La dégénérescence des mœurs (Fin)


infère la nuit des esprits

Par Daniel Desurvire

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Temps de lecture = 10 minutes

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Le livre qu’il fallait oser écrire et qui traite d’un sujet gravissime et bien réel qui met en grand danger la France : l’islamisme !
la France de Macron a fait de notre pays un régime collectiviste, dit mondialiste qu’épaule le communautarisme islamique des Frères musulmans, avec son lot d’inquisition, de délation et de censures injustifié.

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infère la nuit des esprits

En conclusion

La revendication militante originelle « stay woke », pour la justicesociale et l’égalité raciale, ou un état d’éveil contre les iniquités, est un mouvement qui fut réinitialisé, réapproprié et corrompu par les lobbies de la gauchosphère, et du collectivisme d’Occident qui se décline en woke-washing. Dans les faits, dès 1960, le mot « woke » fut consacré par des afro-américains et la poussée féministe #MeToo pour la libération de toutes les formes de discrimination. Puis le terme fut arrogé sur des bases contrefaites. Ainsi, l’écologie dériva en greenwashing (écoblanchiment), les libertés sociales furent travesties en Cancel culture. Cette déviation aura abouti àune fièvre de l’effacement, une exaltation extrémiste pour l’intolérance, d’où la call-out-culture pour la délation qui manœuvre en délit d’opinion.

Puis l’émancipation sexuelle se sera convertie sous l’enseigne dévoyée LGBT+, dont nous ne devons en retenir que l’insoutenable réassignation des genres à la chimie et au bistouri. Dans cet esprit retors, la koinè populaire (langue vernaculaire), est tronquée par des faussaires de la linguistique, de la morale, de de l‘équité et de la tolérance qui président à toute démocratie respectable, pour exprimer le contraire de la sémantique initiale de leurs concepteurs. Dans la parabole 2 Corinthiens 11:13-14, il s’écrit : « Ces hommes-là sont des faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ … Et cela n’est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière ».

Ces désastres, qui gangrènent notre civilisation, induits par des vocables tronqués et des mœurs dévoyés, ne sont-ils pas le fruit amer de la culture woke dérèglée et d’un libéralisme débridé ?Cette prétendue modernité, portée haut et fort par la Présidence française, n’est-elle pas corrosive et avilissante pour chercher à refouler la matrice de nos gènes naturels ? L’artiste anglais, Peter Brook, donna le ton à ce paradigme qui scinde l’imaginaire dissociatif, tel le sujet susvisé, troublé par sa fiction théâtralisée. Cette saillie duale de l’identité est vécue entre l’espace scénique et les sièges d’une salle de spectacle, selon l’angle où le regard anamorphosé de l’auditoire se pose : « Dieu réunit ses anges et annonça dans les termes suivants : « Le théâtre sera le domaine où les gens pourront apprendre à comprendre les mystères sacrés de l’univers. En même temps, ajouta-il avec une désinvolture trompeuse, ce sera un réconfort pour l’ivrogne et le solitaire ». Subodorons, par cette curieuse métaphore, l’un des traits cyclothymiques du caractère fuyant du Président Macron qui ajuste à ses verbiages chargés d’invectives, sa faconde impertinente et ses logorrhées affectées sous son manteau d’Arlequin, tel son rideau de scène, ainsi vu plus haut sur les planches de son lycée.

Des personnalités qui ont côtoyé ce Président observent la même posture décalée de ce personnage qui joue la comédie pour receler un mécanisme d’auto-défense psychique, ainsi le décrit le psychothérapeute Alfred Adler dans Understanding Human Nature et Social Interest. Des psychanalystes s’accordent pour reconnaître que « Les plus grands psychopathes sont des capitaines d’industrie et des généraux d’armée ». Mais en dedans ces individus, d’une gestualité empruntée pour se parer d’une allure charismatique, ce sont des tragédiens qui occupent la scène. Ils servent d’abord une carrière personnelle, avec un cynisme triomphant, mais avec une capacité de séduction affectée. Ceux-là procèdent de l’illusion et de la crainte pour frapper l’imaginaire et semer le trouble. Quant à comprendre la nature machiavélique de l’individu, puis expliquer ses divagations, les thérapies comportementales et cognitives ne sauraient s’ajuster à un être qui ne dispose d’aucun déclencheur émotionnel, en concours avec une frustration de décompensation narcissique.

