De Jupiter, Macron est devenu Saturne !

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15 octobre 2025

Par Gérard-André Elles

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De Jupiter, Macron est devenu Saturne !

Ah, Emmanuel Macron, ce prodige de la politique française, qui, tel un astronome en pleine crise existentielle, a décidé de troquer sa couronne de Jupiter pour les anneaux de Saturne.
Qui aurait cru qu’un président pouvait jongler avec les crises comme un clown dans un cirque en déroute ?

Avant même que les élections de 2017 ne se transforment en un spectacle de magie où Macron apparaissait comme le grand sorcier de la politique, ses partisans, ces fervents vendeurs de rêve, nous promettaient une vélocité intellectuelle à faire pâlir Einstein. Mais voilà, le président semble avoir pris un virage à 180 degrés… en marche arrière, bien sûr !

Un ballet de démissions

Imaginez la scène : un dimanche soir, Macron donne son feu vert, le lundi matin, il accepte la démission de son gouvernement, et le lundi soir, il rappelle le Premier ministre démissionnaire pour lui demander de négocier une « plateforme d’action ». C’est un peu comme si un chef d’orchestre décidait de changer de partition en plein concert, n’est-ce pas ? Et pendant ce temps, il s’assure que Lecornu ne reste pas à son poste, parce que, pourquoi pas ?

La communication à la sauce Macron

Entre deux pirouettes, notre cher président organise une petite opération de communication avec BFM TV, son ami Robert Saadé à la manœuvre, pour nous faire croire qu’il maîtrise la situation. Mais soyons honnêtes, même lui doit se demander s’il ne s’est pas perdu dans son propre labyrinthe de promesses. Le réel est devenu trop petit pour lui, et il semble avoir oublié que la France a besoin d’un capitaine, pas d’un illusionniste.

Le dilemme du forcené

Face à un forcené, le négociateur doit évaluer la situation. Mais qui peut vraiment évaluer la dangerosité d’un homme qui refuse de démissionner alors que la France est à l’agonie ? Macron, en bon narcissique, préfère briller sur la scène internationale plutôt que de s’inquiéter du sort de son pays. Démissionner ? Jamais ! Ce serait trop… commun.

La fin d’un règne ?

Tandis qu’il évoque la possibilité de prendre ses responsabilités en cas d’échec des négociations, les chroniqueurs s’interrogent : dissolution, démission ? Pendant ce temps, lui, il songe à l’article 16, comme un enfant qui rêve de superpouvoirs. Mais n’oublions pas, ce personnage, élu et réélu, est en train de finir son œuvre de destruction.

Un président perdu

Macron, barricadé dans son bureau, la kalachnikov à droite et le pot de poudre à gauche, attend quoi ? Une révélation divine ? Il s’est perdu dans son rêve de grandeur, et la légitimité politique s’est évaporée. La France se meurt, et pendant ce temps, les charognards jouent à la chaise musicale pour Matignon.

En somme, Macron est devenu le Saturne de notre époque, entouré de ses anneaux de promesses non tenues et de crises à répétition. Qui sait, peut-être qu’un jour, il retrouvera son chemin vers Jupiter… ou pas.

Gérard-André Elles

Les Républicains : Un Voyage au Pays des Illusions

Ah, les Républicains (LR), ce parti qui semble avoir perdu le GPS de sa propre existence. Entre le désespoir et la consternation, on se demande s’ils ne devraient pas envisager une carrière dans le cirque, tant leur jonglage politique est impressionnant. Comment conserver sa gamelle tout en feignant de contrer le président ? Voilà une question qui mérite un prix Nobel de l’absurde.

Les LR, champions du monde de la manipulation politique, naviguent entre loyauté et trahison comme des marins ivres sur une mer agitée. Leur capacité à faire le grand écart entre le soutien à Macron et la critique de son gouvernement est tout simplement époustouflante. Qui aurait cru que la loyauté en politique était un concept aussi flexible ?

Les tergiversations incessantes et les égos surdimensionnés plongent leurs électeurs dans un océan d’incompréhension. On pourrait presque croire qu’ils s’entraînent pour un marathon de l’inefficacité. La désintégration des LR est imminente, et il serait peut-être temps qu’ils choisissent un camp, n’est-ce pas ?

Avec leur célèbre mantra du « en même temps », les LR semblent avoir trouvé la recette du succès : un pied dans le gouvernement, un pied dans l’opposition. Quel courage ! Ils espèrent sans doute que les Français oublieront leur forfaiture. Ce n’est pas près d’arriver.

Ironie du sort, le Rassemblement National, que Lecornu a méprisé, pourrait bien faire un carton aux prochaines élections. Pendant ce temps, les LR continuent de se débattre dans leur propre marasme, se demandant sûrement s’ils auraient dû suivre Ciotti.

Il est urgent que ces politiciens se recyclent, mais pas dans l’hémicycle. Certainement dans la fabrication de girouettes, où leur expertise en changement de cap serait enfin mise à profit.

En somme, les LR sont en pleine quête d’identité, mais à ce rythme, ils pourraient bien finir par se perdre dans le labyrinthe de leur propre incompétence.

Et que dire de la dernière trouvaille ? Un gouvernement technique, comme si nous n’avions pas déjà assisté au désenfumage d’un bâtiment en flamme. Macron et son acolyte semblent inventer l’enfumage d’un pays en ruines.

Gérard-André Elles

Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression !
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