La plus terrifiante affaire judiciaire de l’UE porte désormais un nom : Ursula von der Leyen

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Par Daniel Desurvire


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La reine Ursula déchue ?

La plus terrifiante affaire judiciaire de l’UE porte désormais un nom : Ursula von der Leyen

Seconde et dernière partie :

2°) Un laboratoire pharmaceutique aux cent procédures judiciaires, adoptées par Ursula von der Leyen pour sauver des vie humaine sous le manteau de la corruption

Faut-il rappeler que le SARS-CoV-2 est à l’origine un frankenvirus fabriqué de la main de l’homme en laboratoire P3 et P4 ; une chimère qui fut transportée, manipulée et plusieurs fois retoquée entre trois continents, alors que promptement des vaccins apparurent quasi simultanément avec la Covid-19 sur le marché ! (Voir p. 23 à 30, « L’effroyable conjuration du Forum de Davos… » Éditions Observatoire du Mensonge). Ne voyons-nous pas surgir ici le spectre d’une effrayante intrigue internationale emmenée par la confrérie alpine du World Economic Forum (WEF) ; une poudrière de multimilliardaires hégémonistes qui rêvent d’une société d’insectes sociaux et de politiciens inquisitoriaux contaminés par la fièvre du mondialisme ; le Great Reset du gourou Klaus Schwab, agrémenté de pratiques collectivistes au parfum totalitaire.

Sous les effets délétères d’une fièvre propagandiste endiablée, entre les neurotransmetteurs politiques et les addictions à la seringue, une hécatombe post-vaccinale se déclara, prenant le relais du virus sur le vieux continent. Dès le 31 juillet 2021, la folie des centres de vaccination se solda par 20 525 décès et de 1 960 607 pathologies graves (27 répertoriées) sur le seul premier trimestre 2021, en retenant que ce décompte ne pouvait être que la partie émergée de l’iceberg. De fait, il ne pouvait s’agir que des mortalités médicalement reconnues en soins hospitaliers, et non de comorbidité pour entretenir la confusion (Source : instituts de veille sanitaire et de contrôle des médicaments, dont European Medecines Agency, EudraVigilance, etc.). Il s’avéra rapidement, au fil des campagnes de vaccination entre 2020 et 2023 que les vaccins-Covid engendrèrent plus de dégâts de santé et de morts que le virus lui-même censé être combattu par ce prétendu remède prophylactique (Voir à ce propos la dizaine d’ouvrages de l’auteur publiée aux éditions Observatoire du Mensonge).

Certes, depuis les textos échangés entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla à l’origine de cette débâcle orchestrée par le WEF, ces deux acolytes fourbirent moult clauses de réserve de responsabilité sur les contrats de fourniture, pour espérer échapper aux risques de poursuites judiciaires sous le chef de « crime contre l’humanité », au mieux de « non-assistance à personne en danger ». Alors qu’il fut annoncé que ces vaccins, géniques ou adénovirus, dès leur lancement annoncé par la presse, qu’ils étaient efficaces à plus de 95 % et qu’ils stopperaient tout net la contagion, il est apparu très rapidement sur le terrain qu’il n’en fut jamais rien, et qu’il fallait exécuter des rappels d’injections sans discontinuer, cela en prenant le relais d’une catastrophe sanitaire. Ce manège tueur d’anticorps s’avéra générateurs de nocuités sur le système immunitaire des patients ainsi sur-vaccinés, mais autant producteur de dividendes pour les actionnaires du Big Pharma et de royalties aux politiques.