Selon une série d’observation relevées dans « Macron, les leçons d’un échec », de Marcel Gauchet et François Azouvi ; des historiens et philosophes, puis Éric Conan journaliste et essayiste, parue aux éditions Stock le 6 octobre 2021, il est difficile de situer la topologie de la psyché d’Emmanuel Macron, dont la jeunesse : « … est nimbée d’un tabou relatif au couple atypique qu’il forme avec son ancienne enseignante de lycée » (in, l’Express, 9 oct. 2021). Pour l’anthropologue Emmanuel Todd, « Nous serions gouvernés par un enfant ». Pour le réalisateur freelance Paul Thibaud, le creuset de la personnalité de ce chef d’État, après une adolescence troublée, vécue « dans une bulle chaude et protectrice », laisse perdurer une solitude dans le seul face-à-face qui lui est supportable avec son épouse. La solitude lui revient tel un leitmotiv. Une joute de scène en tête-à-tête lui est insupportable jusque dans le regard des autres ; ainsi que le remarqua Philippe De Villiers, après avoir rencontré ce chef d’État.

Ses one man’s shows télévisés, car seulement placé face à une caméra, ne le perturbe pas, de même ses selfies sur Tic Tok, ou encore ses jeux de scènes où il ne peut voir le public sous les feux de la rampe. Ces postures aveugles, face à un public, anticipent le prodrome de l’évitement (trouble de la personnalité limite ou crise borderline, in DSM-5-TR). Piégé par l’exercice d’un pouvoir exorbitant qu’il ne maîtrise pas (impulsivité exacerbée, syndrome d’hubris), ledit tragédien s’ajuste à sa fonction en se parant d’un suprémacisme qui l’autorise à toutes les audaces, inhibant ainsi ses complexes refoulés. Selon Sigmund Freud, « Le refoulement conduit à la frustration, et ce rejet induit la dépression, puisque l’on ne peut fuir que ce qui est extérieur à soi » (in, métapsychologie, 1915).

Prenons la liberté d’y associer le profil de l’Empereur Néron ; qui s’improvisa comédien devant la plèbe, homosexuel et tyrannique, extravagant et le pyromane de Rome, au « Jupiter » de l’Élysée, dont les traits s’y ajustent, comme d’avoir vaporisé les finances de l’État et d’insulter ses compatriotes. Tandis que l’Empereur fut déclaré l’ennemi public de Rome, Macron s’efforça, depuis 2017, à ruiner la France jusqu’à ce que l’endettement public ait vidé les caisses de Bercy, provoquant un trou abyssal dans les finances de la Sécurité sociale, doublé le nombre de chômeurs en diversifiant six catégories pour diluer cette gabegie, puis enfin précipité l’Éducation nationale, la Santé et la recherche à l’échelle la plus basse de l’Europe. La mémoire qui inscrivit le règne de Néron dans la mythologie du Capitole, fut le cynisme d’une épopée qui mit fin à la démocratie romaine. Aurait-il quelque chose de commun avec la médiocrité de sa copie du XXIème siècle, lequel s’est illustré comme l’ennemi n° 1 des Français, avec ses viols juridiques, ses guéguerres et ses penchants glauques pour les dérives LGBT+ ?

