La dégénérescence des mœurs (i)


infère la nuit des esprits

Par Daniel Desurvire

🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷

Temps de lecture = 12 minutes

🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷

Le livre qu’il fallait oser écrire et qui traite d’un sujet gravissime et bien réel qui met en grand danger la France : l’islamisme !
la France de Macron a fait de notre pays un régime collectiviste, dit mondialiste qu’épaule le communautarisme islamique des Frères musulmans, avec son lot d’inquisition, de délation et de censures injustifié.

Livre broché à 19, 90 € à commander ICI ou sur amazon.fr
PDF à recevoir par mail au prix de 7,50 € cliquez ICI

🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷

infère la nuit des esprits

i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État

Au registre de la nature, dont l’espèce humaine, qu’est devenu ce monde où l’homme du XXIème siècle, en vient à rejeter les attributs de son corps, jusqu’à changer de peau et de genre ? Or la transsexualité, c’est précisément corriger les parties génitales d’un individu au bistouri ; cela avec des conséquences irréversibles et horribles. Au détour des dépravations LGBT+ (T pour trans), le postulat hétérosexuel n’a plus droit de cité, depuis que des exhibitions Gay Pride s’invitent dans la cour d’honneur de l’Élysée, avec pour conséquence de rompre tout lien avec la famille au vrai sens du terme. Le wokisme en est porteur, polarisant les mixités transgenres au sexe inversé, faisant de cette prétendue liberté sexuelle, un piège licencieux qui se referme sur les victimes ; une illusion, qui finit en intolérance avec l’exclusion des autres, dont participent les transactivistes. À vouloir émasculer le sens d’une appartenance physique sous l’empire d’une dysphorie de genre, au-delà de la castration et autres mutilations du corps, cette blessure organique infligée deviendra aussi haïssable que l’excision.

°°°

Sur ce registre des violences sexuelles infliges aux femmes, le traitement phallocrate exercée contre les épouses des ʾislāmistes, entretient l’intégrisme. Les épouses sont tenues de négliger leurs atours, eu égard aux prescriptions avilissante de leur religion. Ce culte les prive de féminité, participant de la sorte à la recrudescence des violences sexuelles de leur mari. Ce dernier recherchera ailleurs à satisfaire ses envies lubriques avec des femmes désirables, car entières (non privées d’orgasme clitoridien). Sur un autre chapitre, l’invasion anarchique et incompatible des migrants ʾislāmiques sur le territoire français, ne doit pas laisser ignorer que al-Qurʾān et la Sunna, ne reconnaissent pas la femme comme l’égale du genre masculin. La compagne de l’homme, dans l’esprit raccourci de ces préceptes antédiluviens, est juridiquement considérée de moitié inférieure à l’homme, selon les préceptes ʾcorāniques, en droit coutumier et en jurisprudence.

En cas de discorde avec un homme, fut-il son époux, la femme ne peut, en ʾislām, revendiquer son indépendance et l’égalité des droits, sans risquer les foudres des canons ʾmāhométans, avec la menace d’un crime d’honneur ; une exécution cruelle que justifie le fiqh [droit ʾcorānique], et que fera exécuter la sharia en lançant une fatwa sur l’imprudente. De notre temps, encore, une femme ne peut se plaindre de viol en terre ʾislāmique, car elle risque sûrement l’inculpation pour provocation et perversion, dont le châtiment peut lui être fatal. Si, à l’appui l’al-Qurʾān, le ʾMusulmān marié peut disposer de multiples partenaires féminines (polygynie), l’épouse ne peut accéder à la polygamie sans être poursuivie d’adultère, en rappelant que Muhammad, le prophète d’Allāh, épousa jusqu’à 13 femmes, disposait aussi d’esclaves même mariées et de courtisanes. Cet exemple, tiré de la Sunna, illustre ce machisme : « Le Prophète faisait une tournée conjugale auprès de ses épouses dans le seul temps d’une nuit et de la journée, alors qu’elles étaient au nombre de 11 […] Il avait la force de 30 hommes », (Voir in fine en bibliographie, « La malédiction de naître femme en ʾislām ».

