qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Par Daniel Desurvire

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De terrifiantes réalités
qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

Chapitre 33

La fracture : une guerre de civilisation qui flambe sur les ruines d’un paupérisme orchestré par l’État-Macron, et l’immigration à l’assaut de la France

Des croyants enragés tuent sous l’empire de pulsions haineuses. Les « impurs », ainsi désignés dans le Coran, sous les tourments de cette vindicte, peuvent faire l’objet de haine, de tourments et de châtiments jusqu’à leur ôter la vie ; tant dans les théocraties islamiques que dans les zones périurbaines des États de l’Union. Les fondamentalistes de ce culte persistent encore à faire appliquer ces aphorismes coraniques d’un autre âge. Tous les non-musulmans, sans discernement d’âge ou de sexe, sont en danger de mort dès lors qu’ils sont pourchassés au motif de leur liberté de conscience, pourvu qu’Allah, depuis son lupanar céleste, offre à leur bourreaux la récompense sexuelle de quelques dizaines de vierges (houris) à déflorer.

La pédophilie et la polyandrie en islam sont symbolisées et encouragées par le soi-disant prophète Muhammad, lequel épousa Aïcha, une enfant de 7 ou 9 ans selon les interprétations hadithiques de la Sunna, alors que ce messager de l’islam disposait déjà d’un confortable harem de dizaines d’épouses, concubines et esclaves sexuelles (Voir de l’auteur, « La malédiction de naître femme en islam », éd. Edilivre, 2016). Ce schéma glauque délivre la clé de cette perversion à l’épicentre de ce culte ; un ouvrage qui devrait être interdit dans les pays laïcs et civilisés, sachant que les fanatiques frappés de cette orthodoxie religieuse n’hésitent pas à commettre le pire contre les non-Musulmans ; polythéistes et incrédules ; agnostiques, apostats, mécréants et athées, sans ménagement.

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Toutes ces formes païennes et profanes venant de ceux qui n’ont pas fait allégeance à Allah (chahâda) ou ne respectent pas le devoir des « cinq piliers », antithéistes ou hérétiques, sont désignés, selon le droit coranique, comme des cibles à abattre pour les « bons Musulmans », à qui leur démiurge confère le droit de tuer, en particulier les Hébreux (le judaïsme de l’histoire). Être tué pour tuer est un privilège accordé aux disciples d’Allah au titre de martyr (châhid), où ce culte encourage l’addiction au sexe en leur promettant cette délivrance au paradis. Dans le détail, l’élu mâle sera préservé d’un priapisme douloureux pour satisfaire autant de houris que possible, et l’hymen de la jeune prostituée sera reconstitué après chaque coït. Les sex addicts et autres psychopathes souffrant d’une désintégration émotionnelle (impuissance, frustration, syndrome de l’évitement, complexe d’infériorité, introversion, rupture de lien social…) trouvent dans ce culte tous les ingrédients de la perversité et du crime, à la façon d’une secte qui rameute les plus fragiles et les pervers. La révélation soudaine suivie d’exaltation orchestrée par un manipulateur de l’âme, induit des idéalisations toxiques et une assuétude au fanatisme, à fort risque de violence et de passage à l’acte.

Un déclic homicidaire constitue la réponse à un appel au terrorisme. Sous le dard contaminé d’une malignité enfouie par imprégnation communautaire séculaire, la pathogénie cultuelle fait sa nouvelle entrée dans le monde moderne. Cet embrigadement provoque une addiction sous l’empire de pulsions activées dans le circuit cérébral du forcené conditionné à la recherche d’une récompense ; sa dopamine d’apaisement sur un tapis de prière tourné vers la Mecque. Ce processus d’assuétude à la violence agit comme un neurotransmetteur du crime, après les prêches martiales d’un forcené en charge d’un imânat. Ce pourquoi le pire, l’inimaginable peut survenir.

Dernières horreurs en date, à Annecy le 8 juin 2023, fut l’attaque au couteau par un réfugiés syrien qui blessa six personnes, dont quatre enfants de 22 à 36 mois, pourchassant une mère avec sa poussette pour tenter de l’achever. Sans connaître leurs victimes et sans mobile apparent, ces Musulmans sont assurés d’obéir à leur démiurge. Ces agressions font pléthore en France et ne cessent de se produire au jour le jour. Contre vents et marées, pour endormir la conscience populaire et remplacer l’indignation et la colère par l’indifférence, l’État-Macron fait retirer des médias et d’internet les preuves accablantes filmées par des témoins et relayées sur YouTube, où ces violences laissent apparaître la source migratoire de ce mal, précisément organisée par l’oligarque de l’Élysée sous la dictée du WEF et de la Commission (UE).

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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