Par Daniel Desurvire

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Alerte! Le Président est-il fou ? 

1°) Macron veut sa guerre mais les Français n’en veulent pas !

Depuis le début de son mandat présidentiel en 2017, précisément depuis la crise sanitaire qui se déclara en France début 2020 pour finir par la victoire du coronavirus, l’échec prophylactique et l’effondrement global de l’économie et des finances, les élucubrations guerrières de Macron n’ont jamais cessé de fuser depuis les crans Tv qu’il investit de façon itérative et abusive. Vraisemblablement pour convaincre les foules candides, ce chef d’État procède régulièrement à de tonitruants appels à la guerre, et/ou à s’y préparer. Sous le moindre prétexte, l’énergumène s’invente des guéguerres à gré de ses délires, voire à l’occasion de circonstances internationale qui lui offrent l’opportunité d’exposer le Peuple de France à n’importe quelle conflagration, sortie de son imaginaire divaguant.

Tel un leitmotiv, cette obsession de la guerre qu’entretien cet individu fut déjà révélée lors de son allocution télévisée du 16 mars 2020, où ce vocable fut par six fois prononcé avec solennité et insistance, « Nous sommes en guerre » ! Pour preuve, passé l’échec de sa première guéguerre contre un virion de 0,07 à 0,14 μm, cet histrion enfila un treillis de combat le dimanche 13 mars 2022 pour parader au Salon Doré à l’Élysée dans une ambiance de veillée d’armes. Ce tragédien de foirail se sera travesti en commando de parachutiste, sweat-shirt noir et logo CPA 10 des forces spéciales de l’armée de l’air, « L’air harassé, barbe de huit jours, rouflaquettes en broussaille, jean et sweat à capuche », selon l’approche hilare du journal Wall Street. Notons que Macron courtise son thuriféraire ukrainien Zelensky, jusqu’à chercher compulsivement à lui ressembler, (Voir « La République en danger – Alerte : une taupe de la secte WEF grimée en soldat parachutiste siège à l’Élysée », Éditions de L’Observatoire du Mensonge, mai 2022).

Comment ne pas avoir honte de cette France qui a maintenu à sa tête un pareil hâbleur, dont on ne sait pas s’il est gagné d’infantilisme ou de trouble bipolaire maniaco-dépressif ? Tel Néron au début de notre ère, qui se produisit devant la plèbe romaine en tragédien, c’est précisément son évocation, associée avec le cacique du présidium élyséen, que subodore la presse interdite par les censeurs de l’Arcom ; un persifflage proscrit par les inquisiteurs de la place Beauvau, de l’Arcom et des sleeping Giants. Tels les Frères prêcheurs dominicains, où la torture se faisait « Le produit de la raison », la censure de l’État-Macron réplique les allégoriques « Ciseaux d’Anastasie » ; symbole du cri crépusculaire de la chouette. Ô Ironie de l’histoire ! « Μάκρον » (hellénisé Makron*), selon l’Anthologie palatine du poète Lucilius (II,95) ; fut un contemporain de Néron, un thuriféraire de l’Empereur (source : Paul Challobos, chercheur au Centre Paul Albert Février, Université Aix-Marseille, Revue de culture grecque). *Est-ce une coïncidence ou une figure fractale du chaos ?

L’artiste anglais, Peter Brook, donna le ton à ce paradigme qui scinde l’imaginaire dissociatif d’un sujet cyclothymique, troublé par sa fiction théâtralisée. Autrement dit, ce trouble dual de l’identité est vécu entre l’espace scénique et les lieux d’assises d’une salle de spectacle, selon l’angle où le regard anamorphosé de l’auditoire se pose : « Dieu réunit ses anges et annonça dans les termes suivants : “Le théâtre sera le domaine où les gens pourront apprendre à comprendre les mystères sacrés de l’univers”. En même temps, ajouta-il avec une désinvolture trompeuse, “ce sera un réconfort pour l’ivrogne et le solitaire” ». Transposons par cette métaphore, un trait saillant du caractère sordide de Macron ; une variable de réflexions qui s’ajuste à ses verbiages chargés d’avanies, de sa faconde impertinente, des logorrhées affectées de ce bonimenteur qui s’ajustent au manteau d’Arlequin, tel son rideau de scène ? Piégé par ses propos insultants contre le Peuple, par l’exercice d’un pouvoir exorbitant, l’individu tente de s’ajuster à sa fonction en se parant d’un suprémacisme qui l’autorise à toutes les audaces du haut de sa suffisance, inhibant du même coup ses complexes refoulés.

Cet exutoire trouve son vocabulaire glauque pour insulter les Français, avec des propos blessants, du haut de son arrogance. Lorsqu’il se fait apostropher dans la rue, il se dégage avec des avanies, sans retenue ni distance, nonobstant sa charge présidentielle, pour simuler sa gêne ou son désarroi. Ainsi le chômeur est un fainéant, des gens qui ne sont rien, puis avec sa morgue, il cite les illettrés du Gard et les alcooliques du bassin minier, et même signifia vouloir les emmerder comme durant la crise sanitaire ! Comment le citoyen lambda pourrait-il respecter un tel individu, au prétexte qu’il occupe la plus haute fonction de l’État, dès lors que ce dernier s’autorise les pires goujateries à son égard ? Prenons la liberté d’ajuster l’Empereur romain susmentionné à ce « Jupiter » de l’Élysée, puisque le modèle, depuis la mythologie grecque au Capitole, rappelle le cynisme d’une sombre épopée, cependant vue dans la médiocrité de sa copie du XXI^ème siècle.