Ce constat navrant appelle l’appréhension pour une religion qui juge ses canons spirituels supérieurs au droit temporel, à savoir que la plupart des viols commis par des ressortissants étrangers de confession ʾmāhométane, ne sont presque jamais traités au pénal en France, pas plus que les autres crimes terroristes ou crapuleux d’ailleurs. La plupart de ces condamnations est reléguée à la compétence socio-médicale des établissements fermés de soins psychiatriques. Pour les instances judiciaires, comprenons que le droit susvisé n’est pas égal pour tous, mais se traite selon la provenance territoriale et confessionnelle du violeur ; d’où « deux poids deux mesures ». Il en retourne que la peur qu’inspire Alʾislām change la donne en matière de justice.Voilà donc qui ébranle l’édifice de la machine judiciaire, où les standards civilisateurs du droit, de l’équité, de la laïcité et de la démocratie, ne sont ces jours-ci en France, qu’une affaire de politique.

Comprenons également ce qu’éprouvent, dans le déshonneur, la crainte et la honte, les jeunes filles ʾmusulmānes, pendant et après avoir été excisées. Certaines sont même affreusement infibulées (petites lèvres cousues juste pour laisser passer les sécrétions urinaires et menstruelles), même si elles parviennent par suite à enfanter, nonobstant les infections létales dues à ces pratiques d’un autre âge. L’hidjab ou la burka, qui les prive de visage, constitue peut-être une réponse ʾislāmique à l’avilissement de ne plus se sentir féminine, jusqu’à s’enfermer de pied et cap dans un drap couvrant les formes suscitant la concupiscence, à l’abri du regard libidineux des hommes, autres que leur mari (sourate XXIV, verset 31). Dans une réalité toute simple, ce relief cultuel laisse apparaître un phallocentrisme tyrannique, esclavagiste et humiliant. Cette misogynie ségrégationniste et persistante dans ce culte, n’a d’autre explication – non l’excuse – que le refus dogmatique d’admettre l’égalité de genre.

Hypocrisie ou veulerie, les Lgbtistes se gardent bien de soutenir les Musulmanes pour leur restituer une liberté sexuelle. Pour cause, puisqu’à l’instar de l’excision des ʾmusulmānes, la phalloplastie ou la pénectomie délibérément acceptée par les « trans », ne saurait pas davantage servir les libertés et la plénitude du plaisir. Que ces horreurs soient instrumentées par les mouvements LGBT+, ou par dogmatisme l’ablation du clitoris et/ou la suture des petites lèvres externes, au nom d’un suprémacisme mâle qui s’inscrit dans la lettre et l’esprit de ce culte, les conséquences tragiques de ces résections seront les même sur une âme perdue que sur un corps déchiré. Même pour un radicaliste ʾmāhométan ou un militant Lgbtiste, aucune de ces méthodes ne trouve sa justification, ni dans les Écritures sacralisées ni dans les textes codifiés d’une république. Défaire une partie génitale, le mutiler ou tricher avec le genre humain, c’est dégrader l’espèce humaine et suspendre le règne de notre évolution.

Précisons qu’en filigrane de la lettre « T » de l’acronyme LGBTQ2+,il s’agit d’amputer une grande part des organes sexuels pour une réassignation de genre, voire d’effacer chimiquement, sinon d’écorcher les reliefs distincts de l’anatomie (sein, système pileux, glotte etc.) ; avec pour résultat d’obtenir des monstres privés de libido à vie. Mais derrière cette fabrique de zombies en mal de vivre, cela n’y suffira jamais, car la nature a pour réflexe de reprendre ses droits. De fait, la disposition du génome, allèles et prolongements chromosomiques, depuis le squelette carboné des cellules matricielles (ou de cellules souches), restera obstinément identique à celle initialement reçue à la gestation. Les personnes artificiellement asexuées par la voie chirurgicale « trans » (de profils génétique et non phénotypique), donc devenues impuissantes et stériles, pour le seul bénéfice de fugitifs phantasmes résiduels privés de réel plaisir charnel, souffriront d’une frustration qui ne les quitteront jamais.

