Le Roi, la Reinette, et le petit pédant…

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Le Roi est là, vive le prince des ténèbres!

Par Gilbert Malaval




Le Roi est là, vive le prince des ténèbres!

Macron, dans son infinie pédanterie, reçoit Charles, le Roi sur le tard, qui n’est pas le meilleur symbole de la plus extraordinaire des royautés, comparé notamment à sa mère qui avait aussi acquis des lettres de noblesses bien au-delà de son sang bleu…
Mais pour le petit président très pédant d’opérette qui nous sert de chef d’état, en n’en étant qu’un ersatz de très piètre qualité, c’est le moyen de se parer d’habits bien trop grands qui lui vont comme un tablier aux cochons.

Aux yeux des français par ailleurs plongés dans une formidable récession économique qui fera date dans l’histoire d’une France à l’agonie, rongée par l’inflation galopante et l’endettement suicidaires, le faste de Versailles sera ce soir l’image de trop qui fait mal à ceux qui se serrent la ceinture pour offrir notamment et entre autres folies, une victoire par ailleurs illusoire, à Zélensnski, non sans devoir se priver d’une énergie devenue rare et d’un prix indécent.


Il est des moments où la discrétion est d’avantage de mise, sauf à considérer rejouer une version nouvelle de “mais s’ils n’ont plus du pain, donnez-leur des brioches !”

La différence entre Macron et Louis XVI, c’est que ce dernier était un peu benêt, quand le premier précité se prend quant à lui pour ce qu’il n’est pas, uniquement frappé de lucidité et de franchise que lorsqu’il déclare vouloir emmerder son monde, au-delà des français, sa malignité étant sans frontières, qu’il laisse par ailleurs très ouvertes, sans pour autant remonter son image chez ceux qui nous inondent de leurs ressortissants, plutôt deux fois qu’une si l’on considére qu’ils font souvent beaucoup d’aller-retours à nos frais…

Même BFMTV et RTL commencent à relayer la nouvelle pauvreté et décrier l’insolence des mesures envisagées par la bande de godillots éculés de partout qui marchent dans les combines présidentielles, dont la vente à perte a été douchée fort justement par la grande distribution, laquelle au-delà d’être imbécile, avait une dose de cynisme qui n’a d’égale que la perversité de celui qui s’est pris hier soir à Versailles pour le Roi, d’un royaume en perdition où à défaut de brioches, les 160 convives dégustaient du homard bleu, faisant ton sur ton avec Charles III, et en grandes pompes, pendant que le peuple médusé coupait les cheveux en quatre, sans pouvoir récupérer une seule miette de cette fastueuse débauche.

Pauvre type! Grand genre et petit moyen en transe, en quelque sorte…

Seule consolation, le rappel en symbole du temps, qui sonna le glas  du despotisme,  même si Louis XVI, lui, était plus bête que méchant.

Gilbert Malaval

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Gilbert Malaval pour Observatoire du MENSONGE

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2 réponses à « Le Roi, la Reinette, et le petit pédant… »

  1. Avatar de Piau
    Piau

    Seule critique sur l’ensemble de l’article : Le Roi Louis XVI, doublement assassiné par les armes et par la propagande Républicaine était un homme fin, lettré et passionné de sciences. On peut faire un parallèle entre la réputation exécrable qui lui a été faite, pour le salir et excuser les folies de la terreur, avec les propos nauséabonds de quelques arrivistes s’auto-proclamant insoumis. Tout en maintenant les réserves sur la forme, j’adhère au fond du constat qui remet le petit crotté à sa place, hors du costume trop grand, qu’il se croit capable d’endosser.

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  2. Avatar de Denis Bardin
    Denis Bardin

    Excellent diatribe contre le roitelet local qui en attendant bousille la France!

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