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L’État-Macron, chancre des fake news et du hacking #3
Par Daniel Desurvire
Chapitre 3
Pour ces élus, magistrats indélicats et fonctionnaires serviles satellisés autour d’Emmanuel Macron, il s’agit prioritairement de verrouiller les populations dans un mensonge permanent. Ces pratiques sont devenues quasiment incontrôlables tant elles s’impriment de façon hypnotique et subliminale dans le mental chloroformé des citoyens sur leur confort canapé, puisque rien ne sera vérifié ni contesté. Puis encore, l’État inquisiteur n’a de cesse que de pirater les données mobiles et les ordinateurs, jusqu’à sanctionner l’indésirable avec la puissance d’une 5G sur tout ce qui s’ouvre sur la liberté d’expression, la confidentialité citoyenne et la diffusion d’informations indépendantes hors du contrôle de l’Exécutif.
Cette doxa médiatique des barbouzes de l’État-Macron s’acharne sur les opposants, les écrivains et la presse en ligne non stipendiée par l’État, donc libre. Aujourd’hui, les dissidents de cette fronde contre la liberté d’opinion, d’écrire, de correspondre ou de partager sont menacés, interdits ou censurés. Tout est contrefait par les spécialistes du CSA de façon partisane et illégale. Ainsi, critiquer la politique d’immigration est dénoncé au titre de comportement raciste, ou faire remarquer que les attentats terroristes sont quasiment tous islamiques est aussi du racisme, car il ne faut « pas faire d’amalgame » ! Pour ces chiens de garde du politiquement correct, tous les coups sont permis, de la rumeur à la délation jusqu’au lynchage des réseaux sociaux, des sites ou des blogs. Seul compte la parole du Président, tout le reste n’est que délit d’opinion.
La presse et le livre en ligne, dont les diffusions étrangères, sont pourtant protégés par le droit national et les conventions internationales. Mais ce droit est souvent bloqué pour les internautes français sous le motif brodé d’un « défaut » invérifiable ou d’une « erreur » incongrue, tel un pavé dans la mare. Ces ostracismes inopinés rendent certains sites inaccessibles, derrière la censure déguisée, donc hors-la-loi, des autorités de régulation, des AAP et API. Comme si cela n’y suffisait pas, des personnes morales ou physique de droit privés sont mandatées par l’inquisition d’État. Or, il existe pourtant des droits qui protègent autant les avocats, les auteurs et les journalistes, leurs sources et le secret professionnel, que la propriété intellectuelle et le droit de diffuser, de distribuer ou d’émettre. Mais la France n’est plus un État de droit, ni une démocratie, car les libertés ont été galvaudées et les droits naturels se sont effondrés sous le joug de cette dictature, laquelle ose encore porter les couleurs révolutionnaires de la République.
Outre la Convention de Paris sur la propriété intellectuelle (1883), la Convention de Berne (1886), le tout chapeauté par l’OMPI au sein de l’ONU, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (AG des Nations unies, résolution 2200 A [XXI] du 16 décembre 1966) dispose à l’article 19 (§ 1 et 2) : « Nul ne peut être inquiété pour ses opinions. Toute personne a droit à la liberté d’expression ; ce droit comprend la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées de toute espèce, sans considération de frontières, sous une forme orale, écrite, imprimée ou artistique, ou par tout autre moyen de son choix ».
Ce paradigme universel est sans cesse violé en France par l’État-Macron, qui censure la vox populi, menace les éditeurs et diffuseurs de sanctions fiscales (suppression des aides et des exonérations), confisque subrepticement les données en ligne en violation des droits que confère l’habeas corpus. De fait, dans ce dédale procédurier, les recours prévus par le législateur sont dans les faits inaccessibles et rapidement frappés de prescription. Il ne s’agit donc que d’un leurre légiféré pour dédouaner le législateur, laisser entendre que la démocratie fonctionne, alors que tout est mis en œuvre pour que l’utilisateur ne puisse redresser un préjudice irréparable dans un temps raisonnable.
Tout est filtré, flouté voire confisqué arbitrairement à la façon des régimes communistes comme en Chine ou dans les théocraties comme l’Iran. Cette dictature française produit des listes d’auteurs d’opposition qualifiés de maudits de la République, à la presse et à l’édition quel que soit le support, au seul motif que ces auteurs dérangent la politique du chef de l’Élysée. Nous ne comptons plus en France le nombre de textes scélérats publiés aux JORF qui contreviennent à la liberté d’expression, aux délits d’opinion réprimés sur les réseaux sociaux, YouTube ou les blogs. Ici, il ne s’agit pas de réprimer la pédopornographie, les incitations à la violence ou au racisme qui s’affichent pompeusement sur les titres de loi, car ces prétextes, certes légitimes, masquent d’autres intentions en filigrane moins louables, mises en pratique derrière ces excuses qui lavent l’establishment de tout soupçon, comme d’instituer en filigrane un délit d’opinion erga omnes (Voir à ce propos « La nouvelle pensée unique en social-démocratie – Haro contre le lobbying liberticide des faiseurs d’opinion ! », Éditions L’Harmattan, 2016) !