À l’instar des victimes d’automutilation ; un comportement intentionnellement requis par le sujet, les candidats « trans » pour une intervention de type chirurgical prétendument reconstructive, s’infligeront eux-mêmes un prétendu remède bien pire que le mal supposé, via un charlatanisme clinique non réparateur de défauts congénitaux qui ne l’étaient pas. Cette plastique réinventée conduira implacablement le sujet à une marginalisation assurée. Même les fraternités gaies et saphiques parfois les rejetteront, conduisant ces premiers à souffrir de dépressions suicidaires. Une étude statistique danoise, publiée le 27 juin 2023, fait paraître que le taux de suicides chez les transgenres est de huit fois plus élevé que celui de la population générale à majorité hétérosexuelle. Au Canada, Une personne transgenre sur trois a tenté de se suicider (Source : Veal 2015).

Inversement, les lois anti-trans, selon Them et la revue Nature Human Behavior, provoquent un taux de suicide autant élevé, jusqu’à 72 %. Si interdire ne vaut rien, ainsi l’explicite l’organisation The trevor Project, l’incitation à la réassignation de genre au bistouri est aussi létale dans la tête des victimes. Pour cause, au Danemark, où les libertés sont quasiment sans limites, le taux de suicide des transgenres est quatre fois plus élevé que les cisgenres et binaires. La problématique n’est pas dans l’homosexualité, mais dans la dérive d’une partie du corps médical et, des manipulations politiques et médiatiques. En l’occurrence, le standard homosexuel n’est en aucun cas redoutable pour le sujet dans une société plutôt cisgenre, autant dire tolérante, considérant la binarité de genre. Ainsi vu au §-f, que ce soit sous un profil phénotypique ou génétique, les homosexuels sont des gens comme tout le monde. Comme en religion, en société et en politique, c’est l’intolérance qui conduit à la haine, aux frustrations, d’où les discriminations et les violences verbales, et parfois même physiques contre ces profils atypiques.

Le stress qui rattrape ces populations atypiques n’est pas strictement lié au rejet de leur comportement et/ou de leur exclusion dans la société, ce que voudrait laisser entendre les lobbies politiques pour rendre responsable l’intolérance présumée des nationaux indifférents, mais de leur incapacité eux-mêmes à s’intégrer. Si la société doit jouer un rôle pour atténuer la souffrance morale des personnes en mal d’identité sexuelle, ce n’est certainement pas en forçant le passage à un non-retour chirurgical, mais à contribuer à l’insertion et à l’acceptation de soi-même et des autres. Cette question existentielle est la seule qui soit moralement opposable dans un monde naturellement hétérogène. Dans une approche ontologique et sociétale, les « anti-trans » ou « anti-LGBT+ » activistes ne font pas pléthore, eu égard aux changements de mentalités, et les risques qu’ils encourent sous le chef de la discrimination dans les États démocratiques qui assimilent, assistent et protègent les différences.

Le second prix à payer pour accéder au statut « trans », puis de maintenir en l’état cette conversion phénotypique, sera de subir un traitement hormonal de fond, donc à vie, qui délabrera la santé de ces chimères, au fil des années assorties de souffrances physiques et de malaise social. Ces bouchers du sexe (certains chirurgiens esthétiques) avisent-ils les jeunes candidats à ce charcutage du pire qui les attend, comme le prévoit la législation susmentionnée (loi du 31 janvier 2022 susvisée) ? Ces bourreaux de l’âme et du corps sont-ils appointés aux compteurs des réattributions de sex-toys rétroversés, en dévastant la chair humaine ? (Voir pages 72 à 77, « Si la France pouvait parler… » Éditions L’Observatoire du Mensonge).

