Macron : cinéma et publicité, Palais de l’Élysée, Paris, France !
Par Édouard Pic
L’Homme du stade
L’Homme du stade, celui qui a consolé de manière théâtrale le sportif trop argenté mais déçu de ne pas avoir eu le titre et les honneurs, l’homme qui l’a serré dans ses bras, qui s’est agenouillé à côté de lui, c’est exactement le même homme de la fête de la musique en 2017, où la transgression a battu son plein, c’est encore l’homme en promenade à Saint Martin, c’est l’homme qui a choisi des gardes du corps issus des banlieues dites sensibles où règnent les voyous, les trafics divers, c’est surtout l’homme de la repentance, celui qui accuse en permanence la France d’être ou d’avoir été colonisatrice, coupable selon lui de crimes contre l’humanité, encore et toujours l’homme qui choisit, très sérieusement, ses historiens, ses prix littéraires par ministre interposé, c’est ce même homme qui a mis le 49.3 dans les mains de sa Première Sinistre, Madame Borne…

C’est aussi l’homme de toutes les fermetures de centrales et le grand bâtisseur d’éoliennes qui ne régleront jamais rien, sauf à enrichir quelques uns, c’est celui qui la main sur le coeur, donne dans un conflit étranger à l’Europe la moitié de notre armement (Les armées françaises n’ont pas aujourd’hui les moyens d’une guerre de haute intensité selon le général Pierre de Villiers qui ajoute « depuis 20 ans on a perdu toutes les paix « ).Ce nouveau Narcisse des temps modernes est bel et bien là pour le malheur de tout un pays : la France !
Pendant qu’il fuit, pardon qu’il voyage, la France est à feu et à sang, doit subir de plus en plus de violences, de conflits sociaux scandaleux, la montée d’une religion dans un pays supposé laïc.
Macron se croit au théâtre et surjoue une mauvaise pièce, écrite pour lui seul.
Tous ces gens de la macronie et comparses n’ont rien à foutre des Français et encore moins de l’avenir de la France, qu’ils n’aiment que « déconstruite ».
Macron a confondu la montée des Marches du Festival de Cannes avec la vie de tous les jours, elles ne sont pas du tout les mêmes.C’est du grand spectacle genre Guignol qui est proposé en permanence avec une cour aux ordres et béate d’admiration pour leur icône.
Chez Macron, on fait de l’audimat et du drame populaire, comme dans les années 1900.
Macron, c’est le nostalgique de mai 68 où il était d ebon ton de transgresser et de tout péter.
Lui, il se contente, avec soin et acharnement, à détruire la France, trop petite scène pour jouer son spectacle.
Le show continue et la France s’enfonce dans une sorte de léthargie où l’indifférence est devenue l’étendard de reconnaissance.
Coupe du monde 2022 : « Il ne faut pas politiser le sport », affirmait, le 17 novembre 2022, Emmanuel Macron, depuis Bangkok.C’est pourquoi, le même Macron s’est empressé de le politiser un mois plus tard. Avec Macron, ce qui compte c’est l’idolâtrie et pas la réalité.Il est le grand gourou de la secte En Marche qui a fait sa Renaissance et il n’a aucune empathie pour son peuple.
Macron : cinéma et publicité, Palais de l’Élysée, Paris, France !
Édouard Pic
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