qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Par Daniel Desurvire

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De terrifiantes réalités
qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Prolégomènes 4

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

Les possibles échecs d’imprécision, de dosage ou de spéculations hasardeuses, et les conséquences parfois irréversibles de folles expérimentations sans recul et qui retombent sur des populations et la nature, effaceront vite les velléités des plus ambitieuses, si tant est qu’une prise de conscience stoppe l’inanité et la sottise humaine. La compétition orgueilleuse pour la gloire n’élèvera pas au zénith l’insouciance criminelle de leurs inventeurs, ni la vénalité des investisseurs seulement animés par l’avoir et le pouvoir. Parmi les désastres anthropiques de nature technologique – la cindynique, – citons :

• les catastrophes des centrales nucléaires de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), ainsi que du retraitement impossible avant longtemps de leurs déchets contaminés hautement radioactifs, lesquels constituent une autre catastrophe au quotidien,
• les explosions industrielles et chimiques de Seveso (1976), Bhopal (1984), et AZF à Toulouse (2001),
• les tragiques marées noires (Torrey-Canyon [1967], Amoco-Cadiz [1974], Haven [1991]…),
• les intoxications en aérosol ou au contact cancérigènes : PCB (polychlorobiphényles), amiante, huiles minérales, solvants, silice cristalline etc.,
• les lourdes conséquences atmosphériques des chlorofluocarbones (CFC) et des gaz d’échappement (CO2, CH4) sur la couche d’ozone, mais aussi le dioxyde d’azote avec ses symptômes pathogènes respiratoires, les particules toxiques d’hydrocarbure aromatique polycyclique cancérigène etc.,
• et le scandale du sang contaminé au VIH, des greffes de prothèses PIP au gel toxique, etc.,
• la recherche fondamentale qui fabrique des virus synthétiques (des frankenvirus) pour des motifs prétendument préventifs, avec le danger collatéral des fuites contaminantes et du bioterrorisme qui peut s’y infiltrer ; ce qui dans un premier temps multiplie les pandémies dans le monde,
• enfin les vaccins exploratoires à vecteur génique pour prévenir la Covid-19, injectés sans randomisation ni essais cliniques, en se servant de la naïveté des populations qui sont ainsi vues comme des rats de laboratoire. Ces remèdes prophylactiques auront au final induits plus de mal, blessés et tués, davantage de populations que le virus lui-même censé être combattu par ces injections exploratoires ; d’où l’apparition de millions de maladies auto-immunes opportunistes, lesquelles impacteront possiblement les générations à venir par transmission génétique.

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Non satisfait d’un échec patent et retentissant pour d’avoir échoué sur tout le parcours de cette expérience avec la crise dite sanitaire, voilà que l’EU Digital Covid Certificat, au format interopérable, lequel devait disparaître en 2023, vient de rebondir avec une reprise en main de l’OMS. Cette annonce parut au magazine Nexus le 12 juin 2023 avec la déclaration de Stella Kyriakides, commissaire européen à la santé, pour avoir signé avec ce rameau « Santé » de l’ONU un partenariat en vue de faire revivre le cauchemar qu’aura vécu l’Europe durant près de trois ans. Entre la corruption du Big Pharma et des élus politiques qui voudraient réanimer le spectre de leur fiasco, deux objectifs leur importent ; ne jamais admettre la débâcle et les gabegies qui furent le fruit pourri des campagnes de vaccinations subcontinentales, mais au surplus de renouveler l’expérience maudite des états d’urgence à la façon de coups d’État, où la vie s’est brusquement figée, avec personne dans les rues et dans les airs, puis toutes les populations assignées à résidence.

Quel dictateur ne pourrait pas rêver d’une telle audace, en faisant passer cette mascarade en une sinistrose vécue comme un scénario catastrophe ? Ce bluff, nonobstant fort bien réussi, aura donné l’idée aux apprentis dictateurs de certains États de l’Union, dont la France, qu’il est possible de faire taire tous les citoyens du monde en insufflant la terreur d’une abomination ; le mobile d’une psychose conçu à l’état d’un frankenvirus entièrement fécondé en laboratoire par ces mêmes conjurés. À l’aide des vaccins placébo, car inefficaces contre le virus et les contaminations, sinon pathogènes quant au système immunitaire des victimes piquées, ces injections préventives ont pour seules fins de prolonger la torpeur d’un climat anxiogène, et procurer l’illusion que leurs dirigeants peuvent les sortir de ce mauvais pas. Pour preuve, Emmanuel Macron, le plus félon d’entre tous, aura réussi à se faire réélire, après avoir effrontément abusé de la confiance de ses électeurs ; une mystification sur la soi-disant innocuité de ces injections expérimentales et leur prétendue prophylaxie aussi redoutable que le virus censé être combattu.

