infère la nuit des esprits
Par Daniel Desurvire
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Temps de lecture = 10 minutes
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La dégénérescence des mœurs (e)
infère la nuit des esprits
e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe Woke et LGBT+, et la charge présidentielle
La culture woke participe au dérèglement des valeurs et de la respectabilité de la Nation, polluant la société par la dégénérescence des mœurs. Ce dard de la débauche perce l’étoffe d’une civilisation en déroute, empoisonnée par le chaos des permissivités et annonciateur d’une décadence régalienne que conditionne un mondialisme de désintégration et nauséabond. Aux attaques contre les libertés comme en instaurant le délit d’opinion, puis encore en rejetant la culture française par son histoire, Emmanuel Macron participe à la montée en charge de l’insécurité de source exogène, et le Peuple de France ne se reconnaît plus dans ses valeurs profondes d’autrefois.
Creusons un peu les strates de la jeunesse de ce chef d’État jamais en panne de provocations et de propos injurieux contre ses concitoyens, pour tenter de comprendre les débordements verbaux et les scènes douteuses à l’Élysée, ainsi vues plus haut avec la charismatique Mimi. Les insultes que cette Présidence profère si souvent contre les citoyens nationaux, comme durant la crise sanitaire, pour avoir précisé « vouloir les emmerder », rien n’aura été épargné à la France avec cet hurluberlu qui, depuis ses ratages, incarne « l’Erreur » (Voir p. 79 et 83, « Le délitement des valeurs par la gauchosphère », en bibliographie in fine).
Le jeune Emmanuel Macron fut l’élève de sa professeure de français et son coach en cours d’art dramatique, alors déclarée sous le supposé nom d’emprunt Brigitte Trogneux, qui devînt plus tard son épouse (LGBT ?), Ce fut sur le plateau du théâtre au lycée La Providence que le lycéen joua la scène de L’art de la comédie du scénariste Eduardo de Philippo, sous la direction de son magister de lycée. Était-il mineur lorsqu’ils eurent-ils des relations intimes à un âge ou la maturité sexuelle était de 15 ans ? Cela fut subodoré, mais en pesant la gravité que suppose un abus sexuel sur un mineur par une adulte dominante, car de beaucoup plus âgée, la chose ne se saura jamais.
Un viol présumé sur une personne n’ayant pas atteint l’âge de la maturité sexuelle, ou à peine esquissé, même avec le consentement de l’enfant, n’engage que des supputations aléatoires, eu égard à cet intervalle flou de 15 ans ou révolus. Ici, les règles morales et subjectives ont valeur de zone franche, que l’on décline en droit naturel, mais que la jurisprudence apprécie, selon les cas de figure, sous les angles interprétatifs et ou évasifs d’une époque à une autre. Cette période tampon s’apprécie mieux en droit positif, lorsque l’écart d’âge important, entre 5 ans et de ± 2 décennies, est supposé avoir subjugué l’enfant à l’autorité d’un pouvoir de suggestion, caractérisé par une position sociale de pédagogue. Une relation de subornation, par l’ascendance ou une autorité sociale est manifestement une circonstance aggravante.
Sur ce registre, le Professeur d’Université de l’Insubrie en Lombardie, spécialisé en psychiatrie ; Adriano Ségatori, expert près des tribunaux italiens, produisit une analyse pondérée sur la personnalité d’Emmanuel Macron. Les sources de ce spécialiste du cerveau à forte audience, d’où découlent une étude approfondie sur les affections comportementales et les dérives sociales (L’Europa tradita e l’agoniadi di una civilta), firent l’objet d’une interview télévisée sur l’étiologie des traumatismes psychiques qui furent censés impacter la personnalité du Président Macron. Dans le but de discréditer ce praticien et enseignant italien, la gauchosphère française classa arbitrairement et promptement l’intellectuel et praticien dans une catégorie d’extrême droite sur l’échiquier politique, histoire de souiller le personnage en lui collant une étiquette populiste dans le dos. Cette manœuvre, infondée et inique, fait partie des pratiques habituelles de cette majorité présidentielle en France, laquelle a coutume de taxer de conspirationniste et de fascisme toute opposition jugée incommodante et importune.
Outre cette réaction épidermique emmenée par des groupes de pression depuis les sycophantes de l’Élysée, il résulta de ces travaux une analyse probante d’informations d’essence biographique, généalogique et sociologique à l’abri de toute violence censoriale, puisque hors de l’Hexagone. Le psychiatre en tira la conclusion suivante : « À l’âge de 15 ans, le jeune Emmanuel Macron a subi une grave agression sexuelle, via sa professeure, qui à l’époque avait 39 ans. Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union, qu’on pourrait définir grotesquement comme un mariage réparateur (pour réparer un viol), j’y vois plutôt le fait que s’est bloqué prématurément le développement d’Emmanuel Macron en pleine adolescence, à cause d’une opération de séduction à la fois psychique et physique […] ». La suite est disponible sur une vidéo publiée dans la langue transalpine sur l’Internet (Voir p. 65, 84 à 88, « Les malveillances politiques », en bibliographie in fine).