Outre les moqueries à l’international qui fusent autour des trivialités du couple de l’Élysée, la France, qui en 1976, fut la quatrième puissance mondiale, est devenue l’élève le plus cancre de l’espace Schengen, ainsi que de la plupart des pays industrialisés d’Ouest en Est. Le PIB de la France qui représentait 6 % du PIB mondial sous la Présidence de Giscard D’Estaing, fut à la fin de 2023 ramené à 2,6 %. Le service de la dette coûte ± 900 € l’an par foyer fiscal (coût des emprunts usuriers : 55 Mds d’€ par exercice). À ce stade de déconfiture, c’est l’effondrement ; une diète au long cours, à rendre famélique un tiers de la population française. Ce que les Français, au début de la Vème République, entrevoyaient être l’âge d’or mythique de l’Hexagone, ne cesse d’être déclassé depuis dix ans au palmarès des instituts de notation (rating). Entre le sous-emploi, la pauvreté qui se fait endémique, et le surendettement public, la France est catapultée dans la catégorie des pays pauvres (©Abaca, Revue des deux mondes, sept. 2023, étude d’Annick Steta, Docteur en science économique, Diplômée d’Harvard Kennedy school ; puis voir au chapitre VI de l’ouvrage : « Si la France pouvait parler… », voir en bibliographie in fine).

Outre l’exiguïté intellectuelle de celui que bien des commentateurs naïfs entrevoyaient comme un Mozart de la Finance lors de sa première campagne présidentielle, selon l’analyse du sociologue Marc Joly dans « La Pensée perverse au pouvoir » (Anamosa, 288 pages, chargé de recherche au CNRS). Ce chef d’État correspond plutôt au profil d’un pervers narcissique, une catégorie distincte de pathologies mentales créée au XXème siècle par le psychiatre et psychanalyste Paul-Claude Racamier (Sources : Alain Beuve-Méry, journal Le Monde, le 11 décembre 2024). Comprenons aussi que le mensonge et la félonie font partis de son paquetage propagandiste qui le maintien au pouvoir.

Marc Joly propose aussi une autre analyse pour expliquer ce qu’il ressort de l’impression générale du public, à travers le profil psychologique d’Emmanuel Macron depuis mai 2017, lequel parvient à fasciner des foules lambda derrière l’écran soporifique d’un poste de télévision, mais en occultant systématiquement ses résultats catastrophiques pour l’État français, devant un peuple résigné. Ses sautes d’humeur (hypomanie, trouble bipolaire), son verbiage méprisant, outrageant, puis ses épisodes dépressifs certes y contribuent. Pour l’essayiste Alain Minc, l’individu ne fait que : « traduire un narcissisme poussé jusqu’à un niveau pathologique, avec pour corollaire un total déni de la réalité ».

Reprenant les études des sociologues Norbert Elias et Pierre Bourdieu, Marc Joly (op. cit.), fonde son analyse sur l’idée empirique de « La boîte à outils conceptuelle » initiée par le psychiatre Paul-Claude Racamier, concepteur du syndrome des pervers narcissiques, ou « Le triomphe d’un concept fou ». Selon les psychiatres Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer, la perversion narcissique, qui protège le moi lacunaire du sujet, se pose comme un système de défense (décompensation), dont le réflexe confine à la dévalorisation de l’autre, pour étayer un ego défaillant. En abandonnant le pouvoir à ces individus retors, selon la mise en garde de la clinicienne Émilie Seguin, le Peuple ne saurait sortir indemne depuis l’esprit tordu d’un cas Icare, lequel grippe les rouages de la démocratie. La démesure mégalomaniaque du sujet, accrue par l’ivresse d’une toute-puissance, suspend tout sens du discernement à travers une vision quasi-messianique de lui-même (Vu par David Owen), d’où l’obsession de reproduire sans cesse un ressenti de soi.