Selon l’analyse du sociologue Marc Joly, le chef de l’État correspond au profil du pervers narcissique, une catégorie créée au XX^ème siècle par le psychiatre et psychanalyste Paul-Claude Racamier (Source : Alain Beuve-Méry, journal Le Monde, le 11 décembre 2024). Dans La Pensée perverse au pouvoir (Anamosa, 288 pages), Marc Joly propose aussi une autre analyse pour expliquer ce qu’il ressort de l’impression du public à travers le profil psychologique de Macron depuis mai 2017, lequel parvient à fasciner des foules de gens, jusqu’à faire oublier ses résultats catastrophiques pour l’État et le Peuple. Ses sautes d’humeur (cyclothymie, trouble bipolaire), son verbiage méprisant, outrageant, puis ses épisodes dépressifs certes y contribuent. Pour l’essayiste Alain Minc, l’individu ne fait que : « traduire un narcissisme poussé jusqu’à un niveau pathologique, avec pour corollaire un total déni de la réalité ».

Reprenant les études des sociologues Norbert Elias et Pierre Bourdieu, Marc Joly susvisé, se fonde sur l’idée empirique de la boîte à outils conceptuelle du psychiatre Paul-Claude Racamier, concepteur du syndrome des pervers narcissiques, ou « Le triomphe d’un concept fou ». L’exploitation effrénée d’individus retors, selon la mise en garde de la clinicienne Émilie Seguin, laisse difficilement les sujets sortir d’une telle relation destructrice, conditionnés par ce maniement des rouages de l’esprit. La démesure mégalomaniaque de son ego, accrue par l’ivresse d’une toute-puissance, suspend le sens du discernement à travers une vision quasi-messianique de sa personne, d’où l’obsession de sa propre image. Par association au long métrage satyrique de 1940, Charlie Chaplin analysa le profil délirant d’Adolf Hitler dans « The Great Dictator », lequel grippait au rideau et faisait tourner son globe terrestre dans l’illusion d’un prodige de lui-même.

Côté intimiste, le Professeur en psychiatrie Adriano Ségatori, expert près des tribunaux italiens, produisit devant les caméras à l’international une analyse pondérée, mais ô combien révélatrice de la personnalité d’un Macron LGBT ! Les sources de ce spécialiste résultent d’informations biographiques et généalogiques : « À l’âge de 15 ans, le jeune Emmanuel Macron a subi une grave agression sexuelle, via sa professeure, qui à l’époque avait 39 ans. Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union qu’on pourrait définir grotesquement comme un mariage réparateur (pour réparer un viol), j’y vois plutôt le fait que s’est bloqué prématurément le développement d’Emmanuel Macron en pleine adolescence, à cause d’une opération de séduction à la fois psychique et physique […] ». Le spécialiste n’hésite pas à porter l’estocade en taxant l’individu de psychopathe. Mais en professionnel, le psychiatre indique qu’il ne s’agit pas là d’un verbiage insultant, mais d’une pathologie.

Dans l’intervalle de ses aliénations, ce va-t-en-guerre éponge des tiroirs-caisses de l’État, de Bercy et à chacun des ministères en passant par les deniers des contribuables et des cotisants sociaux, qu’il saigne à coups de taxes et de prélèvements pour financer ses campagnes guerrières, épuisant les fonds publics et privés sans compter jusqu’au dernier cent, et surtout sans préjuger des lois de finances votées au Parlement. Comme cela n’y suffit pas, le surendettement de l’État (3 705 M^ds d’€ au sens d’Eurostat et de l’OCDE, soit 131,1 % du PIB fin 2023, ce qui amène la France en cessation des paiements) aura augmenté de plus du double (± 2 000 M^ds d’€) depuis son intronisation à l’Élysée, avec un déficit de ± 40 M^ds d’€ de la balance commerciale par trimestre.

Tout ce qu’il touche, il le brise. Tout ce qu’il entreprend se détraque. Tout ce qu’il promet n’est que du vent. La simple évocation de Macron en politique étrangère fait vomir les plénipotentiaires. Entre un chômage endémique, une inflation galopante et une baisse inexorable du pouvoir d’achat, le PIB s’effondre, les fleurons industriels sont bradés, et la dette publique exorbitante ne permet même plus de rembourser le principal. La moitié des impôts directs ne servent qu’à rembourser péniblement les intérêts des contrats de prêts à l’État. L’individu, dispendieux avec l’argent des autres, incapable et malveillant, emprunte à usure aux établissement financiers étrangers, sachant que les banques françaises ne peuvent plus couvrir le coût exorbitant de ses démences. Voici résumé ci-après les plus invraisemblables motifs de ses fantasmes martiaux.

A SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire :

1°) l’idiosyncrasie hallucinante d’un chef d’État

2°) Piqure de rappel : le covid et ses vaccins ad hoc

3°) Des ententes criminelles, entre complicités et mobiles, qui devraient justifier la saisie du TPI

4°) Les conséquences tragiques de la énième guéguerre de Macron

5°) Des indicateurs sur les comportements de Macron à faire froid dans le dos

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