Devant l’échec patent, mais pour ne pas rompre le charme des filtres magiques depuis la marmite des apprentis sorciers issus de cette industrie nauséabonde, il fut sans cesse revivifié un climat de psychose et d’hypocondrie aux fins de maintenir un état anxiogène hallucinant, non plus par des états d’urgence devenus ingérables, mais en évoquant que les vaccins évitaient les formes graves, alors qu’aucune preuve ni témoignage indépendant n’a jamais étayé une telle affirmation. Bien au contraire, toujours selon les statistiques relevées par les instituts de veille sanitaire susvisés, cette inversion des réalités, relayée par les médias serviles à cette assuétude institutionnelle, aura maintenu encore longtemps cette commotion paranoïde d’un public autant naïf que victime. Ce qui nous ramène à rejeter l’excuse insidieuse du secret invoqué par les cocontractants des contrats de vente desdits vaccins-Covid, en s’adossant à l’article 1170 du Code civil français qui dispose : « Toute clause qui prive de sa substance l’obligation essentielle du débiteur est réputée non écrite ». Mais ici, en droit prétorien, tout restera encore à faire, après la déchéance de la présidente de la Commission UE, où suivront Emmanuel Macron le pire de tous, puis bien d’autres prévaricateurs et accrocs au sceptre liberticide depuis les États de l’Union.



Autrement dit, la clause de non-responsabilité est ; soit léonine, puisque l’exigence en substance du débiteur (La commission UE débitrice) n’est rien d’autre qu’une obligation de résultat, sinon le produit d’une entente illicite, donc à caractère pénal, en acceptant que tous les risques soient supportés par les citoyens européens. Ces derniers sont supposés faire confiance à leurs institutions, alors-même que cette engeance politique est discrètement guidée par la nébuleuse sectaire sise à Davos (CH) : le World Economic Forum. À ce propos, voir l’ouvrage publié à L’Observatoire du Mensonge, « L’effroyable conjuration du Forum de Davos… » (19 avril 2023), p. 47, 122, 191, 212, 218 et 227. Après l’évaluation du profil de la multinationale Pfizer Inc., nombre de procédures judiciaires, amendes et pénalités ont jalonné le parcours industriel et crapuleux de cette entreprise biopharmaceutique née en 1849 à New York, désormais présente dans 150 pays.

La question est de comprendre comment, la plus haute responsable de la branche exécutive de l’Union européenne a-t-elle eu l’imprudence – ou l’audace – d’engager autant de milliards d’euros depuis les caisses de la BCE, au profit de cette société pour l’achat de vaccins expérimentaux, dont nul ne pouvait alors obtenir la garantie de leur innocuité et de leur efficacité ; puisque privé de recul et des principes de précautions. Rappelons qu’il faut ordinairement plus d’un an, voire deux ou trois années de recherche et de preuve d’innocuité, pour qu’un médicament obtienne une autorisation de mise sur le marché (AMM). Or, ces vaccins-Covid, conçus à la hâte et fabriqués à profusion de façon invraisemblable, inondèrent le monde par milliards de doses plus ou moins un semestre après l’apparition du méchant coronavirus. Comment est-ce possible, sinon d’envisager que ces remèdes préventifs furent fatalement élaborés en même temps que le virus ?

Ce pourquoi, entre naïveté et corruption, un leadership s’est confortablement installé entre Bruxelles et le canton des Grisons en Suisse (le WEF), le tout sur un canapé de dollars US et UE, en communion avec les sociétés extraterritoriales qui abritent les paradis fiscaux ; le tout emmené par une société conseil qui n’est pas plus respectable. Si cette analyse peut paraître un peu trop véhémente, rappelons pour la petite histoire que le président directeur général de McKinsey & Company, Rajat Gupta, purgea une peine de prison de 2 ans, jugé coupable de délit d’initié entre 1994 à 2003. Mais ce ne fut qu’un préambule devant les annales qui suivirent.

Cette procédure judiciaire emmenée autour d’un scandale financier sordide de la Sté Pfizer fut aussi retentissante que l’affaire de Bernard Madoff qui secoua les places boursières dans le monde. Quant à la crise des opiacés aux États-Unis, via les conseils éclairés du groupe McKinsey, la firme aura payé une amende de 573 millions de dollars US pour solder les poursuites judiciaires qui se multiplièrent sur tout le territoire Nord-américain. Le jeu marketing cynique et délibéré de ladite firme consista à faire sur-prescrire des opiacés au groupe Perdue Pharma et aux médecins. Depuis 1999, 400 000 Américains dans 47 États sont décédés d’overdose par suite d’absorption d’une molécule narcotique délivrée par le laboratoire Mallinckrodt (Voir p. 103/104, « Emmanuel Macron – une anomalie présidentielle », éditions Observatoire du Mensonge). Comme il semble que l’histoire, même proche des annales d’actualité, n’ait pas de mémoire dans l’hippocampe d’Ursula von der Leyen, les transnationales Sté Pfizer et McKinsey ont encore de beaux jours à Bruxelles ; la plateforme de la Commission UE.

