Sciences Po aux mains de la Palestine
Par Daniel Desurvire
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Temps de lecture = 6 minutes
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SciencesPo n’est plus 2
Sciences Po aux mains de la Palestine
2°) Les complicité de l’État-Macron dans cette gabegie
Cette école d’enseignement supérieur, par la voie de son directeur, tente d’expliquer son ignorance s’agissant des messages de sa protégée, pour n’en avoir pris tardivement connaissance par un reportage radiophonique. De fait sur RMC, la prévenue raconte sa nouvelle existence en France, « dans un endroit sûr », se félicitant d’avoir obtenu une bourse d’études par le Gouvernement français. Ce tutorat n’est donc pas celui d’un bénéfice à l’aptitude ou au mérite, mais d’un privilège politique, augmenté d’un hébergement de faveur, accordé par le chef d’établissement de Sciences Po Lille, en la personne d’Étienne Peyrat. Mais ce dernier se défend en se déchargeant des prérogatives de son tutélaire ministériel : « L’alerte, nous, on l’a vue suite à des publications qui ont été faites sur les réseaux sociaux. Évidemment, dès lors qu’on a vu ces éléments, on s’est mis en lien avec nos autorités de tutelle, donc relevant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, détaille le 30 juillet 2025 le directeur de l’établissement à France 3 des Hauts-de-Seine ».
Puis encore, du côté où la balle est retombée, le Gouvernement se défausse, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau d’excuser sur X son intervention, comme d’avoir de suite : « demandé de faire fermer ce compte haineux, et donné instruction au préfet de saisir la justice », en ajoutant que « les propagandistes du Hamas n’ont rien à faire dans notre pays ». Oui mais bien trop tard, car le mal est fait. Ce fâcheux épisode prouve, si besoin était, que les piratages sécuritaires, via l’Arcom et ses sycophantes, laissent mieux fonctionner ses réseaux d’espionnage et la censure sur les Français, lorsque ces derniers dénoncent ces incitations à la haine et au racisme, que sur ces mêmes individus haineux et racistes qui ont la voie libre sur les réseaux, tant que la « méchante extrême droite » ne vient pas fourrer son nez dans les agissements et les affaires glauques de l’État-Macron. Curieusement, le directeur de Sciences Po n’a pas été inquiété pour son laxisme !
Dans ce jeu de quilles, Philipe Baptiste, ministre chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche auprès du ministre d’État de l’Éducation nationale, Élisabeth Born, assure quant à lui sur X avoir saisi le procureur de la République au titre de l’article 40 du code de procédure pénale. Cette disposition oblige les fonctionnaires qui ont eu connaissance d’un crime ou d’un délit, dans l’exercice de leurs fonctions, à en informer le procureur. À son tour et le même jour, le préfet du Nord, Bertrand Gaume, explique avoir saisi le paquet de Lille à la suite des propos intolérables tenus sur les réseaux sociaux. La boucle est bouclée, et l’ascenseur nous ramène à son point de départ : Macron, responsable de cette gabegie, où ses positions géopolitiques en faveur de la Palestine associent les terroristes du Hamas, mais sans jamais le dire, sauf les ressortissants de Gaza qui ne s’en privent pas !
Pour clore cette manifestation de cour d’école où « c’est pas moi mais l’autre… », la rédemption de l’oligarchie viendra du côté de Sciences Po Lille aux encoignures gauchistes, l’établissement annonçant pour se racheter, l’annulation de l’inscription de leur invitée d’honneur : « Après concertation avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le rectorat de région académique et la préfecture, la direction de Sciences Po Lille a pris la décision d’annuler l’inscription prévue de cette étudiante dans notre établissement », d’où un virage à 180° entre les messages incriminés et l’esprit partisan de l’école. D’évocation contradictoire à ce pronunciamiento de blanchisseur, il est de notoriété publique que l’enseigne de l’école Sciences Po arbore traditionnellement une étiquette ultragauchiste. Sous ce même angle, la Ligue communiste en France arbore, sans complexe, son attachement aux Palestiniens de Gaza, eu égard aux déclarations de leur protagonistes, au garde-à-vous devant leur leader Mélenchon ; un symposium social-démocrate avec macron sa chimère.
Mais comme la tâche est tenace, le plaidoyer d’Etienne Peyrat s’éternise dans le larmoiement, expliquant à l’AFP avoir « accueilli cette étudiante sur la proposition du consulat général de France de Jérusalem ». Cette postulante serait le produit de la diplomatie franco-israélienne qui aurait sollicité une école d’enseignement supérieure et de recherche en France. Cette sélection, prétendument étalonnée sur des critères académiques, s’avère donc un gros mensonge, car le choix s’orientait vers un établissement plutôt proche de la sensibilité politique recherchée par les plénipotentiaires de la Chancellerie du 37 quai d’Orsay.
C’est alors que l’on se rend compte que ce carrousel de – responsables mais non coupables – n’en avait pas fini d’en découdre avec son jeu de ricochets. Ce fut ainsi que la diplomatie du corps politique français apporte son lot de gesticulations, via la Sécurité extérieure (DGSE), en déclamant que : « Les criblages effectués par les services compétents des ministères concernés n’ont manifestement pas fonctionné », à savoir, « qu’une étudiante gazaouie tenant des propos antisémites n’a rien à faire en France ». Puis Jean-Noël Barrot, des affaires étrangères susmentionné, d’affirmer : « qu’une enquête interne soit diligentée pour que cela ne puisse en aucun cas se reproduire », en insistant que cette jeune femme « n’a pas sa place à Sciences Po, elle n’a pas sa place en France, elle doit quitter le territoire national ».
De son côté, la procureure de la République de Lille, Carole Etienne, déclara avoir ouvert une enquête aux motifs « d’apologie de crime contre l’humanité avec utilisation d’un service public de communication en ligne ». Il est fort à parier que ce procès n’aura pas lieu, car il sera jugé irrecevable par sa hiérarchie politique, afin d’éviter une procédure qui pourrait desservir la politique d’immigration de l’Oligarque.Enfin, pour balayer tout soupçon embarrassant sur la complicité et/ou la défaillance de l’État dans cette bavure politico-diplomatique, le cabinet du Premier ministre, François Bayrou l’invisible, annonça tout de go lancer une enquête administrative commune, sachant que le Gouvernement n’est pas de ceux à se tirer une balle dans le pied.
De sorte que la bande à Macron botte ainsi en touche, sachant qu’une enquête commune (de qui et par qui et sur quoi ?) n’est qu’une amphictyonie de compères et de larrons en foire ! Soyons convaincus que cette enquête administrative (non publique) serait diligentée en direction de ceux qui ont révélé cette cabale, dont le collectif « Bastion social », lequel fera vraisemblablement l’objet d’une commission rogatoire pour perquisition, afin que l’Exécutif puisse mettre la main sur les sources de ces révélations ; car il lui faudra mieux maîtriser le terrain dans l’avenir en usant de pratiques inquisitoires renforcées, comme au siège du RN, pour des motifs fiscaux controuvés.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Sciences Po aux mains de la Palestine
Sommaire :
1°) Une taupe du Hamas infiltrée à sciences Po Lille
2°)Les complicité de l’État-Macron dans cette gabegie
3°) Un pôle d’études administratives qui n’est plus dispensé par des politologues, mais par une ultra-gauche au service de Gaza
4°) L’entrisme de l’islam radical
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