La France est tombée entre les mains de détraqués qui ne savent même plus où ils vont. + article BONUS
Par Gilbert Malaval
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Zut à la fin !
Ce n’est pas vrai que la majorité des individus soit autrement que désireuse de concevoir des enfants par voies naturelles.
Dès lors les études qui consistent à vouloir inverser l’enfantement et même voir un homme porter un enfant, ne sont que des tripatouillages de grands malades qui poussent à considérer qu’il n’y aurait plus de différences physiologiques entre femmes et hommes, et que seul le désir serait le moteur.
Foutaise!
Cette tendance loufoque qui voudrait que tout le monde suive le dictât LGBT qu’il est mal venu de ne pas suivre, est une ÉNORME CONNERIE, et ce n’est pas parce que la mode est à laisser les minorités décider de tout par prétendue revanche salvatrice pour leurs esprits, qu’il faut les laisser imposer ce qui est une dictature qui va beaucoup trop loin.
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En outre, quand on voit ce que cela donne en France, qui est tombée entre les mains de détraqués qui ne savent même plus où ils vont, présidé par un âne qui lui ne sait pas où il habite en deux mots, il est grand temps de remettre les choses à leur place.
De la même façon, il faut arrêter d’avoir honte d’être juste normal et de se faire traiter de fasciste par ce qu’on est blanc, hétérosexuel, chrétien de surcroît, qui ose dire qu’il le revendique comme une normalité, qu’il lui convient de conserver avec toute ses valeurs, sans être contraint de se faire martyriser la pensée divergente de l’unique imposée, et d’accepter toutes mutilations souvent inesthétiques parce qu’elles seraient à la mode provocatrice, sans pouvoir non plus, l’exprimer…
Marre de ces hérésies stupéfiantes qui prennent souvent racines dans les herbes et la poudre dont on s’aperçoit que ce sont ceux que je dénonce abuser qui en consomment le plus, entre autres déviances, pour supporter finalement l’insupportable qui a été dépassé en ligne et parfois sans retour.
Nous ne vivons tous ces abus que par la dictature nouvelle qui a commencé avec celle de la pensée unique qui s’est agrégée le Wokisme, et autres cagades dont le racisme anti-blanc de blanc, qui baise encore à l’endroit, et c’est pourquoi ça suffit!
Les CONNERIES les meilleures, sont toujours les plus courtes, et j’ose dire qu’il faut reprendre la main devant toutes ces dérives, et l’exprimer haut et fort.
La vraie démocratie, c’est tout le contraire de ce qu’elle est devenue et je rappelle une évidence oubliée, à savoir que la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres, dont l’exhuberence et la discrétion doivent s’accommoder!
Gilbert Malaval
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Gros malaise à Bruxelles…
Tout le monde se rappelle le scandale des contrats passés par l’ignoble Ursula par de simples SMS avec Pfizer, dans un contexte que je qualifierais pudiquement d’incestueux.
La femme qui s’en est indignée et agi contre « l’ignoble » précitée alors que des procès confirmaient l’incongruité vaccinale contre le vilain virus, et obtenus, crois-je savoir, depuis peu et révélant notamment l’inefficacité expresse y contenue quant à la contagion et même la prévention véritable, est décédée le 29 novembre dernier d’une crise cardiaque qu’un complotiste avoué ne saurait pouvoir taire, y voyant une formidable coïncidence à ne pas passer sous silence.
Michèle Rivasi, puisqu’il faut l’appeler par son nom fut une peste pour la mère Ursula Van der Leyen, et n’a pas lâché, sauf le morceau, visiblement retardé le plus longtemps possible, et j’avoue que je m’attendais d’avantage à un règlement de compte à OK Coral, pour nettoyer le terrain, y voyant plutôt passer la coupable, à l’instar de tous ceux qui deviennent gênants.
Curieusement, ici on se rapprocherait plutôt de l’imposition du silence en mode mafieux, si d’aventure on considère que la crise cardiaque de Madame Rivasi n’a rien d’accidentelle, ça va de soi…
Au pire, et à défaut d’une réduction au silence, c’est une punition qu’il pourrait y avoir eu, et j’imagine qu’en bons démocrates, en tous cas annoncés comme tels, les membres de la commission poussés par quelques élus proches, désireux de dissiper tous doutes, voire malentendus, vont investiguer et faire procéder à une enquête approfondie qui lèvera une ombre légitime, sur une mort aussi opportune,
Dédé qui ne s’embarrasse jamais avec les méandres d’un raisonnement complexe, même si très bien construit, dit de cette perte qu’elle ne l’est pas pour autrui, qu’il corrige aussitôt au féminin par « la truie ».
Ah! J’oubliais, un détraqué issu de la même fabrique, a encore frappé…
Cela deviendrait juste d’une banalité affligeante, s’il n’y avait de véritables victimes assassinées dans l’horreur, que certains ont filmée et dont les images insoutenables, provoqueraient une envie de révolte plutôt légitime…
Les experts nous expliquent d’ailleurs que la démocratie qui semble avoir changé de principes, ne permet plus d’interdire aux suspectés de dangerosité majeure, l’accès à toutes victimes qu’il leur viendrait à l’esprit d’attaquer.
Au même titre que l’on ne pourrait les empêcher de venir nous chercher à la maison et nous imposer leur terreur, nous ne saurions les bloquer même bardés de condamnations et certificats médicaux de déficiences avancées.
Si la démocratie d’aujourd’hui c’est celle-là pour laquelle on envoie des soldats et des flics au combat pour compter surtout le nombre des victimes offertes en sacrifice, il est temps d’en inventer une autre qui règle en passant les autres abus, tels ceux qui ont conduit aux Pass viciés, ou le soutien à des causes internationales toutes aussi suicidaires pour nous qui suivons et devrions mourir idiots pour des intérêts très privés qui exercent surtout leurs dictats.
Nabila vous redit « Allô quoi » sans avoir à réfléchir que la démocratie qui suicide, personne n’en veut plus !
Ce n’est d’ailleurs pas plus une démocratie dont s’agit que du libéralisme quand c’est une petite élite très financière qui tire les ficelles, après avoir inféodé la direction des états auxquels elle prête, et racheté la plupart des médias qui instruisent le peuple à la pensée unique, du haut de leurs minarets en cinq jets de propagandes…
Mourir pour des idées, oui, mais de mort lente chantait Brassens, mais tant qu’à faire pour les bonnes, et sans s’empresser en effet, de courir au suicide.
Gilbert Malaval
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