À présent, qu’en disent les actualités produites par la presse à l’international ? certes, il se diffuse beaucoup moins de témoignages depuis les médias français harcelés et ficelés par l’Arcom et l’AFP, si ce n’est depuis la presse alternative qui jouit encore d’une liberté de parole. La journaliste Candace Owens (op. cit., p. 15 et 78), l’éditorialiste afro-américaine, qui se fait fort d’apporter des informations de sources avérées, procéda à une enquête controversée autour de la personnalité du couple Macron ; ce qui lui valut des menaces appuyées depuis l’Élysée, non sur le fond car le terrain est glissant, mais sur la forme. Étrillée par un cabinet de « baveux » au service de la Présidence française, la réponse contradictoire qui lui fut offerte tourna autour de l’âge de consentement sexuel d’un mineur. L’argument des rédacteurs de ce courrier, des avocats près du chef de l’Exécutif, repose sur le fait qu’Emmanuel Macron devait avoir 15 ans lors du viol présumé ; « Soyons clair [insiste le rédacteur de la lettre d’intimidation de ce cabinet], l’âge du consentement en France est de 15 ans. Les deux se sont rencontrés et sont tombés amoureux en 1993, alors qu’elle était professeure de théâtre et qu’il avait 15 ans »… sous-entendu qu’il y a bien un fond de vérité quant au rapport sexuel subodoré dans les révélations de Candace Owens.
Les historiens et jurisconsultes se rappelleront à l’ancien article 331-1 du code pénal, modifié par la loi n° 80-1041 du 23 décembre 1980 qui disposait : « Tout attentat à la pudeur sur la personne d’un mineur âgé de plus de quinze ans et non émancipé par le mariage commis ou tenté, sans violence ni contrainte ni surprise, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif de la victime ou par une personne ayant autorité sur elle, ou encore par une personne qui a abusé de l’autorité que lui confèrent ses fonctions, sera puni d’un emprisonnement de six mois à trois ans et d’une amende de 2 000 F à 20 000 F ou de l’une de ces deux peines seulement ». Il aurait certes été plus sage pour le couple Macron de s’arrêter là, car déjà ces mesures répressives édulcorées par la loi de 1980 susmentionnée, avaient perdu de leur dissuasion en termes de viol, d’inceste et autres atteintes à l’honneur et l’intégrité des jeunes enfants. Alors pourquoi cette riposte, sinon par agacement et tromperie ridicule ?
Plus loin encore, pour la petite histoire, toujours à l’article 331 puis 332 et 333 du Code pénal (les 18 codes du Royaume, édition 1835), l’héritage du Code Napoléon disposait : « Quiconque aura commis le crime de viol, ou sera coupable de tout autre attentat à la pudeur, consommé ou tenté avec violence contre des individus de l’un ou de l’autre sexe, sera puni de la réclusion … Si le crime a été commis sur la personne d’un enfant au-dessous de l’âge de 15 ans accomplis, le coupable subira la peine des travaux forcés à temps … La peine sera celle des travaux forcés à perpétuité, si les coupables sont de la classe de ceux qui ont autorité sur la personne envers laquelle ils ont commis l’attentat, s’ils sont ses instituteurs … ». Heureusement pour Brigitte Macron, ou Jean-Michel Trogneux pour qui voudra l’entendre, d’être né[e] au XXème siècle, car moins de deux siècles auparavant, la justice pénale ne transigeait pas avec les mœurs et les viols, car le bagne était au bout du chemin !
Ironie de l’histoire, si nous transposions, depuis le XXIème siècle, le crime de viol commis par une préceptrice sur un mineur de 15 ans sous le règne du Roi Louis-Philippe, la peine carcérale aurait été celle des fers à perpétuité à la prison de la Petite Roquette à Paris ! Coïncidence ou pas, sous la législature de Macron (article 4 de la loi n° 2021-478 du 21 avril 2021* visant à protéger les mineurs des crimes délits sexuels, harcèlement, exhibition et le crime de l’inceste, articles 222-22 et suivants du Code pénal), la limite qui définit l’âge d’une majorité sexuelle, d’où la notion floutée de permissivité, de délit ou de viol, fut noyée d’arcanes stratifiées entre quinze articles se chevauchant de manière amphigourique pour mieux noyer le poisson.
Cette gymnastique, de toute évidence, fut orchestrée à dessein de multiplier les arcanes et les chausse-trappes pour servir les prétoires. S’en tenir à des segments juridiques bien arrêtés n’auraient pu que mettre les choses au clair, comme de freiner les ardeurs de la délinquance sexuelle dans tous ses états. Mais ici ce laxisme, profitant aux abus, fut instauré de façon la plus artificieuse, car à la lecture de ces miscellanées juridiques, le but recherché n’était pas de paraître clair. De sorte qu’un viol n’est plus un viol selon l’angle d’approche, car cette loi dit tout et son contraire. Ce fut dans la discrétion, en période de crise sanitaire, où les médias étaient phagocytés par un virus qui éclipsait tout autre information majeure, à la façon des lois impopulaires promulguées en période estivale, que s’assembla les pièces de ce patchwork cousu de prolepses et de mystifications. Il en retourne qu’à ce jour, derrière les murs de l’Élysée, l’honneur est sauf !
A SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire :
Un préalable nécessaire
a) Lui ou Elle … qui suis-je ?
b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?
c) Lorsque la nature du couple présidentiel devient un secret d’État
d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre
e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe
Woke et LGBT+, et la charge présidentielle
f) La génétique de l’homosexualité
g) La folie « trans » dans un monde politique qui absorbe tout ce qui brille
1°) La résistance des femmes contre les assauts des « trans »
2°) Quand le lobbying pour la réassignation des genres se fait le rouleau-compresseur de la société traditionnelle
3°) La HAS sous le regard de la justice
4°) L’Adn et le bon sens au secours du genre humain
h) Lorsqu’une loi dédaléenne est promulguée pour défaire un droit équitable
i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État
En conclusion
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