qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Par Daniel Desurvire

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De terrifiantes réalités
qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Chapitre 9

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

A – Ce que les vaccins-Covid ont engendré de désastre n’est que le prélude d’expérimentations d’implants nanométriques encore plus effrayantes

Les vaccins-Covid auraient été les précurseurs de cette idée pirate, dont l’usage qui en est fait ne relève pas de la fiction, mais de la faisabilité d’un tel flicage et parasitage d’indiscrétions recueillies depuis ces cyber-mouchards indécelables connectés sur un réseau. Le téléphone portable, durant la crise sanitaire, s’était par anticipation constitué en droit de passage, une autorisation de consommer, de se déplacer, de travailler et de vivre librement ; un ausweis porteur d’une discrimination portée à bout de bras comme un salut nazi pour s’identifier ! Gordon Moore, l’un des fondateurs d’Intel, avait déjà énoncé une loi empirique pour doubler tous les deux ans la capacité de mémoire (SSD, virtuelle et logiciels enfouis) des dispositifs de composants électroniques élémentaires, ainsi les transistors ancêtres des microprocesseurs (BJT et FET), à ce jour de la taille nanométrique.

À présent, la technologie ayant progressé, c’est la liberté qui a régressé, car l’obéissance rampante aura converti en paillasse le citoyen dont nul reproche ne saurait lui être adressé. En vertu de l’article 16 du Code civil et l’article 1111-4 du Code de la santé publique, tout citoyen à le droit de refuser un médicament ou de s’opposer à une injection. Que nenni, l’État-Macron n’en eut cure des codes et des lois qui lui font obstacle, car il se sera constitué une armée de collabos d’un genre nouveau ; des mercenaires stipendiés investis du droit de moucharder à l’ARS le contrevenant au vaccin, comme si le citoyen non vacciné était un délinquant. D’ailleurs, l’obligation « non obligée », selon la formulation hypocrite du pensionnaire de l’Élysée, jamais en panne de félonie et d’habileté démoniaque, aura convaincu plus 80 % des Français à se prêter à cette mascarade vaccinale sous perfusion discriminatoire, alors même que plus de la moitié de ceux-là s’y seront prêtés par contrainte.

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Par cet odieux chantage, à peine de perdre la plupart de leurs droits civiques indispensables pour vivre, dont leur emploi et l’autorisation de voyager et de consommer, les citoyens se seront docilement inclinés devant un régime totalitaire, tandis que d’autres, récalcitrants, auront virtuellement cousus l’étoile jaune sur leur défroque, en fuyant les accès où le QR code TAC à jour était exigé. Comprenons que le régime totalitaire cité plus haut n’est pas exagérément qualifié, puisque l’état d’urgence, les confinements, les attestations, les couvre-feux, les masques et les distanciations ne se sont révélés par suite que des supercheries, puisque les vaccins-Covid n’auront ni stoppé les contagions, ni préservé les personnes vaccinées des formes graves de la maladie. Pire, ce sont les vaccins-Covid qui ont pris le relais des pathologies et des mortalités dans le monde.

Quant à la pandémie, passé la fin des hostilités de l’État en 2023, là où Emmanuel Macron a perdu sa guéguerre, le SARS-CoV-2 n’a jamais faibli, sans pour autant que ce virion ne se soit avéré plus dangereux qu’une grippe saisonnière dans le pire des cas. Les personnes non vaccinées se sont même révélées asymptomatiques après avoir une première fois contracté le virus, alors que les personnes vaccinées ne cessent de présenter des complications parfois très graves, après la répétitions anarchique de rappels qui interfèrent dans le processus naturel de l’immunité.

Voilà expliqué comment circula, depuis début 2020 à nos jours, la désinformation, les mensonges et la corruption de ce régime, où la France y a perdu plus de mille milliards d’euros pour faire fructifier les industries du Big Pharma, avec en retour la distribution des royalties ou commissions occultes versées sur les comptes numérotés des paradis fiscaux pour les fidèles collaborateurs de cette arnaque du siècle. Quant au corps médical stipendié, les centres de dépistage et de vaccinations firent pléthore ! Dans ce schéma nauséabond, l’électronique fut le moteur de cette vaste prévarication, où le téléphone portable aura servi d’arme stratégique pour emmener les foules à accepter l’inacceptable dans un climat anxiogène paroxystique, où l’hypocondrie vira en syndrome paranoïde, et la psychose le prétexte pour faire passer l’arbitraire et la félonie de chefs d’États sans scrupules. 

En attendant mieux avec des outils encore plus pointus que le smartphone et l’ausweis QR code TAC pour laminer les libertés, le processeur d’une puce « 5G » doté d’une antenne, d’une mémoire « x » Go de RAM et d’une intelligence intuitive quasi autonome (cybernétique), nécessite une lecture plus approfondie en contact avec l’épiderme (Voir plus bas). De sorte qu’il faudra encore patienter quelques années avant que la fréquence de transmissions sans fil soit possible depuis l’intérieur du corps humain, eu égard à la technologie actuelle encore balbutiante, mais aussi des législations qui autoriseraient de tels incursions sous la peau, ou depuis les organes internes du corps humain, comme dans le crâne ou l’œil. Mais ce délai, de moins d’une décennie n’est qu’une courte étape durant laquelle les politiciens, devant le progrès fulgurant des calculs quantiques, devront revisiter le droit positif de leur pays pour biaiser la démocratie, puis la rendre compatible à l’aide de ces pratiques liberticides déjà expérimentées avec la Covid-19, dans une société encore plus contraignante que « 2.0 ».

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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