Même si la plupart des laboratoires pharmaceutiques furent épinglés par la justice un peu partout dans le monde, la multinationale Pfizer siège sur la plus haute marche du podium, car a de nombreuses reprises condamnée à de lourdes amendes dans un passé récent, pour des faits de pratiques commerciales frauduleuses, telles les publicités mensongères, la corruption de médecins et de fonctionnaires, mais aussi pour non-respect de l’environnement et des droits humains. Avant l’apparition du SARS-CoV-2 fin 2019, des associations américaines, comme les organismes de surveillance Public Citizen ou Good Jobs First ont compilé les condamnations de différents groupes pharmaceutiques, dont principalement la firme Pfizer. Dans un rapport rendu public en 2018, Citizen releva que de 1991 à 2017, Pfizer s’est vu infligé des pénalités financières à hauteur de 4,7 milliards de dollars aux États-Unis et cent millions d’euros un an auparavant au Royaume-Uni, en raison de hausses de prix non négociées.

Une base de données « Violation Tracker » de l’organisation US Good Jobs First, recensa un record de pénalités supérieur à dix milliards de dollars US, depuis l’an 2000 à 2019, entre le siège Pfizer et ses filiales. Ce palmarès judiciaire appela la défiance du corps médical envers cette nébuleuse, « rempli d’affaires dans lesquelles elle a été accusée d’avoir trompé les autorités de réglementation et le public sur la sécurité de ses produits » (Philip Mattera, directeur de recherche à Good Jobs First et Corporate Research Project). Mais la liste des indélicatesses politiques et des malversations commerciales n’est pas exhaustive, puisque bien d’autres sanctions judiciaires se cumulèrent autour de cette firme, reine du Big Pharma, entre des valves cardiaques défectueuses, des surfacturations de médicaments, de fausses déclarations sur les produits, puis encore des violations des droits humains comme le test d’antibiotiques sur des enfants nigériens sans l’accord des parents. À la lumière de cette expérience criminelle, il semblerait que la pratique de tester ses molécules à vecteur génique dépourvues des étapes cliniques sur des cobayes humains à leur insu, car sans autre explication scientifiques que des menteries, trouva sa dimension la plus spectaculaire chez Pfizer avec les vaccins-Covid !

Pour clore cette lugubre liste des infractions et crimes de ce laboratoire pourvoyeur de malhonnêtetés, citons la sanction de 2,3 milliards de dollars versée en 2009 pour des pratiques commerciales concernant l’anti-inflammatoire Bextra retiré du marché en 2005. Outre la promotion de ses médicaments pour des utilisations non approuvées par la Food and Drug Administration US, l’organisme qui délivre les autorisations de mise sur le marché (AMM), en 2012, Pfizer fut sanctionné de 60 millions de dollars dans une affaire de corruption, au motif d’avoir « pris des raccourcis pour développer ses affaires dans plusieurs pays d’Eurasie, en versant plusieurs millions de dollars de pots-de-vin à des responsables gouvernementaux en Bulgarie, Croatie, Kazakhstan et Russie », selon les conclusions de la juridiction américaine compétente. Pfizer fut également visée par une enquête pour corruption en Chine, condamné à une amende de 15 570 dollars et à la confiscation de 468 000 dollars. Enfin, une énième enquête fut ouverte pour des faits similaires relevés par la Securities and Exchange Commission.

