Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français.

Par Daniel Desurvire

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Autopsie du dernier des rois maudits

Chapitre 10

X – Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français.

Tout ce qu’a touché Macron depuis 2014, il l’a souillé ou détruit. La plupart de ses promesses s’évapore dans l’oubli et la négligence, sauf lorsqu’il s’agit d’annoncer de mauvaises nouvelles, car jamais il en est de bonnes au chapitre de ses mandats. Lorsque cet hurluberlu annonce de désastreux présages pour la France sur un plateau Tv, il ne fait que se dédouaner en prétendant que le pire est ailleurs, alors que le plus souvent il le provoque lui-même par son incompétence, sa négligence et sa malveillance. Ses discours sont creux, bardés de mensonges, seulement ajustés pour servir sa propagande aux accents populistes. Si les citoyens devaient identifier « l’ennemi numéro un » de la France, ne cherchez pas, il loge au 55 rue du Faubourg Saint-Honoré ! Un homme qui fait autant de mal à son pays et blesse ses concitoyens d’avanies, vampirise la fonction présidentielle de la France.

Sous le sceau de sa suffisance et de sa morgue, à de nombreuses reprises lors de ses déplacements en France et à l’étranger, Macron déclara vouloir « emmerder » les concitoyens rebelles aux vaccins Covid qu’il imposa avec menaces et violences. L’individu trouve plaisir à invectiver de-ci de-là ses concitoyens, jugeant les Gaulois réfractaires, les chômeurs de « fainéants », des Bretonnes salariées de Gad d’« illettrées » ; d’où les Français en général « Des gens qui ne sont rien », (Voir p. 27 et 111, « Emmanuel Macron, un Président ! Une anomalie présidentielle » en bibliographie in fine). Un chef d’État qui a l’audace d’insulter ses compatriotes avec une telle arrogance perd sa dignité et le droit d’être respecté pour sa personne, fut-il chef d’État. Macron ne mérite pas son rang, car il discrédite sa charge, et ne vaut que le mépris de ceux qu’il insulte.

Pour le reste de son bilan, tout n’est que cauchemar, échec, perdition, humiliation, chienlit, car l’effondrement de la France n’est pas une illusion, mais un fait incontestable pour ceux qui se donnent la peine d’analyser les résultats de sa gestion depuis les instituts de statistiques ou de diagnostic internationaux. Ce Président serait-il seulement capable de tenir un kiosque à journaux sans faire faillite ? Ne cherchons pas un soupçon de vérité dans les prétendues bonnes nouvelles publiées par l’Insee, ou des annonces ministérielles optimistes, puis de l’AFP, des AAI, API et organismes de régulation intérieurs, car ces agences sont entièrement dépendantes de ce régime corrompu par le mensonge et la dissimulation. Entre la dégringolade de l’Éducation nationale et du système de santé, la recherche fondamentale en berne, le budget de la défense spolié au profit de Volodymyr Zelensky à qui Macron fait don du matériel de l’armée française, le délabrement des administrations publiques, la déconfiture des outils de production, puis le chômage croissant, l’inflation galopante, l’insécurité liée aux déferlantes migratoires de réfugiés du tiers-monde, le paupérisme rampant, puis la hausse vertigineuse des prix, tout n’est que déboire et débâcle.

« Nous n’avons pas de baisse significative, très forte, ni à l’heure actuelle, ni en perspective », a prévenu Michel-Édouard Leclerc, invité du Grand Jury RTL-M6-Le Figaro-Public Sénat, le dimanche 24 novembre. « Toute l’inflation qui a été prise les trois années précédentes, elle est dans la poche de quelqu’un*(doit-on comprendre le pensionnaire de l’Élysée ?), ou elle est allée dans l’investissement de quelqu’un (Von der Leyen ?), et elle ne reviendra pas sous forme de bonus […] dans la poche du consommateur », a expliqué le président du groupe Édouard Leclerc (Cqfd) ! Lorsqu’un patron de la grande distribution ose s’exprimer ainsi, c’est vraisemblablement l’amertume et le dégoût que lui inspire ce régime décadent qui le pousse à vomir des propos aussi défaitistes.

Comprenons en filigrane que derrière la crise du Covid ; un frankenvirus, rappelons-le, conçu et fabriqué de la main de l’homme avec des apprentis sorciers associés aux laboratoires pharmaceutique pour produire des vaccins ad hoc, de pareilles arnaques sont fatalement suspectes de conjurations criminelles. Le tout fut fomenté simultanément au profit de quelques-uns (le Big Pharma, la finance offshore, les richissimes adeptes de la secte World Economic Forum, des grands élus spoliateurs des deniers publics avec leurs chevaliers d’industrie…). Cette voyoucratie en col blanc se gava – et se gave encore – à milliards d’euros, avec le concours les chefs d’États les plus perfides autour de la présidente de la Commission (UE). Cette forfaiture fut sans nul doute le détonateur de l’inflation, de l’accélération du chômage et de la baisse brutale du pouvoir d’achat qui concourent à la misère de millions de Français. En pâtissent les citoyens du monde, dès lors qui n’ont pas eu la chance d’une présidence dubitative, circonspecte ou réfractaire aux vaccins de tous les dangers, en échappant au démon de cette corruption internationale.

