L’intérêt général en pause ?

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31 juillet 2024

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Macron va-t-il en fin être obligé d’arrêter ses mesures dangereuses pour la société ?

Par Marianne Cheremetieff

L’intérêt général en pause ?

L’intérêt général ne sera pour une fois pas la victime expiatoire de nos politiques. Le gouvernement est dorénavant paralysé dans son action. Quel qu’il soit, pendant un an, il sera paralysé dans son action. Tout n’est pas négatif dans la vie. Il s’agit surement là d’une bonne nouvelle.

Fini les mesures économiques d’Emmanuel Macron qui a creusé le déficit plus qu’aucun autre président n’avait réussi. Les petites entreprises déposent le bilan comme jamais depuis le début de l’année. Les boutiques à louer ou à vendre sont légions dans nos rues. L’immobilier se casse la figure. Les choses s’arrangeront peut-être puisque le gouvernement n’interviendra plus…

Fini les aides à l’immigration décidées en catimini régulièrement par le gouvernement.

Fini pour le moment la régularisation systématique des médecins étrangers comme si en France, nos élèves étaient quasiment tous incapables de faire médecine.

Fini aussi, de justesse, la loi bioéthique sur le fin de vie. Elle commençait à prendre une tournure eugénique avec des personne âgées sélectionnées pour mourir en fonction de l’intérêt de leur famille! L’odieux allait bientôt avoir droit de citer dans la loi française au lieu d’améliorer l’accès aux soins palliatifs pour les malades en souffrance. Il faudrait un milliard et demi pour couvrir le territoire français de ces centres de soins palliatifs si nécessaires. On a préféré utiliser cette somme pour rendre la Seine baignable sans même y arriver. On se dit là aussi qu’un gouvernement paralysé est une bénédiction pour l’utilisation des deniers publics.

De nouveaux chantiers devaient être mis en action comme une loi de censure concernant internet et ses réseaux sociaux sous couvert de lutter contre les discriminations.

Bref, tout ça est suspendu.

L’intérêt général ne sera pas affecté par les idées de génie du macronisme. Réformer pour réformer ne ressemble à rien. Pendant un an, on va laisser les français tranquilles en réglant simplement les affaires courantes. Ce ne sera pas mieux qu’avant mais pour une fois ce ne sera pas pire!

Marianne Cheremetieff

Alors s’il n’y a pas de préférence nationale à quoi bon ou être Français ?

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