Quant aux pseudoscientifiques de l’OMS, qui auront exagéré jusqu’à cinquante fois la létalité du SARS-CoV-2, mais jamais avoué les conséquences pathologiques et mortelles desdits vaccins-Covid, de quoi cette institution voudrait protéger le monde en internationalisant la recette clonée du pass-sanitaire européen, dont plus aucun État membre ne veut ? Ici, nous retrouvons les mêmes complices autour de cette arnaque à la pandémie, avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, mais aussi en arrière-plan la secte mondialiste World Economic Forum qui fomente les pires projets pour l’humanité. Le but serait d’imposer à tous les États de la Planète un réseau sanitaire pour contraindre les populations à voyager avec un ausweis vaccinal, en préparant les esprits à une prochaine catastrophe épidémique, ou autre motif humanitaire dévoyé.

Sauf que l’aboutissement recelé de cette vaste entreprise de surveillance, avec l’adoption d’un carnet de vaccination transnational, s’organise derrière un faisceau de renseignements aboutis, pas seulement sur la nature des vaccinations numérisées, mais d’une totale connaissance biométrique des individus. Ainsi fichés et condamnés à se voir suspendus de leurs droits pour des motifs controuvés qui n’auraient rien de sanitaires, car les desseins sordides de ces conjurés seraient d’inoculer dans la puce de ce nouveau pass, des mouchards électroniques pour tout ce qui relève de la vie privée et professionnelle de leurs détenteurs en déplacement. Derrière le paravent de ces dossiers médicaux, faisant office de réservoir d’informations pour tout le reste, le directeur général de cette organisation, Tedros Adhanom Ghebreyesus, tente de ficeler ce lugubre projet sous des dehors respectables, comme en cas de situation d’urgence, de conflit ou de crise climatique. Ce pass promet d’innover de futures fonctions inquisitoriales et géolocalisables pour servir une mondialisation liberticide.

Comme cela est la règle dans ce capharnaüm où se mêle la prévarication et le mensonge, le réflexe d’honorabilité du patron de l’OMS, pour faire passer ce flicage internationalisé, prend appui sur le mobile charitable envers les pays du tiers-monde ; les PMA : « Une attention particulière sera accordée aux possibilités équitable de participation des pays à revenu faible ou intermédiaire, qui en ont le plus besoins ». Autrement dit, se faire piquer, pour recevoir un principe actif dans le corps prétendument préventif, relève non seulement de l’hypocrisie et du mensonge, mais d’une rupture de l’intégrité physique derrière une vaste conjuration. Quant à ce répertoire de données sur les dossiers de santé, il sera progressivement développé avec un départ des inscriptions déjà ouvert le 5 juin 2023, d’où un fichier informatique qui autorisera les autorités nationales à « vérifier la véracité des dossiers se santé numérique », entre autres passeports pour justifier de la concordance avec le voyageur. Évidemment, cette disposition n’entre pas dans un objectif anti-terroriste, car il faudrait pour cela que les États islamiques entrent dans ce jeu, et que les activistes ne soient pas eux-mêmes avisés de ce type de renseignement.

Le possesseur d’un tel pass ne peut savoir ce que contient l’empreinte du microprocesseur greffé sur cet ausweis sanitaire, à savoir les données personnelles d’identification et leur profil professionnel, politique ou autre, lesquels naturellement ne sont ni des terroristes ni des personnes infectées, mais des citoyens vulnérables à la merci des caprices politiques et des indiscrétions des gens de pouvoir. Autre contre-vérité, l’OMS prétend avec audace ne jamais détenir des informations personnelles autour de ces certificats, pas même le nom des titulaires à travers ce réseau mondial de certification numérique, alors que c’est précisément cette organisation qui collecte et détient ces données privées à la faveur de l’établissement de ces pass-sanitaires d’un genre nouveau. De qui se moque-t-on ? (Source : 20 minutes, 21 juin 2023).

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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