La génuflexion de l’Élysée à l’islam – 2 –


Entre imposture et ignominies, se glissent d’étranges tractations entre l’Exécutif qui trahit les services d’ordre de la Nation face aux faiseurs d’émeutes

Par Daniel Desurvire


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La génuflexion de l’Élysée à l’islam

A) Entre imposture et ignominies, se glissent d’étranges tractations entre l’Exécutif qui trahit les services d’ordre de la Nation face aux faiseurs d’émeutes

En s’exonérant du devoir d’obtempérer aux injonctions judiciaires et plus généralement de prêter allégeance aux lois du pays qui les héberge, il en résulte peu de probabilité d’entrevoir une intégration à la citoyenneté française depuis cette communauté mahométane. Dans ce dernier cas d’espèce, le 27 juin 2023 à Nanterre, les motards de la police judiciaire étaient en danger, car ces délinquants souvent armés, refusent de se soumettre aux avertissements ou sommations, et se servent de leur véhicule pour renverser ou écraser les policiers qui les interpellent. Au surplus, dans une banlieue fortement peuplée de Musulmans solidaires, interpeller des voyous constitue un acte de bravoure, car derechef affluent des meutes de coreligionnaires hostiles, voire enragés, lesquels encerclent les forces de l’ordre, les menacent et les malmènent avec violence. Si l’un des agents sort une arme et s’en sert pour se défendre, ce fonctionnaire sait pertinemment que la justice cèdera aux pressions de ce lobbying cultuel au niveau national, faisant de ce dernier l’otage tout à la fois de ces barbares haineux, et de l’Exécutif qui se retranche misérablement dans l’abdication.



Ce fut ici un cas de figure avec l’une des deux motos renversée et le motard accidenté, avant que l’autre agent ait tiré un coup de feu sur l’agresseur au volant, lequel cherchait à s’enfuir, après que ce policier ait souscrit aux injonctions de rigueur au délinquant Nahel Merzouk* au volant. Ce délinquant était déjà connu par le commissariat pour avoir été, quelques temps auparavant, appréhendé pour délit de fuite. Il est avéré que le nombre de victimes policières est très supérieur à celui des délinquants et criminels dans le cadre de procédures de contrôle et d’arrestation légales. Que nenni, le pouvoir régalien ne fait acte de contrition que pour ces voyous dès lors qu’ils sont jeunes et issus de l’immigration, derrière l’embarras qu’il ne faut pas désavouer la politique d’immigration de masse orchestrée par le chef d’État. De surcroît, le chantage permanent des émeutes incendiaires se traduisant en razzia (ravage et attaque de pillards ou ghazi en langue arabe), lors d’une interpellation qui aurait mal tourné, constitue une arme dissuasive de ces communautés claniques pour servir la cause des insurgés islamiques, afin de répandre la terreur, faire plier l’état de droit et renverser les codes de vie du pays d’accueil.

Pour se dédouaner, Emmanuel Macron, le grand vidangeur des Français de terroir pour un grand remplacement, publia une loi n° 2023-656 du 25 juillet 2023 « relative à l’accélération de la reconstruction et de la réfection des bâtiments dégradés ou détruits au cours des violence urbaines survenues du 27 juin au 5 juillet 2023 ». Quant à l’ordonnance n° 2023-660 du 26 juillet 2023 qui suit, avec son rapport et leurs applications, ces textes sont pour le moins lapidaires puisque la loi qui les encadre est un vacuum sans aucune substance.Pour cause puisque ce texte exclut de son horizon réparateur les pillages, les attaques et incendies relevant du domaine privé des commerces, artisans PMA et TPE, ainsi que des véhicules de salariés privés de leur moyen de déplacement pour se rendre au travail. La loi ne manifeste son intérêt que pour l’urbanisme, l’immobilier et les équipements publics, alors que des milliards de dégâts concernent très majoritairement la propriété des personnes ainsi laissées-pour-compte. Gageons que les fonds seront prioritairement consacrés à revitaliser les cités péri-urbaines saccagées par les émeutiers, dont les crèches, écoles, dispensaires et équipements liés à la vie sociale et sanitaire de ceux-là mêmes qui les auront détruits. De sorte que l’État-Macron procède exclusivement à dédommager les vandales qui ont cassé, brûlé et pillé les biens d’autrui, sans même une parole de compassion pour les vraies victimes de ces premiers.

Un tel degré de mépris présidentiel se mesure au contenu de cette loi, ou seuls les délais des marchés sans publicité et travaux sont raccourcis, mais rien qui ne concerne les graves préjudices matériels et personnels des victimes privées, familles et entreprises, ni même ne fait pression sur les banques-assurances pour convenir de mesures d’exception après un tel sinistre majeur, infiniment plus important car étendu à tout l’Hexagone. Corrélativement, même une catastrophe naturelle ou technologique habituellement reconnue par arrêté ministériel (art. L 125-1 à L 125-6 et A 125-1 à A 125-4 du Code des assurances), à moindre échelle car locale, donc financièrement moins dommageable qu’une razzia nationale, est mieux reconnue et traitée par l’État. Au nombre de structures professionnelles entièrement dévastées avec les matériels et installations, des dizaines de milliers d’emplois auront été effacés, faisant ainsi progresser le chômage actuel des six millions de Français que l’État répartit en six catégories pour mieux tricher sur une réalité qui l’incommode.

Enfin, est-il besoin de rappeler que ce seront les contribuables, les cotisants sociaux et assuranciels qui devront payer pour ces abominations d’expression raciste ? De surcroît, l’État s’oppose à faire rembourser aux casseurs et pyromanes, le montant des réparations en prélevant le coût de leur forfaits sur les allocations sociales des familles des quelques 3 243 interpellations, dont beaucoup de mineurs explicitement soutenus par leurs parents. Il en résulte que cette razzia indirectement organisée par le chef d’État, via sa politique de « déconstruction » de la France, ne trouvera pas de frein à son leitmotiv islamo-migratoire, ni de réponse à travers son incurie endémique, ni ne sortira des fonds depuis les comptes numérotés offshore garnis par les fraudes fiscales massives perpétrées par cette engeance de prédateurs et de corrompus.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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