Par Gérard-André Elles

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 ‘’Les Comtes de la Cour ! ‘’
Ou, le ‘’ Muséum d’Histoire des Socialistes ‘’

Ah, la Cour des comptes ! Ce sanctuaire où les dinosaures du socialisme viennent se reposer, comme s’ils étaient les vedettes d’un musée d’histoire naturelle. Petit à petit, jour après jour, les remparts se dressent pour verrouiller leur pouvoir. À ce rythme-là, on pourrait presque y exposer des fossiles de socialistes momifiés, pour que les enfants puissent s’émerveiller le mercredi après-midi devant ces vestiges d’un temps révolu. Qui sait, peut-être qu’un jour, Jack Lang viendra faire un tour pour compléter la collection !

La gauche, dans sa grande sagesse, semble vouloir tout noyauter. Mais peut-on vraiment espérer une grande lessive lorsque le Prince sera déchu ou, pire encore, oublié ? Avec une clarté presque aveuglante, on peut affirmer que le gouvernement Bayrou n’est plus à l’abri d’une motion de censure. Maintenant que les combines sont éventées, le Parti Socialiste a tout intérêt à censurer Bayrou pour prouver au bon peuple que la nomination de NVB n’était due qu’à ses extraordinaires qualités personnelles. Le Béarnais peut dès aujourd’hui commencer à faire ses cartons, car il semble que le vent tourne.

Et que dire de Philippe Gustin, ce proche de Lecornu, qui a récemment été nommé à la Cour des comptes ?
Rappelons qu’il a été épinglé par la Cour en 2021. Mais pas de souci, la Cour des comptes est accueillante au possible ! Elle va offrir à ce sexagénaire de 65 ans de quoi continuer à beurrer ses brioches et ses épinards.
Aider un homme dans le besoin avec les deniers du contribuable, c’est tout simplement admirable, n’est-ce pas ?

Regardez-les, ces zozos réunis à la Cour des comptes, tous dans le même panier d’une gauche mourante qui s’arroge des postes pour se remplir les poches, à défaut d’être utile à la nation. Pendant que la France crève, les Comtes des comptes se prélassent, chantant en chœur : « Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, le premier qui rira aura une tapette ». Quelle belle image de solidarité !

Et que dire de Pierre Moscovici, qui a eu l’audace de déclarer qu’il avait volontairement choisi de ne pas faire paraître les résultats d’un rapport pour ne pas influencer les votes des législatives de 2024 ? Il a aussi assuré que Gustin ne serait pas associé aux dossiers sur lesquels il pourrait être “conflicté” (sic). Ah, la neutralité institutionnelle, un concept aussi élastique qu’un élastique de culotte !

La Cour des comptes, n’est-elle pas là pour éclairer les « élus du peuple » ? Faut-il croire alors qu’ils ne trichent pas, qu’ils ne jouent pas le jeu ? Sans l’union des droites, rien ne sera possible en 2027… ou peut-être avant ? En attendant, continuons à observer ce spectacle fascinant, car il semble que le meilleur reste à venir.

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Démission de Macron ou un Appel à l’Électrochoc Politique

La question de la démission d’Emmanuel Macron suscite des débats passionnés au sein de la société française. Bien que certains estiment qu’une telle décision serait souhaitable, il est largement reconnu que le président semble davantage préoccupé par ses propres intérêts que par ceux des citoyens. Ce constat soulève des interrogations sur la capacité de Macron à se mettre en jeu, à l’instar de figures historiques comme un certain général.

En 2017, des promesses de changement radical avaient été formulées, mais huit ans plus tard, les résultats de ce qui est perçu comme un non-choc sont alarmants. La situation actuelle du pays est critique, et il reste encore deux ans de mandat à Macron, période durant laquelle chaque faux pas pourrait avoir des conséquences désastreuses.

Le gouvernement, dirigé par François Bayrou, est souvent décrit comme un brouhaha où les invectives dominent, tandis que les propositions concrètes font défaut. Cette dynamique est exacerbée par une mainmise présidentielle qui semble annihiler toute forme de débat constructif.

L’Assemblée nationale, autrefois un lieu de législation et de discussion, est devenue un espace de vulgarité et d’incohérence, dû à la présence d’une coalition de plusieurs Partis d’extrême gauche.

La situation nécessité un Changement Radical, il est urgent de remplacer le pouvoir actuel par un ‘’électrochoc politique’’ capable de prendre des décisions cruciales dans des domaines tels que l’Éducation, l’Administration, la Santé, la Justice, l’Immigration, l’Économie, l’Énergie, et l’Europe. Un changement de personnel politique et une réforme de l’appareil administratif, souvent désigné comme l’État profond, sont jugés nécessaires, même au risque d’une anarchie temporaire.

Dans le contexte européen, des mesures rapides pourraient être mises en œuvre, notamment en appliquant la politique de la chaise vide du Général De Gaulle, tant que certains traités, datant d’après 1957, ne seront pas renégociés.

La question de la démission de Macron est également liée à l’Article 68 de la Constitution, modifié en 2007, qui soulève des interrogations sur les voies légales de destitution. Le président semble adopter une position de défi : « S’il n’en restait qu’un je serais celui-là », ce qui laisse peu de place à l’espoir d’une démission volontaire.

En conclusion, bien que l’idée d’une démission de Macron soit souvent évoquée, il semble peu probable qu’elle se concrétise.

Les défis politiques actuels nécessitent pourtant une réflexion approfondie et des actions audacieuses pour redresser la situation du pays.

Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression !
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