Rappelons que c’est la secte WEF (Forum de Davos), avec les sociétés conseils (ainsi McKinsey), puis Ursula von der Leyen présidente de la Commission UE qui déléguèrent en chaîne, pays par pays, cette dilapidation de l’argent public sur toute l’Europe de l’Union, avec des commandes astronomiques de vaccins-Covid de tous les dangers. Emmanuel Macron s’engagea avec force et violence pour obliger ses concitoyens à se faire piquer trois à quatre fois par an, à l’aide de centaines d’ordonnances, de lois et de décrets comminatoires et de répression, jusqu’à priver de leurs droits civils les récalcitrants : interdiction de travailler pour certaines professions, de voyager, de consommer etc. Ce galvaudage des deniers publics, notamment avec les vaccins invendus donc périmés se perpétue encore de nos jours, à coup de centaines de milliards d’euros. Le produit financier de ces seringues circule depuis les caisses des cotisations sociales et la fiscalité des contribuables jusqu’aux comptes bancaires numérotés offshore des laboratoires pharmaceutiques, en passant par les commissions occultes versées aux politiciens, puis aux gratifications de professionnels médicaux peu scrupuleux.

Toujours sous le sceau de l’urgence et de l’exception, l’absence de garantie des produits et la clause de non recours en cas d’accident consécutif à cette prophylaxie d’expérience, auront permis auxdits laboratoires d’opposer la propriété intellectuelle sur leurs vaccins, dont le monopole autorise des profits considérables selon le député européen Marc Botenga de l’ONG ; « Un hold-up sur notre sécurité sociale » ! Le manque de coopération de Pfizer, lequel a emporté une très large majorité des contrats, ajouté au silence complice d’Ursula von der Leyen dans les coulisses de ces tractations, le pire apparaît envisageable en termes d’enrichissement personnel, de trafic d’influence, de concussion et de népotisme entre son époux, le Dr Heiko directeur dans une filière du Big Pharma, et l’un de ses fils David, directeur d’un cabinet conseil McKinsey, principal intermédiaire dans ces marchés, notamment installé à l’Élysée. Ici, tout est dit !

S’agissant de ce personnage haut en couleurs (de l’Ukraine), chef de file dans cette vaste escobarderie, entre duplicité et prévarication, comment se prétendre une élue indépendante et impartiale au sommet de la Commission (UE), lorsque l’on a un pied dans le Big Pharma avec une partie de sa famille compromise, et l’autre au titre de cliente au pied d’un oligopole pharmaceutique au nom de l’Union pour trafiquer avec les produits viciés de ces laboratoires ? L’excuse évoquée de protéger la santé des populations s’en trouve à ce jour trempée dans les draps d’affaires glauques sous l’alibi d’une cause sanitaire qui a lamentablement échouée, sauf pour ses promoteurs. Cette enragée des vaccins dilapide les fonds de l’Union avec 4,2 milliards de doses déjà achetées, principalement à Pfizer, pour forcer les États membre à acheter ces fioles d’élixir funestes, car inefficaces et toxiques, qu’elle commande au rythme de vagues spéculées.

FIN

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Retrouvez la première partie :

La reine Ursula déchue ?


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7 thoughts on “La reine Ursula déchue ? (Suite et fin)”
  1. Quel article ! Dommage que les Français soient des veaux abreuvés par la télé qui les intoxique en permanence.

  2. Une nouvelle fois , tous mes compliments Daniel Desurvire pour avoir dénoncer courageusement, et avec brio, tout le très puissant système corrompu qui dispose d’un pouvoir excessif , puisqu’il règne, au moins, en 150 États, depuis trop longtemps, sur notre planète.
    Serait-ce trop demandé que ces gangsters masqués soient, enfin, démasqués et tous châtiés justement ?
    Permettez-moi , cependant, d’en douter.
    Aux commandes , ils disposent de l’ensemble de tous les moyens, et ils ont plus de poisons dans leurs multiples sacs.
    Milliardaires, de surcroît, ils vont encore nous toiser de haut avec mépris, crachant leur venin composé de paroles impures , tels des froussards , nous entendrons : ” Venez nous chercher ! ” , se croyant tous devenus t ” intouchables”, protégés par une idéologie ” En marche ” vers un totalitarisme qui mènera tous les peuples de la Terre vers l’esclavage du genre humain soumis au service d’une secte religieuse .
    Ce qui peut paraître antinomique lorsqu’il s’agit de la France qui ose prétendre être le “Pays des Droits de l’Homme et du Citoyen”, malheureusement, à ce jour, cela n’est plus exacte , en de nombreux points ,sauf si nous nous comparons avec d’autres Pays qui sont horriblement totalitaires, évidemment.
    A ce propos , il serait bon de revenir dans le passé , au cœur de notre si ” Belle Histoire “, notamment, pendant les heures sombres de notre première république qui a commis plusieurs millions de crimes, dont le génocide vendéen pour satisfactoire aux intérêts barbares d’une République naissante.
    Aujourd’hui, que reste -t-il de la FRANCE de nos glorieux Compatriotes qui sont morts pour ” ELLE ? ”
    Par exemple , dans sa République woke , Édouard Philippe s’est lâché , il a décidé d’ajouter à notre actuelle devise républicaine (qui est encore ” Liberté Égalité Fraternité” ) , le grand mot : ” VOLUPTÉ ” sur le fronton de la Mairie du Havre confirmant ainsi son amour pour le régime mondialiste .
    Selon mes sources , l’installation de cet ajout voluptueux serait un test de lettrage pour valider le système de fixation d’une œuvre liée à : ” Un été au Havre ” qui sera mis à jour le 25 mai prochain, pour inscrire le territoire havrais au cœur des réflexions sur la présence permanente de l’art dans les nouveaux imaginaires de la Ville de demain.
    LE HAVRE deviendra , alors, le laboratoire imaginaire des nouvelles formes urbaines avec la première édition de ” Métamorphoses ” afin d’animer et embellir les espaces publics pour que la ville s’affirme comme un terreau fertile de nouvelles expériences imaginaires.
    Or, vous devez savoir que ” IMAGINE” est un leitmotiv mondialiste, et le thème principal de nombreuses Grandes Associations Humanitaires mondialement connues, dont Édouard Philippe, ne manquera pas de se servir, lorsqu’il se présentera aux prochaines élections présidentielles.
    Mais toutes ces bonnes idées “imaginaires” ne rempliront point réellement de nourritures terrestres les bols vides de pauvres gens qui survivent dans ce monde impitoyable, et ils continueront à mourir de faim dans les espaces imaginaires animés sous la houlette d’Édouard Philippe.
    Faudra t-il rappeler la dure réalité : aujourd’hui, en France, notre Fondation estime à 352.000 le nombre de personnes sans domicile ( 32.540 de plus qu’en 2022. Au total, près de cinq millions de personnes sont très mal logées , privées du confort de base .
    Les mauvaises conditions d’habitat en France perdurent depuis trop longtemps ( je les connais depuis ma naissance en les années quarante et plus , par conséquent, Édouard Philippe serait, peut-être, bien inspiré de ne pas seulement suivre le chemin imaginaire mondialiste.
    Sil est vrai que le monde de la réalité a ses limites, et le monde de l’imaginaire n’a pas de frontières , nul ne peut échapper à la réalité , car elle nous rattrapera toujours.
    Et l’imaginaire est rêve qui fuit la réalité, seule la réalité est le phare qui éclaire nos vies.
    Le grand écrivain français Jean Giono disait : ” la réalité, pour moi, est sans intérêt, j’ai besoin d’inventer absolument tout.
    Cependant, dans son livre: ” L ‘ Homme qui plantait des arbres “, c’était réellement , pour faire aimer planter des arbres.
    En fait, s’il existe une réalité qui dépasse l’ Imaginaire, c’est bien ” VIVRE ” sur Terre.
    L’ Homme ne vit pas que d’imaginaire , ni seulement de mots , il est fait de chair , de sang , et de cœur.
    Nous n’hériterons point d’Imaginaire.
    PLANTONS DES ARBRES ET DES ARBRES , tout simplement.

  3. Merci de confirmer ce que nous pressentions déjà: cette escroquerie doublée d’empoisonnements mondiaux; “forcés” de se faire inoculer des vaccins fictifs devrait passer en jugement et condamner à la prison à vie ces escrocs assassins

  4. La lumière finit par percer la nuit et les liens entre cette dame et le PDG de Pfizer semblent bien établis : la reine finira déchue forcément, ce n’est qu’une simple question de temps.

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