°°°

Derrière les replis culturels de ces volte-face « trans », que dire de l’écriture inclusive ou l’on met entre parenthèses sa propre langue, ou par analogie, là où paradoxalement le transsexuel n’a le droit qu’à des guillemets s’il veut sauvegarder sa réappropriation de genre ? La non-binarité (genderqueer ou genre non-binaire) entraîne des populations à ne pas s’identifier, ni homme ni femme ; autrement-dit, à s’infirmer. Cette culture de l’effacement et de censure fut responsable d’actes de vandalisme, d’autodafé et de révisionnisme littéraire, jusqu’à déboulonner des statues au motif que l’histoire d’une époque ne correspond plus à l’idéologie du moment imposée. La cancel culture fait aussi œuvre de razzia par fanatisme et intolérance.

Au motif d’un égalitarisme de neutralité, ainsi le refus de distinguer les ethnies ou les genres, il faudrait annihiler les différences, sinon tout ce qui ne convient plus ou serait perçu déshonorant. Ainsi, le best-seller d’Agatha Christie « Dix petits nègres » fut rebaptisé « ils étaient dix ». Ces groupes de pression appellent à la réprobation de tout ce qui ne leur ressemble pas et à leur relégation. La statue de Thomas Jefferson, 3ème Président des États-Unis, a disparu du paysage new-yorkais, au motif qu’il appartenait à l’époque esclavagiste. Comment peut-on gommer l’histoire qui nous a emmené jusqu’ici, sans risquer, par ignorance de ce qui fut soustrait de la mémoire collective, de plonger dans les mêmes égarements ?

Les civilisations lointaines, donc sorties de leur contexte, sont fatalement non transposables aux lois, mentalités et comportements du XXIème siècle. Mais les mœurs et les sciences, bousculant trop vite le temps présent, il ne faut parfois que quelques années pour révolutionner les modes de vie. Le législateur se trouve piégé dans l’inconfort jurisprudentiel qu’il faut rattraper pour recodifier sans cesse le droit. De sorte que les protestations anti-racistes, anti-esclavagistes ou anti ceci ou cela, tournent au négationnisme de l’histoire, en même temps que leurs revendications deviennent antinomiques à leur propre logique. Cet obscurantisme confine à l’ineptie, d’où l’exclusion de la culture et son histoire, lesquelles précisément constituent la valeur ajoutée au savoir, une leçon de chose pour la civilisation en devenir, et un curseur moral pour temporiser la mesure de nos engagements.

A SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


♣ ♣ ♣

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


♣ ♣ ♣



Sommaire :

Un préalable nécessaire

a) Lui ou Elle … qui suis-je ?

b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?

c) Lorsque la nature du couple présidentiel devient un secret d’État

d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre

e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe

Woke et LGBT+, et la charge présidentielle

f) La génétique de l’homosexualité

g) La folie « trans » dans un monde politique qui absorbe tout ce qui brille

1°) La résistance des femmes contre les assauts des « trans »

2°) Quand le lobbying pour la réassignation des genres se fait le rouleau-compresseur de la société traditionnelle

3°) La HAS sous le regard de la justice

4°) L’Adn et le bon sens au secours du genre humain

h) Lorsqu’une loi dédaléenne est promulguée pour défaire un droit équitable

i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État

En conclusion

°°°

📎 📎 📎 📎 📎 📎 📎

Le livre choc est vendu exclusivement sur AMAZON.FR au prix de 18,50 €
et en PDF à 7,50 €

Achat du livre broché en cliquant ICI
et du PDF à recevoir directement par mail


✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽

Retrouvez les livres de Daniel Desurvire en cliquant ICI

♦ ♦ ♦ ♦ ♦

📺 📺 📺 📺 📺 📺 📺

Abonnez-vous gratuitement à notre chaîne en cliquant ICI


Ecrire ci-dessous votre commentaire, vous pouvez utiliser un pseudo.

Recherche


N’hésitez plus ! Soutenez-nous avec un abonnement à 2 € par mois
et c’est 100% sécurisé


Abonnez-vous
Gratuitement :


Nous soutenir

Translate our website into your language by clicking here.

Traduire le site dans la langue de votre choix et cliquer ICI

N’hésitez plus ! Soutenez-nous avec un abonnement à 2 € par mois
et c’est 100% sécurisé

En savoir plus sur Observatoire du MENSONGE

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture