Par Daniel Desurvire

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Alerte! Le Président est-il fou ? 

3°) Des ententes criminelles, entre complicités et mobiles, qui devraient justifier la saisie du TPI

Le SARS-CoV-2 est un virus conçu entre différents laboratoires de recherche à la croisée des chemins entre les États-Unis (Université de Caroline du Nord) et l’Espagne notamment (Centre national de biotechnologie de Madrid), dont les pistes convergent vers l’Institut de virologie chinois « IVW » (laboratoires « P3 » et « P4 » à Wuhan) initialement livré par la France, mais aussi avec d’autres sentinelles de droit privé pour la recherche et le développement (R & D). Il en va ainsi avec le groupe Pasteur Network présent dans 25 pays avec ses 33 membres principalement concentrés en Afrique et en Asie du Sud-Est. De là, nous ne sommes pas très loin de la source du mal, du côté de la souche matrice de ce type de coronavirus apparu du côté de Wuhan, d’où les risques de pandémie par zoonose subodorés.

Étrangement, le 24 novembre 2017, donc deux ans avant l’apparition du SARS-CoV-2, l’Institut Pasteur, avec la Fondation Mérieux et l’Académie chinoise des sciences avaient signé à Pékin un accord de coopération portant sur la création d’un groupe de recherche en virologie sur quatre ans. Il va de soi que l’Exécutif français, avec son président Macron fraichement élu, ne pouvait pas ignorer cette alliance patronnée par un émissaire scientifique et plénipotentiaire missionné par le Gouvernement. Doit-on souligner que des protagonistes du Forum de Davos (la secte WEF), dont Macron était déjà un membre actif et influent depuis 2014, était parfaitement initié à cette tragédie mondiale qui se préparait ? Rappelons également que les vaccins sont apparus sur le marché quasi-simultanément après l’apparition de la pandémie quelques mois auparavant, alors qu’il faut en moyenne 3 ans après le dépôt du projet à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, pour l’obtention d’une AMM (Art. R5121-34 et suivants du code de la Santé publique).

Certaines valeurs universalistes prennent des raccourcis avec le Big Pharma, lequel prend ses assises industrielles sous le mobile de la « R & D » d’agents infectieux émergents*, d’abord sous l’honorable casquette humanitaire pour lutter contre des micro-organismes artificiels très virulents, sinon de prévention militaire pour anticiper la fabrication clandestine d’armes biologiques, donc de parer à l’éventualité d’une guerre bactériologique emmenée par une puissance terroriste. Sauf qu’à vouloir jouer avec le feu, les fuites probables peuvent se produire en laboratoire de recherche autorisé, quoique hautement surveillé par les inspecteurs ayant la charge de faire respecter le Règlement sanitaire international (RSI, 2005). Une malveillance peut aboutir à disséminer en aérosol des virus mutants, même anaérobies puisque quelque peu résistants au dioxygène. Les vols d’éprouvettes ne sont pas chose rare en ces milieux aseptisés, car il ne suffit que d’un point de de faiblesse vénale, pour qu’un micro-organisme et ses données informatiques s’évadent vers des cieux moins stériles.

En échappant de la sorte à ces normes de précaution, comme ce fut le cas avec le SARS-CoV-2, les personnes vaccinées avec des substances exploratoires injectées privées des procédures obligatoires de l’AMM galvaudé par voie réglementaire, sont ainsi traitées à la façon de cobayes, hors des laboratoire P4 ou UB’L3, où légalement s’expérimentent le produit des recherches multidisciplinaires. En d’autres termes, l’étape de randomisation écartée aura transformé toute une nation en un parc de rats de laboratoire, volontaires et dociles, car mis en confiance par l’État-Macron, son ministère de la Santé et l’Union européenne. Au résultat, un pourcentage létal, jamais atteint dans l’histoire des vaccins, met en relief l’hécatombe prématurée de gens vaccinés, sinon souffrant de lésions irréparables, dont beaucoup sont répertoriées par les instituts indépendants de contrôle des médicaments et de veille sanitaire (dont EudraVigilance – European Medicines Agency, etc.).

Ces conséquences gravissimes se chiffrant par millions de décès dans le monde catégorisés en 27 pathologies souvent irréversibles, le tout est soigneusement dissimulé par le corps médical complice, car soudoyé par une prime dédiée. Sous l’égide du pouvoir politique corrompu, à l’aide de chantages fiscaux sur leurs médias serviles ; le tout est placé sous la surveillance des chiens de garde de la communication, comme l’Arcom ou les sleeping Giants en France. Mais il en est tant d’autres de mercenaires et de collabos, que leur félonie se fait de plus en plus contagieuse, aussi pernicieuse que le virion, vecteur de cette propagation du mal, autant infectieuse que vénale. En échange, les chercheurs courageux et patriotes, professeurs, scientifiques et praticiens qui s’opposèrent à cette campagne d’éradication démographique, furent lourdement sanctionnés, suspendus ou placés au ban des reprouvés, donc jamais invités sur les plateaux médiatiques pour s’expliquer, au motif de conspirationnisme.

Pour l’information du public profane, toute personne malade ou qui décède par suite de ces vaccins (à vecteur génique ou à adénovirus), est comptabilisée dans les statistiques mystifiées parmi les victimes du Covid ! (Voir les ouvrages s’y rapportant en bibliographie https://wp.me/p2qpcs-AUN). Pendant ce temps, l’argent s’amasse offshore, dans les coffres des sociétés financières extraterritoriales ; des paradis fiscaux au service de gens malfaisants ; les uns coupables de non-assistance à personnes en danger, les autres susceptibles de poursuite au motif de crimes contre l’humanité.

À l’occasion d’un entretien aux Échos, le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt déclara : « Si l’on fait le compte total, sur les trois années frappées par la crise sanitaire, la facture pour ces dépenses dépasse les 140 M^ds d’€ ». Aides d’urgence pour les entreprises, plans de relance et de solidarité, qui comprenaient le financement du chômage partiel, vaccins, tests de dépistages…, le fameux « quoi qu’il en coûte » de Macron n’aura que trop duré, et coûté très cher aux Français, jusqu’à relayer cette dette à leur postérité (cf, Marc Vignaud). Les 140 M^ds d’€ que coûta la crise sur les trois premières années, n’est que le prélude de cette gabegie meurtrière dans un pays devenu financièrement exsangue, non pas parce que l’hémorragie fut stoppée, mais parce que l’insouciance des endormis en redemande, et que les électeurs poursuivent un même cheminement électoral controuvé ; là où l’État-Macron aura pipé les cartes.

A SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire :

1°) l’idiosyncrasie hallucinante d’un chef d’État

2°) Piqure de rappel : le covid et ses vaccins ad hoc

3°) Des ententes criminelles, entre complicités et mobiles, qui devraient justifier la saisie du TPI

4°) Les conséquences tragiques de la énième guéguerre de Macron

5°) Des indicateurs sur les comportements de Macron à faire froid dans le dos

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