Pour se dédouaner de leur incurie, les dirigeants politiques qui ont dépouillé leur pays comme la France, favorise la cryptomonnaie pour réinventer des liquidités sous forme de monnaie de singe (ainsi l’euro numérique), afin de renflouer les établissements bancaires nationaux de capitaux virtuels. Tandis que les banques étrangères prêtent au chef de l’Exécutif français des fonds à taux excessifs, ces devises servent ce dernier à financer sa guéguerre en Ukraine. À la faveur de cette prodigalité payée par le contribuable français, l’homologue ukrainien de notre chef d’État achète un château en Écosse, se vautre dans les produits de luxe à Paris, et garnit ses comptes obscurs au cœur des paradis fiscaux. Mais ce n’est là que la partie émergée de l’Iceberg, car les dividendes se thésaurisent dans les poches de ces grands élus et leurs compères autour de ce conflit avec le trafic d’armement, comme il en est avec les vaccins Covid que concocte le Big Pharma, après que des laboratoires de virologie aient secrètement répandu le poison de cette pandémie : le frankenvirus SARS-CoV-2.

Puisque ces sociétés extraterritoriales ont une existence légale, alors qu’il serait possible juridiquement de les interdire, comprenons que le monde politique facilite les transferts d’argent vers ces sociétés financières offshore au profit des fortunes constituées par d’argent sale ; celui du crime comme celui des financements politiques occultes, dont le produit passe dans le ciel de Bercy sans jamais y être fiscalisé. À la faveur de ce nerf de la guerre, nombre de ces candidats gagnants dans un système électoral à deux tours, sont assurés des coalitions d’opportunité contre-nature, même les plus sordides. L’électeur grugé dans l’ignorance de ce jeu tronqué, se fera à chaque fois piéger par des jeux d’alliances préméditées au second tour, bien que contre-nature. Curieusement, le monde politique semble solidaire face à ces duperies électorales, car tous pensent que leur tour viendra au moment d’en profiter.

Ici, la démocratie se fait le jeu des tricheries et des combines, où même une majorité écrasante de suffrages au premier tour, se fait éliminer au second tour par des minorités pourtant évincées au premier tour des élections. Cette mascarade, qui fait la part belle aux manigances les plus perfides ; de l’extrême gauche aux républicains en passant par les opportunistes écolos et socialistes, sous l’appellation d’une social-démocratie française, se travestit de bons mots qui sonnent bien aux oreilles candides dans ce potlatch agrémenté de manigances et d’artifices. Or, c’est dans ce bouillon de culture que l’arbitraire d’une autocratie délavée de partis politiques sans âme, ni probité ni consistance, que se fomentent les dictatures les plus sournoises ! Et là, ne doutons pas que Macron, l’acrobate de ces stratagèmes, se positionne en embuscade !

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire :

I – La France, bientôt dépendante des aides de la Banque mondiale pour le tiers-monde

II – Pour Charles De Gaulle, « La civilisation musulmane se posait comme un corps étranger, inassimilable à l’histoire de la Nation française, produit de la civilisation chrétienne ».

III – Du collectivisme communiste à la social-démocratie des États capitalistes, le mondialisme ne saurait correspondre à la vision d’une civilisation achevée

IV – À l’effondrement des outils de production, succède la braderie des forces vives de la Nation

V – À ce jour, il faudrait remonter au Gouvernement provisoire de Vichy pour trouver une situation sanitaire, sociale et économique aussi désastreuse en France

VI – la France de Macron n’a plus d’argent, plus guère de performance industrielle, ressemble à une friche d’usine, mais avec un faste présidentiel à la Ceausescu ou à la Bokassa

VII – Idiosyncrasie présidentielle et catapultage des valeurs honorables vers les soubassements glauques de l’Élysée

VIII – Question débauche, la mode LGBT et le wokisme ne font pas dans la dentelle !

IX – Les bacchanales d’un chef d’État en ricochets de son égérie Ursula von der Leyen, et en réponse aux intrigues du Build Back Better Plan de la secte WEF

X – Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français

XI – Psychologie sociale et endoctrinement fondamentaliste à la croisée des chemins

XII – Épitaphe en guise d’épilogue

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