy et Pif Gadget ! De pire en pire…
Trop plein ou gabegie ?
Quelle époque ! Nous vivons de formidables avancées technologiques, mais a contrario, tout va à vau-l’eau et l’impéritie s’installe partout. Jusqu’à circonvenir la gestion et l’organisation des décisions dans les plus hautes sphères du pouvoir. De ce côté-là, rien d’étonnant, quand on sait que dorénavant leurs journaux de référence sont, Playboy et Pif Gadget… S’il n’y avait que ces deux-là ! D’autres médias sont tout autant touchés par de grossières « insuffisances« …Dans ce contexte, la diffusion des idées et les plus simples rapports avec le public deviennent compliqués ou surréalistes. Certaines fois, cela est tellement ubuesque que l’on croit rêver. Mais on ne rêve pas : un univers parfaitement caricatural se met en place et néanmoins, presque tout le petit monde politico-médiatique s’en accommode. Parce qu’il y participe ! Et il est effarant de constater l’énergie que certains déploient pour des causes inutiles et futiles ou contre-productives. Toujours en périphérie et en oubliant l’essentiel ! Pendant que le bateau coule, des minorités et des cabinets de conseil nagent allègrement en eaux troubles et nous imposent leurs desseins.
Avec l’assentiment de nos élites, les minorités sont devenues des monopoles quasiment mafieux qui contribuent à l’affaissement de nos valeurs civilisationnelles. Sans oublier que, regroupées en association, elles sont de véritables sangsues pour nos finances publiques, car elles ne vivent grassement que par nos subventions, accordées sans contreparties. Une des plus emblématiques, France Terre d’Asile, qui s’occupe de l’hébergement et du soutien aux migrants, touche la somme annuelle de 44,4 millions d’euros, mais c’est beaucoup moins que sa concurrente, Coallia, ayant la même fonction d’aide aux migrants, qui empoche la coquette somme de 76 millions d’euros ! Au total, l’État a dépensé 9 milliards d’euros pour des associations (heureusement, toutes ne participent pas à « l’aide aux migrants« …), dont 7,3 milliards d’euros sous forme de subventions. (Source : les Contribuables Associés). Souvent, activistes de l’ultragauche, ces associations et les minorités qui gravitent autour, sont en réalité les meilleures idiotes utiles du système qu’elles disent combattre. La plupart du temps foncièrement anticapitalistes – dans leurs discours – elles actent en vérité des idées qui confortent le capitalisme le plus extrême : le mondialisme ! Ou comme dirait Marx, l’impérialisme. Les migrants peuvent dire merci, mais les Français, eux, ne peuvent que tirer la gueule quand on leur impose la répartition d’une population qu’ils n’ont pas choisi d’accueillir. Et quelques patrons du CAC 40 peuvent se frotter les mains, grâce aux anticapitalistes qui mettent à leur disposition une main-d’œuvre bon marché. Comprenne qui pourra !
Aujourd’hui, la dette de la France atteint des sommets : 2 916,8 milliards d’euros, soit 42 060 € par habitant, soit 113,3 % du PIB (Source : INSEE, 2022). À part les associations, les cabinets de conseil et les médias du service public qui pompent amplement nos finances et qui font exploser les dépenses publiques, où passe notre argent ? Malgré quelques investissements, tous nos services publics dysfonctionnent et se démantèlent de l’intérieur. Le dénuement des services hospitaliers français fait peine à voir, l’école laïque et républicaine n’est plus qu’un souvenir, la justice n’est qu’une parodie d’équité, les prisons craquent et des magistrats gauchistes continuent à interpréter les lois comme bon leur semble… Si l’on connaît la répartition des dépenses, publiée chaque année par le ministère de l’Économie et des Finances, nous ne savons pas comment est géré cet argent par les diverses institutions et administrations publiques. Y aurait-il un problème de compétence au niveau de l’État ou les subordonnés seraient-ils imprévoyants ? On est tenté de répondre : « les deux, mon capitaine » ! Mais la gabegie n’est que la partie émergente de tout ce méli-mélo…
En attendant d’y voir plus clair, il faut rappeler à ceux qui ont réélu le maître absolu du chaos, Macron, par crainte de voter pour le diable – argument plus que fallacieux quand on subit autant de perversités depuis six ans – de méditer sur la citation de George Orwell :
« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice. »
Claude Picard
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Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur et en aucun cas Observatoire du MENSONGE
Dessin de couverture par CAMBON pour URTIKAN
Article(s) à lire :
« Le principe de base de la Macronie c’est de nous rendre pauvres pour mieux nous contrôler. »
Par Sam Suffi
ou Paysage Politique Français
« Un Président capable pendant plus de deux heures de tenir le crachoir pour ne rien dire, c’est un champion du néant. »
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