Rétroactivement, la relation entretenue entre les tribulations sybarites découlant de violences sexuelles sur un individu à l’âge nubile, et ultérieurement les morbidités résultant sur le psychisme de la victime, dont le traumatisme ne s’éteint presque jamais, ne sauraient se dissocier. Comment en juger autrement, au vu de la gestion cataclysmique de Macron depuis 2014, à son ministère de l’Économie numérique, puis à son accession au pouvoir suprême, quant aux résultats désastreux, depuis chaque strate ministérielle de ses deux mandats ? Doit-on pour autant, autour de ce sujet d’étude, tout excuser depuis les miasmes d’une adolescence perturbée, ou étendre ses errements et ses troubles d’humeur (hypomanie, phases dépressives), d’où la réalité glauque d’un personnage cliniquement irresponsable, incapable et malintentionné ? Parions que l’histoire nous en dira davantage que l’actualité claquemurée dans le couloir sans issue des non-dits ; une voie dédiée à l’Arcom. Derrière cette altération parodique de ce wokisme d’État ; ne devine-t-on pas un retournement pathologique d’un lourd stigmate qui remonterait à ses 15 ans, ainsi vu sur un plan clinique ?

FIN

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


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Sommaire :

Un préalable nécessaire

a) Lui ou Elle … qui suis-je ?

b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?

c) Lorsque la nature du couple présidentiel devient un secret d’État

d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre

e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe

Woke et LGBT+, et la charge présidentielle

f) La génétique de l’homosexualité

g) La folie « trans » dans un monde politique qui absorbe tout ce qui brille

1°) La résistance des femmes contre les assauts des « trans »

2°) Quand le lobbying pour la réassignation des genres se fait le rouleau-compresseur de la société traditionnelle

3°) La HAS sous le regard de la justice

4°) L’Adn et le bon sens au secours du genre humain

h) Lorsqu’une loi dédaléenne est promulguée pour défaire un droit équitable

i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État

En conclusion

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4 réponses à « La dégénérescence des mœurs (Fin) »

  1. Avatar de Roland Tartavusse
    Roland Tartavusse

    La France est devenue un pays du tiers-monde avec des Bayrou, Darmanin ou Retailleau et surtout avec leur chef Macron. Pauvre France !

    J’aime

  2. Avatar de Denis Bardin
    Denis Bardin

    Macron est Néron en moins bien et il tué la France.

    J’aime

  3. Avatar de Margueritte
    Margueritte

    Merci pour cette passionnante série d’articles qui enrichit notre savoir.

    J’aime

  4. Avatar de Le Redoutable
    Le Redoutable

    Merci Daniel Desurvire, vous honorez brillamment l’esprit français en l’inondant de votre grande Connaissance et votre intelligence.
    En vous lisant, j’ai appris que La France ne manque point de passionnants Intellectuels puisque vous en êtes, très illustre, parmi quelques rares qui ne peuvent plus totalement s’exprimer librement en France, parce que interdits, et censurés dans l’Ex-pays des Droits de l’homme et du Citoyen qui s’est effondré sous la gouvernance d’une engeance nuisible au genre humain.
    La dégénérescence a commencé dès 1968, sous la houlette de nos politiques qui ont fait sombrer la France dans le chaos, pour satisfaire leur propre médiocrité.
    Tant qu’un chef d’état n’aura aucun savoir essentiel à l’intérêt général de la France transpirera d’un orgueil ajouté à un égo démesuré, comme la plupart de ces nombreux dirigeants politiques dans le monde avides de gloire et de nouvelles conquêtes illusoires, parce que sans aucune vraie valeur humaine, elles ne seront toujours qu’éphémères et sans valeur comme la plupart de ces gens là qui brillent d’inintelligence notoire et dévastatrice pour notre grand malheur et celle de notre Humanité, incapables de se repentir parce que sans « bon cœur » :
     » Qu’ils aillent tous au diable Vauvert . « 
    Heureusement, vous existez Monsieur Daniel Desurvire.
    Continuez de nous enrichir de votre Connaissance afin que la LUMIÈRE de notre Humanité brille de votre pensée salvatrice.
    Merci.

    Le Redoutable.

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