Le syndrome de Miss Tik

dans


Ne cherchez pas sur le Vidal, c’est moi qui l’ai inventé…

Par Gilbert Malaval



“La vie persiste au sein même de la destruction.” Gandhi

Ne cherchez pas sur le Vidal, c’est moi qui l’ai inventé…
J’ai coutume de dire que tous les raisonnements sont bons, à condition qu’ils soient réversibles.

Miss Tik, elle pique toujours, elle a des idées très arrêtées, elle est donc de parti pris, elle ne veut pas voir la réalité en face, elle a ses têtes, et évidemment, elle détient la vérité.

Ainsi, en est-il de certains individus qui font illusion, comme de bien d’autres sujets, surtout lorsque la mise en scène est très bien orchestrée, et que le matraquage est subtil, mêlé de culpabilité, en tous cas, au début, jusqu’à ce qu’un événement inattendu survienne qui prend tous les raisonnements à l’envers, et que le rideau tombe brutalement portant le projecteur sur la contradiction qui « tue » et de fait suicide Miss Tik qui est prise à revers.


J’ai nommé LCI comme malade de mon syndrome, laquelle nous avait déjà fait le coup de la piquouze, remis le couvert avec Zélenski et s’est retrouvée toute nue grace ou à cause de l’attaque sur Israël qui éclaire sur le fond et la sincérité d’un discours qui ne tient plus vraiment la route.

Comment prendre au sérieux un média qui incite à la haine et séduit par des artifices dont certains pouvaient même mettre le feu, si l’on va jusqu’à évaluer le fond du sujet sur la profondeur du décolleté de quelques égéries très excitées à dessein qui attirent l’invité qui s’aimantera plus à ces accessoires qu’au tréfonds du susdit sujet très guerrier et tellement moins moins alléchant.

Si l’on parle en effet de l’analyse des conflits, de leurs causes et même de leurs  remèdes, LCI s’est surpassée dans l’horreur et dans la contradiction jusqu’à voir et entendre Brunet en direct faire un numéro d’équilibriste, entre mon syndrome et celui de Stockholm qui se voudrait expliquer à mots couverts qu’il était prisonnier d’une ligne éditoriale  subie sur le fond, mais bonne sur la forme, et surtout très esthétique…

Le syndrome de Miss Tick, il est douloureux, et pour certains faibles d’esprit, il peut même donner des tocs, voire faire adopter Tik Tok, pour tout dire sans filtre ni aucune analyse!

Gilbert Malaval

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Gilbert Malaval pour Observatoire du MENSONGE

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2 réponses à « Le syndrome de Miss Tik »

  1. Avatar de Margueritte
    Margueritte

    Non seulement c’est très drôle mais en plus très vrai.

    J’aime

  2. Avatar de Yves
    Yves

    Miss tic était une sorte de sorcière dans les histoires de Mickey, de donald et de ses neveux riri fifi Loulou…

    J’aime

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