Or, depuis la précédente législature, l’État-Macron aura rajouté une épaisse couche de prohibition intellectuelle, de censures politiques et d’outrages aux droits naturels. Pour emmener les populations à tout accepter, l’oligarchie française s’exerce à créer un climat anxiogène à dessein de prendre l’apparence d’un État-providence, et d’user ainsi de ce statut dit d’exception ou d’urgence, pour se blanchir des pires outrages législatifs et réglementaires qu’il assène et multiplie derrière cette façade d’honorabilité et de légitimité. Cette psychose est entretenue d’une part ;
– en fomentant une insécurité, élargie à toute la géographie des territoires nationaux, alimentée par les vagues terroristes surgissant du tiers-monde islamique. Sous l’auspice bienveillante, organisatrice et incitatrice des passeurs institutionnels de l’Élysée à Matignon et passant par l’hôtel de Beauvau, des millions de réfugiés s’infiltrent, sous le regard bienveillant des associations d’aide aux réfugiés et même des CRS, dans les zones périurbaines et désormais les villages ruraux du pays. Véritables couvoirs d’un fondamentalisme khalifien, ces no man’s land de non-droit répandent un panislamisme d’invasion, entre tapis de prière et burqa, sur l’ensemble de la géographie transcontinentale de l’Union, en imposant la shari’a par le djihâd et l’intifadah. Et d’autre part ;
– en profitant de l’opportunité d’un virus pour parachever de gangréner les droits imprescriptibles des citoyens exposés à la vindicte d’un pouvoir exorbitant qui nous vient aussi de l’extérieur, mais dont l’actuel chef d’État français en est l’un des séides depuis 2005. La corruption du Big Pharma est emmenée par le Great Reset (La Grande réinitialisation vue plus haut) initié par les protagonistes du Forum de Davos. Ce jeux pernicieux coïncide avec les annonces d’Emmanuel Macron qui appela de ses vœux vouloir « déconstruire l’histoire de France » (op. cit, chaîne CBS News). Quelques années auparavant, dans un délire qui ne cache désormais plus rien des intentions antipatriotiques de ce chef d’État, l’individu osa déclamer le 5 février 2017 à Lyon, qu’« il n’y a pas de culture française » ! Ici, ces rappels de phrases ne sont pas sortis de leur contexte, car ils expriment clairement la perfidie d’un élu qui, à la lumière de ses propres déclarations, justifierait sa destitution au motif avéré de haute trahison envers son peuple. Mais pourquoi donc l’opposition ne dit mot ?
Arrosé de discours lénifiants, à l’appui de la force incantatoire de vocables usurpés à la démocratie, l’énarchie prédatrice du groupe LaREM, aux pratiques mafieuses (retour aux discriminations, instauration de privations de liberté comme de travailler etc.), parvient à éteindre toute velléité antagoniste, en stipendiant les uns et en menaçant les autres. Les démocraties, qu’elles soient construites sous un régime parlementaire ou présidentiel, deviennent des politiques de pouvoir dès lors que les électeurs ainsi fragilisés dans l’émotion, hypocondrie ou la frayeur de l’insécurité urbaine, abandonnent les garde-fous de la vigilance et du discernement au profit d’une confiance aveuglée par les accents comminatoires de leur champion.
Or ce dernier ne sortit vainqueur de son élection que dans la peau d’un clone sorti du chapeau par les partis socio-démocrates (PS/LR ; blanc bonnet et bonnet blanc), déchus au premier tour des présidentielles en 2017. Porté et financé par les lobbies du Forum économique mondial (le WEF), cet avatar ne fut élu que par une partie congrue des électeurs nationaux, eu égard au nombre d’abstentions au second tour (25,44 %). Rappelons que ce dernier avait déjà rejoint cette secte qui finança ses salles de meeting, soi-disant cédées à un euro symbolique ; un trafic offshore qui ne fut pas décompté dans les comptes de campagne. Puis à la sortie de l’ENA, E. Macron fut recruté comme inspecteur des finances avant d’être le banquier d’affaire puis l’associé-gérant du groupe Rothschild & Cie.
À suivre
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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