L’UNRWA : nerf de la guerre du terrorisme 4


Par Daniel Desurvire

Temps de lecture = 5 minutes

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Il faut dire ce qui est et là on assiste à un crime contre l’Humanité !

4°) Tuer l’ennemi auto-proclamé dans le Coran, suffit à combler l’existence obscurantiste des décérébrés mahométans

À ce jour, le Jourdain irrigue deux berges : sur la rive jordano-syrienne, au milieu d’un terroir rocailleux et aride, se dressent des oliviers et dattiers, où la seule activité consiste à ramasser les fruits. Du côté israélien, jadis tout autant désertique, on y découvre des cultures verdoyantes irriguées, des palmeraies, des serres, des kibboutz, des industries et une technologie de pointe que l’Occident convoite. Mais pendant que les kibboutznikim œuvrent à convertir le sable en richesses agraires, d’autres, les Palestiniens depuis la bande de Gaza à la Judée-Samarie, ne font que vivre avec les dons des pays riches et de l’UNRWA, via l’ONU. Ces contributions, qui ne sont pas le fruit d’un travail, mais qui se convertissent plutôt à acheter des armes et des roquettes, servent aux islamistes à honorer la réalité du Coran ; celle d’une autre shoah sur fond d’arabesques dorées, par leur gourou atrabilaire et cyclothymique.

Pourtant dans ce Proche-Orient, seul l’État d’Israël offre du travail, des soins hospitaliers et des richesses aux Musulmans en commerçant avec eux ou en leur offrant des emplois, alors que les Palestiniens sont systématiquement refoulés par les États arabes environnant (Égypte, Liban, Jordanie, Syrie, Irak etc.), lesquels, trouvent ces coreligionnaires improductifs, turbulents, encombrants ; des belligérants indésirables quant à leur offrir l’asile et le travail. À ce propos, rappelons le massacre de milliers de Fédayins, le 12 septembre 1970, par le Royaume hachémite du monarque Abd Allah ibn Hussein de Jordanie, cela avec l’aide militaire de l’armée syrienne. Certes, ce raccourci ne plaira pas à tout le monde, mais la solidarité musulmane ne va pas jusqu’à accepter une couche de pauvreté et de terrorisme en plus de la leur, même si elle leur ressemble, car là se termine la charitable philanthropie de l’Islam ; une légende ressassée mais qui ne se retrouve aucunement dans la réalité.

Dans un communiqué du 18 août 2013 de Ghazi Hamad, un fonctionnaire du ministère des affaires étrangères, à la solde du Hamas, s’est résolu à admettre que ce sont les Égyptiens et non les Israéliens, qui ont transformé la bande de Gaza en une vaste prison à ciel ouvert, cela en fermant la circulation des Palestiniens au passage de Rafah depuis le 30 juin de la même année, en particulier durant les fêtes mahométanes de l’Aïd al-Fitr, mais aussi à d’autres périodes par le passé. Paradoxalement, la gente distinguée de la diplomatie sociale-démocrate ne fait pas état de cette répression entre Musulmans, dès lors que l’État d’Israël y est étrangère. Pourtant, la dernière fois que des ressortissants occidentaux (devant l’ONU, les ONG et les pays favorables aux Palestiniens) ont tenté de protester devant le terminal de Rafah, les forces égyptiennes n’ont pas hésité à lancer l’assaut et de les expulser manu militari.

Les Palestiniens, qui ne travaillent pas ou presque pas, reçoivent des dizaines de millions d’euros et de dollars par an au titre de leur statut protégé de réfugié. Si le Hamas cessait d’envoyer quotidiennement des roquettes sur Israël, puis de provoquer des attentats meurtriers au milieu des civils israéliens, la Palestine obtiendraient un siège permanent à l’ONU au titre d’État indépendant et souverain. Puis encore, la population démunie de Palestine pourrait profiter de cette manne que leur confisquent leurs frères terroristes, lesquels s’offrent avec l’argent de l’UNRWA de somptueuses villa sur le littoral méditerranéen avec limousines, jusqu’à ce que la guerre éclate après les horreurs perpétrées des fous d’Allah.

Comprenons qu’un traité de paix avec Israël et la reconnaissance de sa souveraineté changerait ce statut de « réfugiés » ; une situation qui priverait de jure et facto les fanatiques imbibés du djihâd (guerre sainte des Musulmans), des aides de toute nature qu’ils reçoivent à profusion, sans rien faire d’autre que la guerre à leurs voisins juifs. Autrement dit, l’UNRWA, créée depuis 1949 pour être affectée exclusivement aux réfugiés de Palestine, disparaitrait. En outre, les emplois fictifs, que cet organe onusien leur réserve, expireraient ; dont les salaires colossaux versés à des activistes du Hamas sans autre labeur que de lancer des roquettes.

De surcroît, il faudrait apprendre à ces Palestiniens qu’il faut travailler pour vivre, et non faire la guerre pour mourir. Les plus ignorants d’entre eux – et ils sont pléthore – s’imaginent que pour mériter les faveurs d’Allah, il faut tuer l’impur en grand nombre. La récompense des bons soldats du djihâd vient dans les jardins d’Allah où les attendent 72 jeunes filles vierges (houris dont l’hymen se reconstruirait après chaque coït). Ce paradis n’étant dédié qu’à la fornication et à déguster des rivières de miel, ce capharnaüm céleste épargne les mâles de tout risque de priapisme. Si ce lupanar céleste paraît scabreux, il n’est que le reflet d’une effarante réalité qui siège au tréfonds du syndrome cérébelleux des fondamentalistes, sachant que l’Islam ne renonce jamais à la guerre co t »e le’ kuffār.
Pour preuve, le Coran l’explicite moult fois : (III.151 ; IX.5 ; IV.86 ; VIII.16 et 17 ; IX.29 et 30 ; IX.74 ; IX.124 ; XXV.54 ; XXXIII.59 ; XLVII.22 et 23 ; XXXIII.61 à 71 ; etc.).

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


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Sommaire :

Préambule

1°) Les réfugiés ne furent pas ceux que la bien-pensance cherche à nous faire croire

2°) Comment l’islam d’aujourd’hui reprend le cours de son histoire nazislamiste

3°) Gommer l’État d’Israël de la carte ; un graal antisioniste du monde arabo-turc qui a la vie dure

4°) Tuer l’ennemi auto-proclamé dans le Coran, suffit à combler l’existence obscurantiste des décérébrés mahométans

5°) L’argent de la guerre concentré autour de l’UNRWA

6°) Il faut plonger dans les viscères de l’UNRWA pour disséquer l’imposture

7°) Le Coran, chancre de la dégénérescence d’une civilisation perdue

8°) Épilogue

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2 réponses à « L’UNRWA : nerf de la guerre du terrorisme 4 »

  1. Avatar de Margueritte
    Margueritte

    Comme toujours, Daniel Desurvire nous offre un superbe article très documenté.

    J’aime

  2. Avatar de Enrique Salermo
    Enrique Salermo

    Très bonne série d’articles sur la réalité d’un Occident qui s’est retrouvé comme en 1938 face à Hitler et qui est incapable de se battre.

    J’aime

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