Telle une razzia de barbares, la Macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France
Macron s’en va-t-en guerre : il se croit au cinéma mais la réalité va le rattraper et tous les Français ne sont plus dupes
Par Daniel Desurvire
Délitement de l’État-Macron et déconfiture de l’UE
Chapitre 10
4°) Telle une razzia de barbares, la Macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France
Pour neutraliser la colère d’un peuple en souffrance, un dictateur recherchera un exutoire rassembleur en offrande, comme en le saupoudrant d’une phobie pour qu’il demeure concentré sur son mal, et dissuader les foules de réfléchir ou d’aller voir ailleurs des alternatives politiques. Pour ce faire, le public doit converger en direction d’un objectif ayant une forte charge émotionnelle, lequel aura pour objectif de fédérer une population en suscitant un magnétisme autour d’une antipathie ou d’une frayeur. En émoustillant une population grisée par des pulsions d’inimitié contre une cible choisie, ou derrière un mobile fédérateur tel un autocrate charismatique capable de susciter la frénésie par ses harangues, ce processus pervers permet de juguler le public pour l’empêcher de se disperser en conjectures, de penser différemment ou de se détourner ; autrement dit de faire la part des chose avec sa propre intellection. C’est ainsi qu’Adolf Hitler sera parvenu à endoctriner le Peuple germain.
De notoriété, depuis la trame de l’histoire, les intellectuels, journalistes, essayistes ou pamphlétaires sont invariablement désignés comme les ennemis des dictatures quelle qu’elles soient. Un despote aura l’art de récupérer les souffrances des populations, cela en désignant un ennemi commun à abattre, de façon à ce que les élans de révolte habités d’une haine exubérante se calent en rangs serrés derrière le directeur de conscience. Le peuple subjugué fera bloc, confiant donc en perte de vigilance envers celui-là même qui fomente la psychose en désignant la source, afin d’emmener ses adulateurs à se coaliser autour d’une pensée unique, agrémentée d’effroi contre la cible désignée à abattre.
Pour l’histoire, ce fut à l’appui d’un décret du 28 février 1933 que l’État nazi proclama l’avènement de la communauté des Germains (Volksgemeinschft) de souche dite arienne. Ce texte antisémite, fondateur d’une discrimination, autorisa la suspension des droits civiques élémentaires aux Juifs. Cette mise au pas (Gleichschaltung) pris la main sur tous les pouvoirs, exécutif, législatif, judiciaire et religieux, transcendant les libertés élémentaires et les droits naturels. En 1934, Adolf Hitler se fit consacrer tout à la fois Führer et Chancelier du Reich. Par association, Emmanuel Macron fit la même chose durant l’état d’urgence, dit sanitaire, en récupérant à l’Élysée le pouvoir législatif, par interdiction des audiences, et en promulguant des ordonnances et décrets au lieu et place des lois qu’il fit néanmoins voter sous la contrainte de l’urgence et de l’exception, non sans avoir au passage manipulé le Conseil constitutionnel sous la manche du népotisme.
Voilà pour expliquer la relation entre le décret nazi susvisé et l’état d’urgence (Loi n° 2020 du 23 mars 2020) décrété en Conseil des ministres sous la dictée du Président Macron ; voyons-là un régime d’exception qui aura interrompu toute la chaîne des droits constitutionnels. Même après la levée de ce siège (confinements et couvre-feux ; lois du 31 mars 2021, du 5 août 2021 puis du 30 juillet 2022 entre pass-sanitaire ou vaccinal), de lourdes séquelles entravent encore à ce jour certaines libertés essentielles. Ces dispositions imposées avec empressement et violence sous le coup de 84 ordonnances relatifs à 35 codes, persiste encore à ce jour à créer un climat anxiogène, en répandant une hypocondrie quasi paranoïde chez les sujets les plus fragiles. Cette manœuvre perfide entraîne la discrimination, à l’image du pass-sanitaire et son QR Code TAC entravant l’exercice de droits fondamentaux contre ceux qui refusent le vaccin-Covid. Cet interface de l’étoile jaune imposée aux Juifs par les nazis, trouve sa réplique depuis le règne des Abbassides au IXème siècle, où les Hébreux devaient peindre un singe devant leur porte. Même si le pass-sanitaire a été levé, il n’est pas abandonné car déféré sous l’autorité du ministre de la Santé et prêt de nouveau à faire feu, sans même en passer par un état d’urgence. Mais un autre saufconduit attend en embuscade sous l’enseigne du climat (pass-CO2), qui résultent de lois liberticides à l’instar du vaccin-Covid. Ce paradigme de l’enfermement et de l’inquisition, aux évocations tout à la fois mondialiste et collectiviste, est conduit en coulisse par une Fondation hégémoniste : la World Economic Forum ; une secte initialement implantée à Davos en Confédération helvétique.
L’école mondialiste se fonde en une doctrine politique globaliste, laquelle rejoint paradoxalement le collectivisme – plus dans la forme que dans le fond – en annihilant les identités individuelles et les velléités patriotiques, requalifiées par diabolisation de nationalistes, de souverainistes ou de populistes. Dans un esprit interventionniste et prédateur, à la façon des régimes totalitaires, cette œcuménicité, par le pouvoir de l’argent, tend à se coaguler entre des personnes douées pour gagner et dominer les masses, d’où un symbole fort pour un suprématisme initiateur d’un ordre nouveau. Cette auberge espagnole, entre membres influents ; financiers, industriels, politiciens intellectuels de gauche, syndicalistes, se mêlent au sein de la secte WEF ; un lobbying qui se développa en 1971 sous la glose de Klaus Schwab. En filigrane, voyons ici un tropisme récurrent entre gens puissants et fortunés, lesquels s’agrègent avec l’objectif de soumettre les libertés inaliénables des États souverains au dictat d’une idéologie dominante.
Le processus consiste à prendre la main sur les dirigeants nationaux, d’abord en les convainquant puis en les soumettant aux desseins supérieurs et ambitieux de cette puissante nébuleuse qui convoite de dominer le monde, tel un suprématisme de genre riche ou de race dominatrice. Sous des dehors honorables, la stratégies porte sur la flatterie, un pharisaïsme de paroles en l’air et de démagogie outrancière, comme en faisant figure d’écologie, de lutte contre la pauvreté, ou encore pour contribuer à la recherche dans les domaines de la santé et du mieux-être social. Mais en toile de fond, tout ce qui nuit à la montée en puissance de ce pouvoir régalien doit être gommé ; exit la démocratie et les droits cardinaux que sont les libertés, la vie privée, la sécurité et la résistance à la pensée unique et aux contraintes jusqu’à l’oppresson.
Emmanuel Macron est de ceux-là qui a rejoint le clan des « Youg Global Leaders » de 2004, un leadership qui prône la « grande réinitialisation » (The great Reset). Ce pourquoi ce chef d’État français usa du vocable « déconstruction » pour exprimer son mépris des valeurs historiques et le dénie de la culture de son pays ; une crispation derrière l’héritage commun jugé indivis par Ernest Renan (Conférence du 11 mars 1882, « Qu’est-ce qu’une Nation »). Aux antipodes, l’État-Macron, c’est avant tout le théâtre du simulacre et du néant, le rejet viscéral de l’indigénisme, autrement dit tout ce qui rappelle les hommes depuis le terreau vivant de leur histoire ; soit dit une pulsion viscérale de la mémoire patriote de la vieille Gaule.
Ce pourquoi Emmanuel Macron aspire à cet empire planétaire sous le commandement du WEF, car la France étouffe ses prétentions mondialistes. Alors il faut tout abattre, arracher l’Hexagone de sa souche multimillénaire pour la livrer à l’anonymat d’une ruche habitée d’insectes sociaux, après l’avoir bradée aux puissances étrangères et livrée à l’anarchie islamique par la voie des réfugiés. Sa réélection en 2022 n’est qu’une étape obligée dans son ascension mondialiste, car à terme, ce qui restera de la France se consumera de l’intérieur sous le lobbying des faiseurs d’opinion et du dénie du libre-arbitre. Pour parvenir à embraser ce qu’il reste encore debout de la France, l’État-Macron aura donc joué la partition, comme en jetant l’opprobre sur des citoyens circonspects, faisant des uns des mercenaires contre leurs compatriotes qui pensent différemment, même dans la légitimité du droit positif. Nous entrons ici dans une logique de discrimination et de haine, sous l’empire de la peur.
Entre une maladie et son antidote, ou l’aversion gouvernementale de l’État-Macron contre les gilets jaunes puis plus tard contre les antivax, évoquons l’exemple d’une ignominieuse mise en scène de l’État-Macron pour maintenir la psychose, notamment avec un ministre de la Santé, Olivier Véran qui tira à boulet rouge sur une malheureuse soignante exerçant dans un Ehpad landais de Pontonx-sur-l’Adour. Au motif qu’elle n’était pas vaccinée, elle fut clouée au pilori, traitée comme une renégate devant les antennes nationales, alors qu’elle ne fut en aucune façon responsable d’une quelque contamination ; ni malade ni décès constaté a posteriori sur place par le corps médical et la presse (Voir p. 27/28 et 59 en bibliographie in fine, « La quinquennat 2017-2022 entre psychose et délation »). Or, à cette époque récente, nul ne pouvait encore ignorer que les personnes vaccinées pouvaient également transmettre le virus, autant que n’importe qui d’autres vacciné. Pourtant ce jour-là, une cabale fut ourdie à l’aide d’une armée d’élus et de journalistes, pour diaboliser les non-vaccinés.
Tel fut la posture d’Emmanuel Macron en désignant une partie de ses concitoyens coupables d’attitude irresponsable, pour refuser une vaccination réputée préventive, en prétendant que les personnes non vaccinées mettent en danger la vie des leurs. En privant ces premiers de leurs droits civils alors que ces vaccins ne se sont absolument pas avérés prophylactiques, sinon nocifs, le mensonge se mua en appel à la haine, faisant des uns des sous-citoyens et des autres des inquisiteurs à la solde d’un régime félon. Tel est la stratégie morbide de cet énarque en furie qui procéda, à l’instar du régime nazi, à se servir du Peuple placé dans un climat anxiogène et répressif, pour se constituer une armée de collabos vaccinés, les plaçant dos à dos contre les citoyens qui font de la résistance, par une loi de discrimination chargée d’intolérance et de violence morale.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire
1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste
2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
4°) Telle une razzia de barbares, la macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France.
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Article(s) à lire :
Chez Macron, on fait n’importe quoi et on se croit tout permis.
« La grande tromperie imposée par le pouvoir est un abus de confiance caractérisé et permanent. »
Par Alexandre Goldfarb
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